Et si les passants étaient plus que des silhouettes qui croisent notre chemin? Et si nous étions plus que des adolescents blasés, les écouteurs vissés sur nos deux oreilles? Et si les pas des parisiens se faisaient moins pressés? Et si on prenait le temps de s'arrêter, de s'observer, et même de se parler? Est-ce que...
au détour du dédale de nos échappatoires sous les strobes des peines, le silence des cris il y a ta gueule, pure, qui vomit ses déboires qui neige et qui vente et qui meurt une mort sublime
madman : jeune homme ivre dans les rues de Paris et qui envoie au milieu de la nuit, des poèmes à son ex qui l'a largué. ou "poèmes merdiques d'un bourré amoureux"
Elle était le mois de juin et celui de décembre. Aussi rayonnante que le premier, aussi froide que le second. Et c'est ainsi que les astres l'ont nommée : 𝐴𝑢𝑡𝑜𝑚𝑛𝑒 pour qu'elle soit le juste milieu entre eux deux.
❝ 𝑫𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒆̀𝒎𝒆𝒔, 𝒄𝒊𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒆𝒕 𝒕𝒆𝒙𝒕𝒆𝒔 𝒔𝒊𝒏𝒄𝒆̀𝒓𝒆𝒔 𝒂𝒖 𝒈𝒓𝒆́ 𝒅𝒆 𝒎𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆́𝒆𝒔 𝑻𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒖𝒏𝒆 𝒍𝒂𝒓𝒎𝒆 𝒅'𝒆𝒏𝒄𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒄𝒐𝒖𝒍𝒆 𝒔𝒖𝒓 𝒅𝒖 𝒑𝒂𝒑𝒊𝒆𝒓.❞ 𝐿𝑜𝑟𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑣𝑜𝑖𝑥, 𝑄𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑙𝑜𝑞𝑢𝑒́𝑠, 𝐽𝑒 𝑣�...
L'ombre étouffe parfois le corps et le cœur, en s'immiscant telle une mélodie discrète et légère. 22 mai 2021 29 juin 2021
L'art de peindre l'océan interne qui se fracasse contre les côtes, au point d'en avoir mal. © arrachelecoeur - décembre 2019
