«Mon sort était entre tes mains... Caroline...» Une larme met du temps pour couler sur la joue. Une larme sucré, comme le sang, il existe plusieurs types de larmes. Les larmes sincères, venant de personnes sincères. Les larmes de plaisir, intermédiaire des larmes de joie. Les larmes de joie, quand la vie nous sourit, que l'on retrouve quelqu'un de chère à nos yeux par exemple. Les larmes de souffrance physique, lorsque quelqu'un nous fais du mal de l'extérieur. Les larmes intérieur, souvent de celui ou celle qui se voile la face en disant que tout va bien. Les larmes de la peur de perdre. Mais les pires de toutes, celle qui sont du à une souffrance physique, moral et mental, celle que l'on doit cacher, les nuits entières, recroquevillé sur notre lit, une main sur la bouche pour ne pas faire de bruit, le sanglots qui nous étouffe. Sont celles les plus insupportable, les plus secrète et celle qui nous force à nous enfermé dans une prison de glace ; à l'intérieur même de notre âme, cœur, et esprit. Celles que nous n'arrivons pas à battre seul. Mais qui nous empêche d'aller voir quelqu'un pour nous aider. Ces larmes là détruisent l'humanité, l'estime de soi. Notre vie.