-D-de quoi parle tu mon amour ?
Sortant un couteau, Aka coupa Les cordes le faisant tomber a plat ventre.

-Tu as une heure pour récupérer tes affaires et disparaitre de ma vue, toi et moi c’est finit. J’espère que tu as bien profité de mon argent chéri car tu ne le reverra Jamais.

Tournant le dos a cet ordure, Aka commença à se diriger hors de sa salle de jeu.

-Aka ! Je t’en prie écoute moi ! C’est pas ce que tu crois mon amour ! Ils n’étaient rien pour moi ! Je t’en supplie !

-Vraiment ? Sourit elle tout en continuant de marcher vers sa chambre d’une démarche lente et assurée.

-Oui ! Bien-sûr que oui ! Sinon pourquoi je t’aurais demander de devenir ma femme ?!

Se tournant vers lui, elle se sentit plus que satisfaite alors qu’il paraissait plus que misérable.

-Ce…c’était une erreur, je voulais voir… Je voulait essayer….

-Essayer ? Voyons chéri es-tu pathétique au point de me demander de pardonner ça ? Ne t’ai-je pas prévenue avant que nous commencions une relation ?

-Si mais…

-Thomas (Elle sourit) tu me fais vraiment pitié, tu es vraiment pathétique. Sache que j’ai beaucoup trop de respect pour moi-même pour rester dans un relation toxique. Tu le sais mieux que quiconque non ?

-Je ne suis pas eux !

-Tu as raison, tu es pire qu’eux.

-Tu ne peux pas vivre sans moi !!! Hurla t-il.

Passant une robe en soie sur son corps, elle savourait la douceur de celle-ci quelque instant avant de se lever pour descende l’escalier principal.

-J’ai un rdv important, Simon te raccompagnera dehors.

Barrant son chemin, Thomas écarta les bras.

-Je t’en supplie Aka ! Je peu pas vivre sans toi ! Pleure t-il.

Caressant son visage, elle savoura ce souvenir pitoyable qu’il lui offrait.

-Fallait y penser avant Sourit-elle.
Lui ouvrant la porte, Simon la conduisit jusqu’à sa limousine ou son chauffeur l’attendait depuis vingt minutes.

-Pardonnez mon retard Ric.

-Ce n’est rien madame. Dit poliment celui-ci en lui ouvrant la porte.

-Simon faite en sorte que rien de désagréable n’arrive ce soir quand je rentrerai ordonne t-elle avant que la porte de ferme.

Saisissant un verre de vin, elle le savoura doucement.

Tapotant d’agacement sur son siège, Émile Lucroy sentit sa patience atteindre ses limites.

-Je suis vraiment désolée Monsieur Lucroy, Madame Rose ne devrait pas tarder.

-Vous avez vraiment de la chance Anderson que Madame Rose soit importante à vos yeux parce que la patience n’este aucun cas une vertu pour moi ! Grogna t-il.

Entendant des talons claquée sur le sol, il tourna le regard comme les autres pour apercevoir la nouvelle arrivante. Déglutissant, Émile observa la jeune femme plus que séduisante entrer dans la salle. Ses cheveux noir et châtain tombant en cascade sur ses épaules dénudées et contre la robe rouge qu’il devinait être en soie mais ce qui le perturbait en cet instant ce n’était pas la beauté indéniable de la femme face à lui mais son regard d’un noir de velours qui était glacial. Elle donnait juste l’impression d’avoir été créée pour être exposé dans une vitrine tel une poupée de cire.
Tendant le main vers elle, il la portait à ses lèvres par habitude.

-Madame Rose je présume ? Fit il après avoir relâcher celle-ci.

-Vous présumé si bien monsieur Lucroy. Bien et si nous commencions ? Dit elle.

Sentant son égo toucher, Émile aurait bien aimer la remettre à sa place mais en cet instant c’était tout bonnement impossible.

-Voici les dossiers de la société de Monsieur Diaz et ceux la sont ceux de Monsieur Lucroy. Nous avons étudié les votre pendant votre… absence.
-Je vois…Monsieur Lucroy je lis ici que vous vous occupez d’une galeries d’art à Paris ?

Relevant les yeux du dossier des financements, il acquiesça en expliquant tout ce qu’il y avait à savoir sur la façon dont il ferait les financements si elle décidait de se lier à sont entreprise.

-Je ne comprends pas certaine chose a vrai dire vous dite, que j’y gagnerai en me liant à votre entreprise mais en quoi ? L’argent je l’ai déjà Monsieur Lucroy, à moins que vous n’étiez pas au courant ? Dit elle avec arrogance.
S’empêchant de cédé à la colère, Émile sourit faussement avant de répondre d’un ton neutre.

-Bien sûr que je suis au courant, voyez vous mon but est là de faire de l’argent c’est certain mais mon but est aussi d’agrandir le pouvoir de l’Amérique au-delà des frontières même et quoi de mieux qu’en agrandissant le pouvoir en faisant des finances française les nôtres en commençant par l’art ?

Souriant à son tour, Aka observait l’homme brun face a elle, Émile Lucroy trente deux ans et a la tête de l’entreprise familiale. Il a sut l’élever a son paroxysme et a présent il en veut encore plus. Cet homme était vraiment intéressant… Elle de demandait soudainement a quoi ressemblerait cet homme qui avait pour habitude d’être guider par la colère être à genoux devant elle.
Est-ce qu’il aimerait ?

Clignant des yeux pour se reprendre, elle finit par accepter la proposition de cet homme. Tout en restant quelque peu dérouter par la couleur caramel de sa peau. Bon sang il fallait qu’elle se réveil, c’était pas le moment de flancher.

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À VENIR

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Comme vous pouvez le voir c'est un tout nouveau type de livre, alors pour ceux qui ne son pas très à l'aise avec les mots crue et les scènes de sexe tout aussi franche je vous conseille donc de ne pas continuer car cette trilogie est une longue suite d'histoire de ce type.

Bisous à tous, en espérant qu'elle vous plairait.

❄️💋❄️

À genoux Chienne ! (En Pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant