M'avait-il dit droit dans les yeux complément sûr de sa parole.

Il me tenait fermement contre lui, comme s'il ne voulait pas que je parte loin de lui. Tandis que de mon côté c'était exactement tout le contraire. Le croyant pas capable de résister comme il le pensait j'ai continué à faire des miennes.

Mais il a été plus coriace que moi. Il n'a pas céder et ne m'a pas lâché contrairement à ce que j'aurais pu penser.

À force d'user de ma voix en criant je n'en avais plus aucune. Ma bouche commençait à se fatiguer, mes cris quant à elles devenaient timide jusqu'à ce qu'elles ne s'entendent plus. Mes deux mains qui formaient un poing chacune ce sont relâché puis mes doigts ce sont allongés sur son torse.

Je l'ai sentie me soulever.

« Paloma : Fais-moi descendre.»

Lui avais-je dit. Mais il ne l'a pas fait.

Il a continué à me porter jusqu'à notre lit où il m'a allongé puis couvert les jambes. Il s'est éclipsé un petit instant avant de revenir dans la chambre avec un petit sceau d'eau et la trousse de secours.

Il s'est assis et a délicatement pris ma main dans la sienne. Il a commencé à débarrasser tout ce sang taché que j'avais sur mes mains, il les a ensuite désinfecté sous mes plaintes et mes gémissements dû à la douleur que me causait mes plaies.

« Leonidas : Elles ne sont que superficielles mais demain je t'emmènerai quand même chez le médecin pour qu'il y jette un œil.

Paloma : Pourquoi tu fais ça pour moi? 'Fin j'veux dire... Brianna-

Leonidas : il me coupe sèchement la parole. Ce que tu crois avoir vue n'est pas ce que tu penses.

Paloma : Ah ouais..donc pour toi, sur cette photo vous ne vous êtes pas embrass-

Leonidas : Non.»

Il panse ma blessure.

« Paloma : Il ne s'est rien passé entre vous deux?

Leonidas : Rien. Entre Brianna et moi ce n'est que professionnel. Elle ne me plaît pas et m'attire encore moins si c'est que tu veux savoir.

Paloma : Tu n'as donc jamais ressentie l'envie de coucher avec elle.

Leonidas : Pourquoi est-ce que j'en ressentirais le besoin, t'es là, t'es ma femme.

Paloma : Ouais ta femme, riais-je amèrement. Une femme qui n'est pas capable de-

Leonidas : De quoi? souffle-t-il.

Paloma : Ne joue pas l'insensible, ok. Parce que tôt dans l'après-midi j'ai vue dans ton regard que cette situation te pèse!

Leonidas : Et que veux-tu que je fasse?! Tu veux que j'aille en voir une autre pour assouvir mes besoins d'hommes c'est ça!?

Paloma : Non! Bien sûr que non!

Leonidas : Alors pourquoi tu me questionnes pour savoir si je suis attiré ou non par Brianna! Je t'ai dit qu'entre elle moi il n'y s'est rien passé.

Tant que y'a l'amour, la haine peut s'ignorer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant