Il y avait une façon à la fois très belle et très rude de parler des blessures psychologiques. Surtout à un âge où l'on découvre le monde adulte et que la vie n'est pas tendre.
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D'autres fois, l'autrice se faisait plaisir avec quelques longs paragraphes pleins de poésie pour nous parler d'amour de façon indirecte. Gros coup de cœur pour les passages où Alexandre jouait du piano :
Les descriptions étaient rares. Cela peut faire partie des défauts de l'écriture, mais de façon générale, j'ai trouvé que cette avarie se justifiait par la place nécessaire qu'occupaient les émotions. Et quand il y avait quelques descriptions, elles étaient qualitatives :
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