Que vas tu faire ?

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"Le bon sens est la chose du monde la mieux partagé". René Descartes.

Savoir agir de manière réfléchis et ingénieusement par soit même, est ce que généralement tout parents attend de son enfant. Mais ils advient souvent, que le désordre et les hormones, se mélangent à un virus que l'on appelle la mauvaise compagnie ; pour créer en eux un penchant pour la négation et l'hypocrisie, sans toutes fois oublié les vices de la vie. Malgré nos nombreux défaut, ma mère peut se venter que nous ayons quelque chose, qui nous distinguent de d'autres cas de figure, le bon sens.

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Dans le parc, Natacha faisait son footing habituelle de chaque mercredi, lorsqu'elle croisa Georges, assit sur un banc. Il l'interpella et vue qu'elle ne pouvait pas l'éviter, elle fût obligé de l'arrêter.

Georges : Ma Natacha Alkazair !

Natacha : Qu'est-ce-que tu me veux ?

Georges : Juste pour te saluer, mais sinon tu peux y retourner, car c'est véritablement un plaisir de te voir faire du sport.

Natacha : Tu n'est vraiment, qu'un crétin !

Lorsqu'elle se retourna pour s'en aller, Georges l'attrapa le bras.

Natacha : Que me veux tu ?

Georges : Tu es toujours aussi pressé, lorsque l'on te fais des compliments ?

Natacha : Venant d'un porc pervers comme toi, je me sens plutôt couverte d'un sentiment dégoûtant.

Georges : Mais... qu'est-ce...

Natacha : Qu'est-ce que quoi ? Hein ? Tu me dégoûte !

Alors elle se retourna et s'en alla ce fois-ci, mais lorsque Georges voulu l'approcher, il suivit au loin un bruit sourd et très familier. Il resta ainsi immobile, jusqu'au départ de Natacha du parc. Puis il leva la main et commença à marcher, direction la maison.

Le lendemain, il se dirigea vers le lycée, comme à son habitude.

Au lycée :

Alors que notre imposteur arrivait au lycée, il trouva Émilie qui venait tout juste d'arriver. Elle se dirigeait, vers la salle réservée aux clubs de mathématiques du lycée. Ce dernier la suivie et la coinca dans le couloir.

Malgré les menaces, il continuait de se coller aux jeunes filles.

Georges : Salut, ma petite Émilie !

Emilie : Que me vaut le déplaisir, de voir ton odieuse personne ?

Georges : Au dernière nouvelle, tu me dois une nuit.

Emilie : Dégueulasse ! Je préférerais le faire avec des cochons, qu'avec une pourriture de ton genre.

Puis Georges eût la maladresse de poser sa main, sur l'épaule de celle ci. Subitement par la fenêtre, il eût la même impression, que la veille au parc avec Natacha.

Emilie : Alors, que va tu faire ?

Georges ( À quoi tu joues Wattson ? C'est quoi ce cirque ? Nous sommes dans un lieu quasi public !).

Emilie : Alors, tu as perdue ta langue ?

Georges : Émilie tu...

Emilie sortie ainsi une règle en bois de son sac, frappant la main de Georges, pour l'enlever. Puis, elle le regarda droit dans les yeux. Alors que Georges s'apprêtait à dire quelque chose, celle ci tendit sa règles face à lui, avant de lui donner une claque avec.

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Emilie : Tu as un jour osé par le plus grand des malheureux, souiller mon âme toute entière et surtout, tu as rabaisser mon égaux et levé la main sûr moi. Jamais, je ne te pardonnerai de tels crimes. Je ne sais pas, qui tu es réellement et c'est tant mieux, car sa ne m'intéresse plus de savoir, en ces temps, où j'ai développée une immense envie de vouloir et de devoir t'écraser.

Il était offusqué et lorsqu'il voulut réagir, il reçu un coup dans les jambes et lorsqu'il tombait, l'auteur de cette attaque, l'appuya dans sa chute. Puis, il reçu une série de violent coup.

Emilie : À terre petit chien, car c'est de bas, que les vermines de ton espèces doivent me regarder... quoi ? Tu avais à me dire ?

Le visage agonisant de Georges, face au regard froid et sévère et remplie de dégoût.

Emilie : Vraiment rien ?

Georges : Sa... salope... tu vas...

Avant qu'il n'eût prononcé toute sa phrase, Émilie donna à nouveau l'ordre de le roué de coups.

Emilie : As tu encore quelque chose à dire, trésor ?

Puis l'un de ses hommes de main, leva se cher Georges. Sa haine était plus qu'immense face au visage joyeux de cette chère Émilie, qui se réjouissait.

Emilie : Tu sais, j'ai longtemps été traité de lache, parceque des gens faisaient le boulot à ma place. Mais tu sais quoi ? Pour des gens comme toi, des pourritures, j'accepte de passé pour une lache.

On amena ce cher Georges devant les escaliers, qui descendent au niveau moins un. Elle faisait au moins un mètre quarante de haut pour une vingtaine de marches.

Emilie : Bon, j'ai mûrement réfléchi et je vais finalement te donner le coup de grâce, moi même.

Georges : Ne fait pas ça. Émilie, tu...

Emilie : Je ne suis pas comme ça ? Bien sûr que non, mais tu m'as montré, que je peux laisser cours à mon côté sombre... alors... (en le poussant du doigt)... passe le bonjour, à l'infirmière de ma part !!

Il dévala l'escalier jusqu'au bas, puis Émilie fît mine d'appeler à l'aide et de faire la malheureuse.

Dans la classe, la rumeur courait selon laquelle, Émilie avait secourue ce pauvre Georges (ou l'imposteur), qui avait perdue connaissance en montant les escaliers.

Au fond de la classe, cette même histoire n'était pas accueilli de la même manière.

Natacha : Allé, avoue, que ta version des faits est totalement controversée de la vérité.

Emilie (en souriant) : Disons, que la vérité c'est le mensonge de la raison. Il est très facile, de manipuler les faits... pauvre chérie !

Natacha : Vue ton sourire, cela t'a fait du plus grand bien.

Emilie : Disons, que de nature je suis quelqu'un de très calme, qui n'aime pas beaucoup se rattacher au autres, pour éviter des conséquences regrettables.

Natacha : Et comme quelles conséquences, par exemple ?

Emilie : Oh, rien de très spécial, des chutes d'escalier par là, ou une participation à des entretiens musclés avec mon will chéri, qui se sent revanchard. Tu vois ? Autant de choses.

Le sourire satisfait de cette chère Émilie, n'était pas nécessairement ce qu'attendait Natacha.

Natacha : Oui, je vois ça ! Mais...

Emilie : Tu n'apprécie pas ma façon de faire, c'est ça ?

Natacha : Ce n'est absolument pas de ça, que je voulais parler et au contraire même, si tu as besoin de moi, j'suis prête.

Les Chroniques de Arthur Tome 1 Réécris/Corrigé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant