Chapitre 38

Depuis le début
                                    

La porte de la porte s'ouvre et deux jeunes hommes d'une vingtaine d'année apparaisse. Quand il me voit ainsi que Alya il se précipite pour nous aider.

-Laisser moi faire mademoiselle, je suis le médecin.

Il l'a prend dans ces bras et la repose aussi tôt.

-Jacob, va chercher des infirmières et du matériel, on ne peut pas la déplacer, ça tuerait son enfant.

-Ne t'inquiète pas Aaron, j'y court.

-Ça fait combien de temps que vous attendez de l'aide madame!

-AHHHH!

Comprenant qu'elle ne peut pas répondre, il se tourne vers moi .

-Je ne saurais vous dire quand exactement juste que personne n'a voulu m'aider, ils m'ont remballé parce qu'on les dérangeait.

-Ne vous inquiétez pas ça ne restera pas impunie, ce n'est pas normale que personne ne vous soit venue en aide! Votre amie va survivre elle est forte, pas d'inquiétude...

Son collègue interrompe la discussion en rentrant d'un coup dans la salle suivit d'une foultitude d'infirmières et infirmiers. Ils prennent en charge Alya et quelques minutes plus tard juge nécessaire de la déplacer. Apparemment elle ne risque plus rien et son garçon non plus.

Cela fait une heure que je patiente pour avoir de ces nouvelles, j'ai eu si peur pour elle. En quelques jours on est devenue comme des soeur, c'est ma confidente, ma meilleure amie, mon tout...

Le médecin qui nous à aider sort de la chambre et passe devant moi sans m'apercevoir. Puis, se retourne et se dirige vers moi.

-Vous devriez rentrer chez vous, votre amie va bien maintenant madame.

-C'est gentil mais je ne partirais pas sans elle et c'est mademoiselle!

-Vous allez me faire croire que vous avez fait votre enfant toute seule!

Il hausse un sourcil et me regarde de haut. Non mais il se prend pour qui ce mec, il a cru qu'il pouvait ne pas me respecter parce que j'étais seule.

-Je ne les ai pas fait toute seule mais la façon dont ils ont été conçu a été plutôt difficile pour moi ! Quant au fait d'être marié pour avoir des enfants ce principe ne s'applique pas partout. De plus, si je ne m'abuse, ma vie privée ne vous regarde pas "Mr je snob et méprise toute les femmes"!

-Euh...Je..

-Ne dites rien j'ai compris, vous n'avez pas besoin de vous forcez à vous excuser, je n'en ai pas besoin, je me porte bien mieux sans vous entendre. Et que cela vous plaise ou non, je resterais ici à attendre ma sœur! Sur ceux passé une bonne fin de journée!

Il reste médusé sous la violence de mes propos, mais il fallait que je le remette en place, je me suis trop laissée marcher sur les pieds. La gentille petite fille est devenue une femme qui a des responsabilités qu'elle ne peut plus fuir et qu'elle défend.

-Je m'appelle Aaron

Il tend sa main devant lui attendant que je la serre.Je l'ignore et passe à côté et me retourne...

-Je peux rentrer?

-Oui, mais elle est fatiguée, il ne faut pas trop l'embêtée!

-Merci.

Je m'apprête à rentrer quand il m'interrompe encore une fois en m'attrapant le bras. Qu'est ce qu'il me veut!

-Ça te dit d'aller prendre un verre demain soir?

-Non!

Il me plaque au mur et approche sa bouche de mon oreille.

-Tu me dois une faveur, j'ai sauvé ton amie.

Je prépare ma jambe, lui donne l'élan qu'il faut et l'envoie rencontrer avec douceur son pack, noter l'ironie. Il prend ses parties génitales dans ses mains et gémis de douleur.

-C'est ton métier à ce que je sache de sauver les gens!

-Hmm....

-Mais comme tu me fais pitié, je vais t'accorder un verre demain à 18 h!

Je rentre dans la chambre sans attendre sa réponse, Alya est allongée sur le lit. Son visage a repris des couleurs et elle sourit en regardant son ventre.

-Tu te rends compte, on  sera bientôt maman!

-Oui, fis je un sourire rêveur sur les lèvres.

-Oh!

-Qu'est ce qu'il se passe, s'inquiète Alya.

Je prends sa main et la pose sur mon ventre.

-Oh! L'un de tes enfants donne des coups.

Une larme s'échappe de mes yeux et j'utilise les fraises comme prétexte pour pas qu'elle ne la voit. On finit notre journée en pleurant autour d'un repas composé de fraises....

unis en un seul regardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant