Нижний Новгород - Истра

Depuis le début
                                    

La sélection nationale sortie des vestiaires et se dirigea vers le bus qui les amènerait à l'aéroport. Lloris s'assit, mit de la musique dans son casque et essayer de dormir le temps du trajet.

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Ce fut le numéro7 qui le sortit de sa torpeur en lui disant que le bus était arrivé à destination. Le numéro 1 suivit les autres en sortant, mais son esprit n'était pas avec yeux. Il était loin, à plus de 2000 km de là, avec une personne qui comptait à son cœur, mais dont il pensais que l'amour n'était pas réciproque. Ils entrèrent dans l'avion, et l'ambiance était au rendez-vous. Tout le monde était content d'être en demi-finale, surtout ceux qui étaient pour la première fois sélectionnes en équipe de France. Notre gardien, lui, était toujours perdu dans ses pensées, et ses coéquipiers le laissèrent en paix, une première dans ce genre.

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Pendant les deux premières heures du voyages, Hugo pu dormit tranquillement, mais à la troisième heure sur les huit heures trente de vol, il eu une envie pressante d'appeler l'objet de ses mœurs : Lucas Digne. Il alla donc au toilettes, et profita de l'intimité que celles-ci offrait pour passer son appel :

« _ Allô Lucas ?

_ Allô ? C'est toi Hugo ?

_ Oui, c'est bien moi. Comment vas-tu ?

_ bien ! Même mieux depuis votre qualification ! Vous avez tous été géniaux,... »

Pendant que Lucas faisait des éloges à tous les joueurs, Hugo était simplement heureux d'entendre la voix du plus jeune, et se disait que c'était fou l'effet que certaines personnes ont sur vous.

« _ Et sinon, pourquoi tu m'appeler au juste ? demanda Digne, s'arrêtant de monologuer.

_ J'avais juste envie de t'entendre ta voix, répondit Lloris, en disant ce qu'il pensait.

_ Et ben, je savais pas que je te manquais à ce point là ! dit Lucas avec un air joueur, avant de s'éloigner soudainement du téléphone et dire quelques paroles étouffées. Écoute Hugo, je te rappellerais plus tard, là je dois y aller. Salut ! »

Il ne laissa pas le temps de répondre au gardien de Tottenham qu'il avait déjà raccroché, laissant par ailleurs un sourire niait à son interlocuteur.

Le reste de voyage se passa sans soucis, même si Hugo fut un peu charrié par ses coéquipiers sur son sourire niait.

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Lors du trajet entre l'aérodrome et l'hôtel, Lloris fut « kidnappé » par ses joueurs pour être emmener à l'arrière, car il était, je cite Pogba, « pas assez content d'être en demi-finale». Étant à l'arrière du bus et écoutant de la musique à un niveau sonore élevé, il ne put entendre certains joueurs, comme Antoine et Olivier, faire des messes basses, et les mots « surprise » et « Lulu » sortirent trop souvent pour ne pas paraître suspect.

Arrivés à l'hôtel, les joueurs de football furent accueillis par une haie d'honneurs, ce qui leur fit chaud au cœur. On voyait bien que les plus jeune voulait fêter cette victoire, pourtant leur entraînèrent les avait sommés d'aller se reposer, et non de faire la fête jusqu'à pas d'heure.

En s'arrêtant devant la porte de sa chambre, Lloris reçu une accolade de Griezmann, et le numéro 7 lui glissa un « profite bien de ta surprise » avant de partir rejoindre Olivier dans leur chambre comme si de rien n'étais.

OS Footballeur•euse•s [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant