Zinedine : Je ne laisserai personne te faire de mal ma chérie. Même pas ces petits cons de Franck et de Florent.
Moi : Je t'aime papa.
Zinedine : Je t'aime aussi ma belle.Il m'embrasse le front et je reste contre lui.
Lucas : Tu as parlé de Franck à Ben ?
Moi : Je n'en ai pas eu l'occasion.
Véronique : Ou tout simplement l'envie ?
Moi : C'est vrai.
Elyaz : Il faut que tu lui en parles sinon vous allez encore vous disputer !
Moi : Je vais le faire des qu'on le verra.
Zinedine : Ce serait préférable après son match sinon ça va trop le perturber.
Moi : Tu as raison papa.Nous sourions et finissons par arriver. Nous descendons de l'avion et prenons les voitures jusqu'a chez moi. La voiture de Ben est garée sur le parking. Je souris en voyant sa voiture et nous garons les voitures. Enzo sort de celle ci avec l'aide de Karen et nous montons dans mon appartement. J'ouvre la porte et saute sur le dos de Ben qui prenaient ces crampons. Il passe ses mains sous mes cuisses et un énorme sourire prend place sur son visage. Il me lâche, se tourne et nous nous embrassons passionnément. Nous sommes interrompus par un raclement de gorge. Nous nous séparons en rougissant et il part saluer ma famille.
Benjamin : Je prenais juste mes crampons. Il faut que je retourne m'entraîner pour ce soir.
Karen : On sera tous la Benjamin.
Benjamin : Merci. A ce soir.
Nous : À ce soir.Il vient m'embrasser longuement avant de partir s'entraîner.
Moi : Venez !
Ma famille me suit.
Moi : On a deux chambre d'amis donc dans une on va mettre Papa, maman, Elyaz et Théo et dans l'autre Enzo, Karen et Lucas.
Ils s'installent tandis que je pars dans ma chambre ranger mes affaires. Qu'es que ça fait du bien de revenir ici ! Ce lieu m'a manqué. L'odeur de Ben, ses affaires mal rangées, son shampoing spécial pour ces belles boucles, tout m'a manqué. Je suis heureuse d'être enfin revenue.
Je décide de m'habiller pour le match. Je mets un slim noir avec le tee shirt de match de Ben. Je sors de ma chambre et retrouve ma famille installée dans le salon. Nous finissons par partir au stade de Stuttgart. Nous nous installons dans les tribunes et je salue les familles de joueurs. Je les présente à ma famille et ils se mettent à discuter. Quant à moi, je me mets à réfléchir sur Franck. Tout recommence à bien aller mais il réapparaît. Il me fait peur. J'ai peur qu'il aille s'en prendre à Ben. Et si c'est Florent qui l'a envoyé ? Dans ce cas, il m'aurait menti. Et je lui aurais accordé le bénéfice du doute pour rien. Je me suis faite manipulée ! J'y crois pas ! Ma famille avait raison. Ben avait raison ! Qu'es que je suis conne ! J'aurais dû croire Ben depuis le début et on se serait jamais disputé. Et je ne serais pas tombée d'aussi haut.
Je me ressaisis quand j'entends les supporters crier. Les joueurs rentrent sur le terrain. Je balaye les joueurs de Stuttgart du regard. Je croise le regard de Daniel Didavi. Ce connard qui ne pense qu'à m'avoir dans son lit. Il me fixe intensément et je finis par regarder mon amoureux. Je lui souris et lui envoie un baiser.
Véronique : C'est lui qui te veux dans son lit ?
Elle montre du doigt Daniel.
Moi : Oui.
Elyaz : Ben est beaucoup mieux.
Moi : Je suis d'accord et c'est lui que j'aime.
Karen : C'est tellement visible. Quand il est là, tu ne fais attention qu'à lui et tu oublies le reste.Je rougis et le coup d'envoi est lancé.
Ellipse match
Stuttgart a perdu. 3-1 pour le RB Leipzig. Ben a le visage fermé et quitte le terrain le plus rapidement possible. Je soupire tristement avant d'emmener ma famille avec moi, attendre mon compagnon devant le stade.
10min après, il arrive, le visage toujours fermé. Il nous adresse à peine un regard avant de rentrer dans la voiture. Mon père me questionne du regard et je lui réponds par un haussement d'épaules. Nous nous engouffrons dans les voitures avant d'aller chez nous. Une fois arrivé, Ben part dans la chambre en souhaitant un faible bonne nuit à ma famille.
Lucas : Il est toujours comme ça quand il perd un match?
Moi : Ça dépend. Quand il perd avec un gros score il est comme ça quand c'est petit ça va. Il tire un peu la tronche mais ça va.
Véronique : Va le voir. On peut se débrouiller.Je leur embrasse la joue avant d'aller dans ma chambre. Ben est debout devant la fenêtre, le visage fermé et la mâchoire crispé. J'arrive à ces côtés avant d'encercler sa taille de mes bras. Je pose ma tête contre son épaule et il finit par m'entourer de ces grands bras protecteurs.
Moi : Je t'aime liebe.
Benjamin : Je t'aime princesse.Il m'embrasse le front et sa mâchoire se détend. Mais son regard reste toujours sombre.
Moi : Écoute moi liebe, cette défaite n'est pas de ta faute. Hein ?
Benjamin : Bien sûr que si ! Je suis défenseur et le rôle d'un défenseur est de défendre. D'empêcher l'équipe adverse de passer avec la balle.
Moi : Alors on va dire que c'est de la faute de toute l'équipe !
Benjamin : Amélie...Je lui souris et il finit enfin par de détendre. Maintenant, il faut que je lui parle de Franck sinon je le ferai jamais.
Moi : Je dois te parler de quelque chose.
Il m'interroge du regard avant de s'asseoir sur le lit. Je m'assoie à ses côtés.
Benjamin : Je t'écoute.
Moi : À la mort de Florent, j'ai été dévastée. Je ne mangeais plus, sortais plus et je ne faisais que dormir. Mes amies ont en eu marre de me voir dans cet état alors elles m'ont forcée à aller en boîte avec elles. J'ai bu. Beaucoup bu pour l'oublier. Et la j'ai vu un homme, Franck son ancien meilleur ami. Il s'est dirigé vers moi et on a dansé ensemble. Je voulais du réconfort donc on a passé la nuit ensemble qui ne signifiait rien pour moi.
Benjamin : Pourquoi tu me racontes ça ?Je soupire et prends ses mains dans les miennes.
Moi : Je l'ai croisé à l'aéroport de Paris ce matin. Il voulait venir ici pour te voir mais mon père l'a menacé donc il est resté en France. Je crois que c'est Florent qui l'a envoyé. Je me suis faite manipulée par Florent, et plus jamais je lui accorderai le bénéfice du doute.
Il me fixe avant de me serrer dans ses bras.
Benjamin : Il n'a qu'à venir ! Je vais l'accueillir comme il se doit.
Moi : Benjamin. J'ai peur.
Benjamin : Je suis la, et temps que je serai là, il ne t'arrivera rien.Je souris et me blottis contre lui. J'enlève mon jean et m'endors dans ses bras.
Voilà la fin de ce chapitre. Qu'en avez vous penser ?
- Franck ?
- La famille Zidane ?
- Le match ?
- Ben énervé ?
- Sa réaction face aux révélations sur Franck ?N'hésitez pas à commenter ⬇️⬇️⬇️
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Fille d'un champion du monde [FINI]
FanfictionJe suis la fille d'un champion du monde. Non, ce n'est pas Didier Deschamps ! Après avoir traversé de nombreux malheurs de la vie, je suis allée me ressourcer auprès de Didier et de ses joueurs. Je me suis fait de nouveaux amis, mais surtout j'ai re...
Chapitre 48
Depuis le début