8. ARMEMENT.

Depuis le début
                                    

Il repensa à ce qu'il avait fait avant de venir , il était rester deux heures de temps sur son fauteuil à se préparer mentalement pour ce qui l'attendait, tel le supplicié que l'on a condamné à mort. Il lui était venu l'idée de se saouler pour ne rien ressentir tellement il serait saoul , mais ne l'avait finalement pas fait et s'était contenté du viagra. Son esprit était ailleurs , il ne pensait plus qu'a ce qui l'attendait après, un supplice encore pire.

Après deux heures d'âpres efforts, la libération tant désirer arriva , elle fini enfin par avoir son orgasme , il simula alors une jouissance double et fit mine de s'écrouler sur elle. Ils se couchèrent et restèrent ainsi quelques minutes, puis regardant l'horloge au dessus de la porte, il se dit qu'il était temps pour lui de partir.

- Je dois partir maintenant , on se verra sûrement Mercredi prochain.

- Non, reste encore avec moi , reste toute la nuit.

- Tu sais très bien que se n'est pas possible, si je reste ici ton père pourrais nous trouver et ce serait mal vu , de plus ma mère se demande sûrement déjà où je peux être.

- Tu as sans doute raison.

- Je peux te demander un service ?

- Quoi donc , que veux tu ?

- J'aimerais utiliser ta sale de bain.

Elle fut grandement surprise par cette demande mais accepta quand même. Il prit une serviette dans l'armoire qu'il laissa ouverte et alla dans la salle de bain en prenant bien soin de fermer la porte derrière lui , il ne faudrait pas qu'elle est l'idée de le rejoindre sous la douche. Elle est restée sur le lit à regarder les vêtements qu'il avait posés dans l'armoire en arrivant , elle se dit qu'il était quand même bien méticuleux pour plier ainsi ses vêtements avant de faire l'amour.

Quelques minute plus tard , il sortit de la douche et se rhabilla avant de l'embrasser et de sortir.

- Et surtout ne t'inquiète pas , je vais parler à mon père.

- Non pas que je pense en avoir besoin mais merci quand même.

Il sortit de la chambre en lui adressant un sourire et ferma la porte derrière lui. Il resta devant la porte et se concentra il était temps pour lui de passer à un supplice encore pire.

Mais ce n'est pas grave, parce que après tout ce n'est qu'une arme , oui rien de plus qu'une arme.

La maison dans laquelle il se trouvait possédait trois étages , il se trouvait actuellement au premier, mais au lieu de se diriger vers l'escalier qui le mènerait en bas , il prit la direction opposée et prit l'escalier menant au deuxième.

En marchant vers son nouveau supplice , il se mit à penser à tout ce qui l'avait mené à ces terribles instants. Il se revoyait demander de l'aide à son père pour le faire admettre facilement, il revoit la tête de son père se secouer de gauche à droite en signe de refus , il voit ses lèvres bouger et il se rappel de sa phrase " si tu est admis , se sera à la force de tes bras et de ton crâne ".

Bon d'accord pour la force des bras on était pas arrivé, non pas qu'il n'était pas fort mais il se trouvait moins fort que beaucoup de ses camarades, donc de ce côté là il n'y avait pas grand chose à faire en à peine trois mois. Mais en ce qui concerne le cerveau , Max se trouvait assez intelligent et il a donc décidé de se servir de son crâne. Il s'est rapproché de la fille d'un des hauts gradés de l'armée et avait commencé à la fréquenter , puisqu'il était d'une très bonne famille , le père de cette dernière n'y avait pas vu d'inconvénients. Il avait alors essayé de se rapprocher du père mais ce dernier malgré les sorties , malgré les dîners , il se montrait imperméable, donc pas le choix malgré le fait qu'il ai au départ pris la résolution de couper les liens une fois qu'il aurait eu ce qu'il voulait, il avait accepté son invitation à passer dans sa chambre, mais avec une contre partit, elle devrait parler à son père, contre partie qu'il avait bien sûr subtilement fait passer au détour d'une conversation.

Rêve Ou Souvenir.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant