Espérons un jour d'après.

Introduction

Chère journal,

J'étais à table avec mes parents, on mangeait des pâtes comme souvent d'ailleurs. Lorsqu'on a appris que le COVID-19 débarquait en Chine. Ce virus apparaît le 17 novembre 2019 dans la ville de Wuhan, en Chine centrale, super le cadeau d'anniversaire non ?

Au début, on en rigolait bien en mode « tranquille, c'est qu'une grippe les Chinois sont trop hypocondriaques ». Puis le nombre de morts à évolué et là certaines personnes ont commencées à s'inquiéter, mais juste un peu. Ben oui, quoi ? C'est vrai... C'est en Chine ça ne nous nous concerne pas.

Les jours ont passé et la mort était la nouvelle touriste de la Chine. Ici, tout le monde pensait encore à un rhume ou une grippe. Le 13 janvier, un premier cas est découvert hors de la Chine continentale et là, la réelle panique commence. Évidemment, pas pour les plus ignorants.

Le 11 mars 2020, l'épidémie de COVID-19 est déclarée pandémie par l'OMS. Une pandémie vous dites ? Oui. Ça veut dire que c'est mondial et que maintenant cela concerne le monde entier, y'a plus de chacun pour soi. Tout le monde pensait encore à un rhume ou une grippe.

Suppression des contacts physiques, bises et serrements de main. Fin des attroupements et des grandes manifestations ainsi que des déplacements et voyages non-indispensables, promotion du lavage des mains et mise en application de quarantaine. Ça devient grave... Les magasins non-alimentaires ferment petit à petit. Ça devient grave... Les magasins non-alimentaires ferment petit à petit. Cette pandémie mondiale provoque des annulations en série de manifestations sportives et culturelles sur toute la planète, la mise en place par de nombreux pays de mesures de confinement pour freiner la formation de nouveaux foyers de contagion grâce à la fermeture des frontières de nombreux pays. Des incertitudes et des craintes pèsent sur l'économie mondiale. Les écoles ferment, les crèches, les petits indépendants. Comment allons-nous nous en sortir ?

L'Italie s'effondre totalement, l'Espagne suit de près et la France aussi. Des blouses blanches dépassées, des cercueils entassés et des morgues débordées. Plus d'enterrements digne de ce nom, les pauvres gens sont incinérés avec 1 ou 2 proches à leurs côtés si la chance est là.

Au fait, moi c'est Lily et je vais vous raconter comment on en est venus au jour d'après.