the choice || haitani brother...

By elosbooks_

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Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu... More

꧁REGLES ENVERS L'OC꧂
Partie 1
prologue
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Partie 2
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PARTIE 3
33

2

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By elosbooks_

— On est arrivé, me dit une voix qui commence à être commune.

J'ouvre peu à peu les yeux avant de voir une grande rue piétonne dans laquelle de nombreuses boutiques sont installées et de nombreuses personnes avec des sacs marchent.

— serieux ? Je demande en baillant.

— Bah.. oui ?

— Je dormais. Je suis désolée tu roules trop lentement à mon goût. Dis je en souriant.

— Anya la ferme. Me dit il fermement.

Je le regarde alors en papillonnant avant de lui chuchoter « si cela peut te rassurer, t'as un peu plus d'abdos que ton frère, au touché seulement »

Il me regarde d'un air méprisant avant de lever les yeux au ciel, de me faire descendre de sa moto et nous commençons à marcher dans la rue piétonne.

— Tu veux aller ou ? Il me demande gentiment avant que je crie comme une conne :

— Là bas !

Nous rentrons donc dans une boutique de vêtements. Plus ou moins chers, mais aussi hyper canons. Je saisis pleins de vêtements, des jupes, des pantalons, mais aussi des tshirts des corps tops et des vestes.

Et lorsque je n'ai plus de place dans mes mains, je regarde Ran exasperé avant de lui tendre mes vêtements et qu'il prend avec le plus grand plaisir (Bien sur c'est ironique, il fait jamais quelque chose par plaisir ce con)

— tiens ça.. et ça aussi !

— t'as finis ?

— non, du tout. Dis je sèchement.

— allez bouge.

— sois patient.

— Non.

— Bril. Bon je vais essayé bg. T'as vu ça rime !

Je vais donc dans les cabines en essayant plusieurs tenues, mais aucune ne me va réellement. Ou bien ce n'est pas le style que j'attends réellement.

J'entendais Ran s'impatienter; et lorsque je sors de la cabine avec seulement quelques habits, je le vois avec un regard plus que soulé.

— fais pas cet tronche, dis je tristement déçue de ma journée de shopping.

— ca fait littéralement trente minutes que t'es dans cette cabine.

— je m'admire. Je fais avec un faux sourire sur mon visage.

— Y a rien à admirer anya.

— chut.

Je fais comme si ça m'importait peu, mais au fond sa remarque me blesse. Je ravale ma fierté et lui fait face.

— T'as prit quoi du coup ?

— ça. Lui dis je en montrant le seul bout de tissus que j'ai choisi.

Tu as seulement pris ça ? Me demande t il interrogé.

- bah oui..

— bon.. Il se dirige dans ma cabine et prend tous les vêtements encore accrochés aux portants dans ses mains.

Il arrive à la caisse et il paie, plein de sac et tout déborde, ça ne rentrera jamais sur sa moto, et même c'est une moto. Ce n'est pas fait pour faire du shopping.

— comment on fait ? Lui demandé-je à propos des sacs.

— De quoi comment on fait ?

Mais il est con ou quoi ?

— bah ? les paquets que je vais avoir ils peuvent pas se mettre sur ta moto andouille. Dis je en agitant mes doigts et montrant les objets en question.

— tu m'as appelé comment ?

— Andouille ?

— Ne t'abuses plus jamais de m'appeler de cette manière Anya. Je ne rigole pas. Ok ?

— Oui chef ! Dis je ironiquement.

— Je demande a les livrer. Me dit il à propos des habits qu'il tient dans sa main.

— on aurait pu commander, dis je à mon tour en haussant un sourcil.

— Non. Fait il sèchement ce qui me laisse d'autre choix que de répondre un simple « ok »

Nous continuons de faire les boutiques, et de faire chauffer la carte de Kokonoi hehe. J'ai hâte qu'il fasse un cauchemar à propos de ses sous envolés pour sa sœur chérie d'amour.

— C'est bon ? Il me demande exasperé, je suis sur le point de dire que oui, ça l'est. Mais je remarque une boutique Victoria Secret au loin.

- o- NON !

— Oh bordel, tu vas faire quoi encore ?

— Comme j'ai la carte de Koko.. j'vais aller à Victoria Secret !

— c'est quoi ça ?

— c'est ça ! Dis je en pointant les magasins du doigt. Je suis déçue qu'un petit coquin comme toi connaisse pas.

Je m'avance vers lui et lui touche le bout du nez avec mon indexe. Mais il me l'enlève directement en me parlant sèchement.

— Ah, je te laisse.

— d'acc, enfin une pensée censée, monsieur Gneugneu.

Je rentre alors dans la boutique et choisis pleins de sous vêtements. Je les prends sans même regarder leur prix. Je me dirige à la caisse et les paie. J'allais sortir de la boutique lorsque je vois un ensemble fleuri, en dentelle magnifique.

Je regarde ledit sous vêtement en me mordant la lèvre inférieure, à savoir si c'est raisonnable ou pas. Lorsque je vais pour saisir l'ensemble, je sens une présence importante derrière moi.

— Ca protège rien ça. Dit il en me prenant l'ensemble des mains et le monte à hauteur de sa tête.

— TA GUEULE ! Rends moi ca Ran !

— Ok, mais gueule pas comme ça.

-- ok..

Il me rend mon sous vêtement puis me demande ce que j'ai prit.

— Et t'as prit quoi ?

- ça te regarde pas la lingerie que j'achète c'est genant.

— Montre.

- non. Dis je de manière catégorique.

Il fouille alors dans les paquets déjà payés et les regarde un par un, m'adressant quelques fois des regards.

— Sexy.

- ta gueule.

— Tu sais dire que ca ?

— un problème ?

— A toi de me le dire.

— et pourquoi ?

— Pff t'es chiante parfois.

— dis que j'te fais chier tant qu'à faire.

— Tu me fais chier. Dit il froidement en m'adressant un regard sans émotions.

— j'aurai du venir avec Rindo.

— Ta gueule.

— Tu sais dire que ça ? Je l'imite et essaie de faire une voix virile, comme lui.

Je paie l'ensemble que j'ai vu et je sors de la boutique avec Ran a mes côtés. Mais il m'emmène vers la pharmacie, et j'ai aucune idée de pourquoi je le suis.

— Grouille Anya.

— Pourquoi on y va ?

— Pour ta pilule peut être ?

— hein ?

— pilule contraceptive. Dit il simplement.

— mais pourquoi ?

— T'en prends pas ? Me dit il avec un regard scrutateur et en haussant un sourcil.

— bah non, je devrai ?

— et donc si t'es trop bourrée en soirée que tu couches avec quelqu'un et que y'a pas de préservatif tu fais comment ?

— j'ai jamais fait. Dis je timidement. Je sens que je vire au rouge cramoisi, c'est horrible.

— De soirée ?

— Oui.

— bah alors tu peux quand même répondre au reste de la question.

— j'ai jamais fait non plus. Dis je en baissant mon regard vers mes pieds

— Attends ! T'es sérieuse ?

— quoi ?

— T'es encore vierge ?

- on peut arrêter de parler de ma vie sexuelle s'il te plaît.

Pitié je veux sortir de cette situation absolument horrible et gênante. Non j'ai jamais eu de rapport sexuel, er le peu d'expérience que j'ai elles sont non voulues.

— Pour le coup, t'en as pas. Me dit il avec un sourire en coin.

- merci de m'en informer. Dis je brusquement.

Je commence à partir dans le sens opposé afin de me sortir seule de cette situation, on n'est jamais mieux servis que par soi même non ? Mais alors que je fais demi tour, une main vient m'attraper le poignet et me tirer vers un corps chaud.

— tu veux quoi encore ?

— Tu es gênée ?

— non enculé. Dis je froidement et brusquement en le regardant dans les yeux.

— Tu m'as appelé comment ?

— c'était pourtant clair non ? Je le défie désormais du regard

— Oh bichette elle est vexée.

— Non sérieux ? je dis sarcastiquement. Tu me juges absolument depuis que j'ai mis un pied dans votre satanée maison. Et puis tout le monde serai dans le même état que moi !

— t'as quel âge ?

— vingt.

— Et tu es toujours vierge ? Et vas-y le haussement de sourcil est de retour.

— bah en soit la virginité c'est un concept de notre société donc- Je souris de mes plus belles dents essayant d'esquiver la situation.

— Ok j'ai ma réponse.

— j'l'ai déjà fait.

— Ah donc-

— mais j'étais bourrée.

— donc t'es allée en soirée ?

— non.

Ran : hein ?

— bah cherches pas à en savoir plus, s'il te plaît.

Je fais vraiment de la peine. Je suis entrain de supplier un mec pour qu'il arrête de me poser des questions sur ma virginité..

— bon on peut partir ?

Il ne dit pas un mot et part, et je suis très gênée par ce que je viens d'affirmer. Il avance vers sa moto et sans un mot je monte dessus, il me suit et prend mes bras pour les enrouler autour de lui.

Je me serre contre lui et bizarrement, il a l'air d'avancer plus vite qu'à l'allée même, beaucoup, beaucoup plus vite.. Je me serre alors à lui en ayant peur pour ma pauvre petite vie.

Au bout de plusieurs minutes de trajet nous arrivons à la maison du Bonten. On ouvre la porte mais personne ne s'y trouve. Seulement les paquets qu'on avait fait livrés s'y trouvaient.

— tu vois ça arrive.

- je monte ça dans ma chambre.

— Restes y si tu veux, ça m'arrangerai.

— j'vais pas me gêner tient.

— tu veux à boire ?

— non, merci.

Il me regarde avec un regard noir et je monte avec mes paquets dans ma chambre, et ils se cognent partout. Je suis au dernier étage j'arrive essoufflée et c'est horrible. Alors je me plains en rangeant mes habits.

— quelle idée de me mettre au dernier étage..

— tu te plains ?

— bordel ! Tu m'as fait peur ! M'ecrié-je en mettant la main sur mon coeur. Vas voir ailleurs si j'y suis.

— tu veux pas de l'aide ?

— j'ai pas trois ans.

— D'akodak.

Il descend alors dans les escaliers pendant que je range tout dans mon dressing en marmonnant des jurons et des choses qui m'insupportent aussi.

L'avantage, c'est que j'ai l'étage que pour moi. Car oui ma chambre, le dressing et la salle de bain sont au même étage, seulement à moi.

Finalement, je réussis rapidement à mettre tout dans mon dressing et il est vite rempli. Mais je remarque un truc, il manque des chaussures.

— merde.. les chaussures..

Je me tourne pour sortir du dressing lorsque je vois Ran, adossé contre l'encadrement de la porte, les bras croisés, comme une daronne.

— T'as oublié quelque chose ?

— j'ai pas acheté de chaussures.

— Allez, viens. Je t'accompagne. Et c'est non négociable mademoiselle.

— c'est si gentiment demandé. Dis je ironiquement.

— allez bouge avant que je change d'avis.

Nous étions alors partis acheté des chaussures. Le chemin était fait par mon comportement d'une gamine de 10 ans. Nous étions enfin arrivés devant la boutique de chaussures en question.

— Aller rentre, me dit il avec un mouvement de tête en direction de l'intérieur.

— YES !

— 400 balles pour des chaussures ?

— Bah autant en profité. Dis je en agitant la carte de Koko sous son nez.

Je prend des dunk low varsity blue, ainsi que d'autre petites dunk. Avec j'ai prit des chaussures à plateforme. Une paire de bottes en simili cuir blanche, et la même en rouge, elles sont aussi à plateforme.

Au final y en a pour 132 247 ¥, et en sortant, Ran reprend enfin la parole.

— il va te tuer.

— Mais nooon. Dis je en battant l'amour main comme un poignet cassé.

— T'es trop sereine, si il te tue j'y suis pour rien ok ?

— J'y suis pour rien non plus, c'est pas moi qui ai décidé sullen aller bruler mon appart et me retrouver avec des gens comme vous.

— Comment ça des gens comme nous ?.

oupsi.. j'ai fait une boulette, adieu.

— bah tu sais... vous tuez, vous allez au bar à pute, vous êtes des méchants quoi..

— Y a pas de méchant ou de gentil dans la vie. Quand tu l'auras compris tu seras sûrement plus grande. Tout n'est pas noir ou tout blanc, des cons y en a partout. Et c'est une vérité.

— D'akodak monsieur le philosophe.

— La ferme et on rentre, grimpe.

Nous rentrons alors à la maison et il n'y avait toujours personne. Je reprend ma route vers ma chambre et j'essaie une nouvelle fois mes nouvelles chaussures avant de les ranger toute bien dans mon dressing.

Puis, j'entends du bruit puis des pas en direction de ma chambre. Je vois soudainement Ran avec un paquet de serviette hygiénique dans sa main.

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