Bonne lecture 🤍
— Allons danser, dis-je en tirant Isaac par la main.
Nous dépassons Samaël et Caleb, je sens le regard de Samaël avec insistance sur moi.
Caleb nous interrompt en discutant avec Isaac. Samaël m'attire vers lui et il saisit mes deux mains.
— Vous alliez faire quoi ? Dit-il en fronçant les sourcils.
— On allait juste danser, dis-je en haussant les épaules.
— Je te connais, Athéna, dit-il en caressant mes bras. Le mot danser pour toi n'a pas la même définition que pour nous, dit-il en plongeant ses pupilles dans les miennes.
— C'est vrai, dis-je en souriant, ainsi, tu peux me laisser danser en tranquillité ?
Il me saisit par les joues et il esquisse un sourire malicieux.
— Tu pourras danser autant que tu veux mais, aucun homme ne viendra vers toi, dit-il en chuchotant au creux de mon oreille.
Je rigole d'un rire nerveux.
— J'ai menacé tous les hommes qui sont dans cette boîte en ce moment-même, ajoute-t-il avec un mauvais sourire. Il sait tous à qui tu appartiens, dit-il en mettant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.
— Pourquoi fais-tu cela ? J'ai le droit de m'amuser, dis-je en fronçant les sourcils.
— Maintenant que je t'ai baisé. Non, dit-il en plaquant ma poitrine sur son torse.
— Je te déteste, tu le sais hein ? Dis-je en relevant mon visage vers le sien.
Il esquisse un rictus amusé et il me soulève le menton. Il passe sa main derrière ma nuque pour venir coller ses lèvres aux miennes. Il ferme ses yeux et j'effleure ses lèvres.
— Cela serait trop facile, n'est-ce pas ? Dis-je en posant mon index sur sa bouche.
Samaël rouvre ses yeux, plantant ses pupilles dans les miennes. Je me décolle de lui en lui esquissant un sourire narquois. Il entrouvre la bouche et il humidifie ses lèvres, il me tire le bras m'entraînant avec lui.
— Samaël, tu me fais mal, dis-je en le suivant.
Il desserre sa poigne sur mon bras mais, il me retient toujours. Il m'emmène dans un couloir où il n'y a pas de personne dans celui-ci et il me plaque contre le mur.
Je n'ai pas le temps de protester qu'il écrase violemment ses lèvres sur les miennes. Je ne peux qu'accepter ce baiser qui me rend littéralement folle de cet homme.
Nos langues sont maintenant en train de danser ensemble, je gémis et lui grogne. Il plonge une main dans mon décolleté et il vient caresser mon sein. Je me cambre contre le mur de plaisir me collant à son bassin, j'ondule contre lui.
— Dis-moi que tu me hais, Athéna. Et je stopperai tout, dit-il en retirant sa main de robe.
Je me mords la lèvre en le regardant et j'esquisse un sourire malicieux. J'attrape sa nuque et le tire vers moi pour l'embrasser.
— Cela te suffit, comme réponse, dis-je entre deux baisers.
Je le sens sourire contre mes lèvres. Il remonte ses mains sur mes jambes nues et il remonte ma robe.
— Enlève ton string, dit-il d'une voix rauque.
— Des gens peuvent venir, Samaël, dis-je en regardant autour de nous.
— Athéna, ne me dit pas que tu n'aimes pas prendre du risque ? Dit-il avec un sourire narquois.
J'attrape sa main et je l'enfouis dans mon entre-jambe en le défiant du regard. Il me regarde et une lueur d'étonnement et de désir brille dans ses yeux.
J'enlève mon string et Samaël me l'arrache des mains et il la met dans sa poche. Je le regarde en secouant la tête d'exaspération.
Point de vue Samaël
Je la pénètre avec un doigt et Athéna me regarde avec surprise avant de se laisser aller. Elle m'embrasse mon cou et le mordille, je grogne et je fais des légers va-et-vient en elle. Je lui laisse le temps de s'adapter à mon doigt et je la pénètre avec un second. Athéna, ouvre la bouche pour gémir mais j'insère sa culotte dans celle-ci.
— Ferme-la, dis-je d'une voix autoritaire.
Elle suit mon mouvement avec son bassin et je continue de glisser mes doigts à travers son humidité. Je joue avec son clitoris en accélérant le mouvement tout en pressant mon corps contre le sien pour qu'elle s'aperçoive à quel point je la désire. J'insère un troisième doigt en elle et ses yeux se révulsent, elle s'affaisse contre moi tandis que ses paupières se ferment. Son corps se détend et je ne cesse pas de jouer avec son sexe.
Je la remplace face à moi et je lui retire de la bouche son string et je l'enfourne dans ma poche. Sa respiration est forte, toute fois, je ne lui laisse pas la reprendre correctement et je colle mes lèvres aux siennes. Je mordille sa lèvre inférieure et elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon. Elle restreint son emprise et mon érection était déjà assez douloureuse mais je ne veux rien faire dans cet établissement.
— Il est mieux que nous continuons cela autre part, dis-je en me décollant d'elle.
— Il vaut mieux, dit-elle en remettant sa robe correctement.
Ses lèvres pulpeuses sont légèrement rougis et elle m'adresse un sourire avant de marcher devant moi. Nous retournons dans l'endroit où le club est fréquenté par les gens et nous dépassons le reste de la bande.
— On rentre, débrouillez-vous pour rentrer, dis-je en continuant à marcher.
— Je veux mon virement maintenant, dit Sébastien en chuchotant à Caleb.
Je me retourne et je lui lance un regard noir avant de sortir de la boîte. Nous entrons à l'intérieur de la voiture.
— Tu as intérêt à accélérer, dit Athéna en se collant contre le siège en se mordant la lèvre.
Je démarre en trombe sentant mon membre se lever plus que je ne l'imaginais. Athéna, respire encore fort et elle ouvre la fenêtre pour prendre l'air. J'accélère de plus belle pour rejoindre au plus vite la villa, la tension sexuelle entre nous ne me permet pas de prendre mon temps.
***
Le garage ouvre et je n'attends pas qu'il soit ouvert et j'entre dedans. Je gare la voiture négligemment et nous défaisons nos ceintures puis, nous claquons notre portière pour sortir du véhicule. Nous marchons rapidement vers l'ascenseur et je laisse Athéna marcher devant moi, juste pour voir remuer son joli cul qui me fait tant d'effet.
Nous entrons dans l'ascenseur et elle appuie sur le bouton. Elle se place en face de moi et la tension entre nous est palpable. Je la dévore du regard et elle en fait autant, aucun de nous deux s'approche de l'autre. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent et nous sortons.
Athéna saisit ma main et nous dépassons le hall pour monter les escaliers. Nous courons presque pour pouvoir atteindre notre chambre.
Je claque la porte derrière moi et je ne tarde pas à sauter sur Athéna. Nous nous embrassons, la chaleur de ses lèvres contre les miennes me fait grogner de plaisir. J'agrippe son fessier et elle enveloppe ses jambes autours de ma taille, j'avance jusqu'au lit. Je nous laisse tomber dessus et Athéna passe ses mains sous mon t-shirt pour caresser mon torse.
Elle retire mon t-shirt pendant que je lui embrasse son cou. Nous redressons et nous enlevons mutuellement nos vêtements. Ses yeux me transpercent me montrant son envie, je reste scotché à son regard. Que je ne m'aperçois pas qu'elle est déjà sur moi, je la colle près de mon torse.
Je lui tire les cheveux en arrière pour avoir accès à son cou totalement. Je l'embrasse, lui mords et lui suçote. Athéna, soupire de plaisir et je lui caresse son sein gauche, je lui pétris les deux seins de mes mains. Sa peau est brûlante et je lui lèche son sein droit, Athéna passe ses mains dans mes cheveux.
— Tu aimes ? Demandais-je d'une voix rauque.
— Oui, continue, dit-elle d'une voix douce.
Je trace un chemin humide jusqu'à son autre sein, je lui lèche tout en caressant l'autre avec ma main. Je lui suce et je lui mords le sein, elle a un hoquet de surprise avant de gémir. Je la saisis par le menton et je l'embrasse mélangeant notre salive. Je pose ma main sur son clitoris et mes doigts s'activent dessus, elle gémit bruyamment.
— Je veux te sentir en moi, dit-elle en collant son front au mien. Sa voix est sensuelle me rendant mon membre dure sous-elle.
Elle attrape un préservatif et l'ouvre avec précaution et elle revient devant moi. Mon membre était dur comme fer et elle sourit le déroulant sous mes yeux avec un sourire provocant.
Je la saisis par la gorge et je me positionne au-dessus d'elle, je la pénètre brutalement.
— Regarde-moi, je veux que tu me regardes, ordonnais-je.
Elle ouvre difficilement les yeux et elle plante ses pupilles dans les miennes. Je fais des vas-et-vient en elle et je grogne de plaisir. Elle se redresse pour écraser sa bouche sur la mienne et je l'attrape par la nuque. Nous changeons de position, Athéna est maintenant au-dessus de moi. Elle fait des mouvements de bassin sur mon membre et elle s'amuse à s'enfoncer lentement, je la regarde faire. Elle mord sa lèvre et ses seins ronds bouge à chaque mouvement me rendant fou.
— Oh putain Samaël ! Dit-elle en posant ses mains sur mon torse.
Elle accélère la cadence et je sens l'orgasme pointer. J'aime lorsqu'elle prononce mon prénom comme cela.
— Athéna, dis-je en grognant de plaisir. Accélère, déclarais-je en posant mes mains sur ses fesses pour l'accompagner.
Elle exécute et ses mouvements sont plus rapides, je resserre ma poigne sur son fessier. Je râle de plaisir et son corps commence à trembler, elle ralentit ses mouvements. Je prends alors les rennes et je l'enfonce en moi et la pénètre brutalement. Elle crie de plaisir et nous jouissons ensemble. Elle s'effondre sur moi et je lui embrasse la clavicule, elle roule sur le côté.
J'ôte le préservatif et j'enfile un nouveau.
— Je n'en ai pas fini avec toi, Athéna, dis-je d'une voix rauque.
— Je m'en doutais, dit-elle en se mettant à genou sur le lit.
— À quatre pattes maintenant, ordonnais-je.
— Et si je n'en ai pas envie, dit-elle avec un sourire narquois.
— Et bien, je te mettrai moi-même dans cette position, dis-je en effectuant mes dires.
Je la retourne dos à moi et j'oblige à poser ses mains sur son lit. Je lui caresse le long de son dos et elle se cambre de plaisir. Elle touche mon membre en se cambrant, mon membre se durcit à nouveau. Je m'insère en elle et elle gémit de plaisir. Ses fesses se claquent contre mon bassin et je grogne de plaisir.
— Oh mon dieu, Samaël ! Crie-t-elle. Plus fort ! Elle bouge son bassin pour que mon pénis s'enfonce profondément en elle.
— Putain, Athéna tu es tellement bonne ! Déclarais-je en grognant.
— Et bandante, ajoutais-je.
— Continue à me parler, Samaël. Putain ! Tu m'excites tellement, dit-elle en se cambrant au maximum.
Bordel, mes mots salaces l'excitent.
— Tu es si chaude, Athéna, soufflais-je de plaisir.
— Tu m'appartiens ! Dis-je en lui voyant un coup de rein sec.
Elle hurle de plaisir et j'ajoute ma main sous elle pour venir titiller son clitoris.
— Bordel! Tu me rends folle ! Dit-elle.
— Dis-le, Athéna, dis-je d'une voix autoritaire.
Je lui envoie un autre coup de rein plus puissant que l'autre.
— Non, bafouille-t-elle.
Même lorsqu'elle est sur le point d'atteindre un orgasme maximal, cette femme ne cessera jamais de me provoquer. Je serre la mâchoire et je m'enfonce en elle brutalement et mes va-et-vient sont brutaux. Je lui tire les cheveux la cambrant au maximum.
— Es-tu sûr, Athéna ? Dis-je en lui tirant fortement par les cheveux et je la pénètre en même temps.
— Je-, oh ! Dit-elle. Non, fini t'elle par prononcer.
— Je veux t'entendre le dire, tu m'appartiens, Athéna, dis-je en grognant.
Je lui claque les fesses la faisant hoqueter de surprise.
— Je t'appartiens, dit-elle dans un souffle.
J'accélère mes mouvements en elle et un nouvel orgasme arrive.
— Tu ne sais pas combien de temps, j'ai rêvé t'entendre dire cela, dis-je avec sincérité.
Elle grogne et l'orgasme tombe sur nous, mes mouvements deviennent plus lent et je tombe sur le côté. Nos respiration sont saccadées et Athéna à des spasmes incontrôlés. Elle ferme les yeux en respirant bruyamment et elle se colle à moi.
Elle pose délicatement ses lèvres sur les miennes et je lui caresse la joue. Elle frisonne et elle approfondit notre baiser en joignant sa langue à la mienne. Nous nous embrassons langoureusement, elle stoppe notre échange.
— À moi de te faire du bien, dit-elle.
— Athéna, tu n'es p-
— J'en ai envi, Samaël, dit-elle en souriant.
Elle se lève et elle me tire par le bras pour me redresser. Je suis assis sur le lit et elle s'agenouille devant moi, elle a l'air d'être concentrée. Sa tête me fait rire et je me moque d'elle.
— Quoi ? J'ai quelque chose choisi sur la tête, dit-elle en fronçant les sourcils.
— Non.., tu as l'air si concentré, dis-je avec un sourire en coin.
— Ferme-là, et laisse-toi faire, dit-elle posant ses mains sur mes genoux.
Mon membre se redresse immédiatement et Athéna relève la tête vers moi avec un sourire narquois.
Je déteste le pouvoir que cette femme à sur moi.
— Je t'interdis de rire, dis-je en la regardant avec un regard noir.
Elle me regarde avec des yeux rieurs.
Je sens son souffle chaud contre mon membre. Athéna saisit mon pénis de ses deux mains. Elle commence à le frotter elle exécute des mouvements délicats de va-et-vient. Elle me caresse avec une caresse audacieuse et je sens mes yeux s'assombrir de désir. Je laisse un gémissement m'échapper.
Elle insère mon membre dans sa bouche, elle l'accueille avec empressement. Elle accélère le rythme avec sa bouche. Je grogne de plaisir et elle fait des va-et-vient en jouant avec sa langue. Elle lèche mon pénis sur tout le long jusqu'à la base, je grogne d'une voix rauque.
— Oh putain ! Tu es parfaite, Athéna, dis-je en croisant ses iris.
Nos yeux ne se quittent plus alors qu'elle avale une nouvelle fois mon membre dans sa bouche. Elle rajoute sa main et je gémis.
— Laisse-moi baiser ta bouche, dis-je d'une voix grave.
Elle arrête la fellation qu'elle me faisait, elle hoche vivement la tête.
— Use tes mots, s'il te plaît, dis-je en voulant avoir complètement son consentement.
— Oui, dit-elle en me regardant.
Je me lève et j'insère mon sexe dans sa bouche brutalement. Je tiens sa tignasse durant que mes hanches remuent. Mon sexe cogne contre sa joue, mon sexe grandit encore contre son palais. Elle l'aspire tout en me regardant, j'agrippe avec mes deux mains sa tête puis j'intensifie le mouvement de va-et-vient. Je lui impose le rythme et je grogne de plaisir, je sens que je vais jouir bientôt.
— Je vais jouir, mi corazón, dis-je en préférant la prévenir.
Je retire mes mains pour qu'elle puisse s'écarter s'il elle le souhaite. Au lieu de cela, elle me suce mieux en me faisant atteindre l'extase.
— Athéna, gémissais-je.
Je grogne de plaisir et je laisse ma semence jaillir dans sa bouche. Elle se retire sa bouche de mon pénis et elle me regarde toujours à genoux devant moi.
— Avale, ordonnais-je.
Elle le fait sans rechigner, je la fixe avec admiration. Athéna, retire avec son pouce le sperme qui est autour de ses lèvres tout en me fixant. Elle esquisse un sourire et elle se lève devant moi. Je l'embrasse passionnément puis je l'embrasse dans le cou. Athéna, me repousse délicatement, je grogne.
— Je vais prendre une douche, dit-elle en marchant fièrement vers la salle de bain.
J'acquiesce en regardant la marche jusqu'à la salle de bain.
Dans ma tête, tout s'entremêlent. Je crois qu'Athéna me fait plus d'effet que je le voulais. Je souhaite que tout le monde sache qu'elle est à moi.
***
Point de vue Athéna
L'eau chaude coule sur moi et je ne cesse de repenser à ce que j'ai ressenti lorsque Samaël m'embrassait ou lorsqu'il me baisait.
Je ne saurais expliquer peut-être l'expression que Joy m'expliquai la dernière fois lorsqu'elle était folle d'un homme.
Des papillons dans le ventre ?
Non, impossible.
Ressaisis-toi, tu ne peux pas ressentir ce genre de chose.
Le minimum d'amour qui restait en toi est mort quand elle est morte.
Je sens une présence derrière moi, je souris sans le vouloir en sachant que c'est Samaël.
Il me colle à lui et je dépose ma tête contre son torse. Il saisit mon menton et il incline ma tête vers l'arrière, il pose ses lèvres délicatement sur les miennes.
Pourquoi, je ressens encore cela ?
Il me retourne vers lui, Samaël, sourit contre mes lèvres et nous mêlons nos deux langues ensemble. Samaël mord ma lèvre et je gémis de surprise. Il m'agrippe par les fesses et j'enroule mes jambes autour de sa taille. Nos deux sexes se narguant l'un l'autre. Il s'attaque à mon cou, il le mordille, le suce.
— Je voudrais que tu me prennes maintenant dans cette douche, mais je veux me coucher, dis-je avec regret.
Mon corps était rempli de courbature.
Il acquiesce et me relâche doucement. Nous terminons de nous doucher tranquillement tout en se regardant.
***
Je me réveille tranquillement sentant que l'on me touche ma main. Je papillonne des yeux et Samaël me caresse avec son pouce ma main.
— Je vais y prendre goût à la fin, déclarais-je.
— Bonjour à toi aussi, dit-il d'une voix encore ensommeillée.
Je m'étire dans le lit avant de me lever de celui-ci. Je me dirige vers la porte pour aller prendre le petit déjeuner.
— Tu ne m'attends pas ? Demande Samaël.
— Tu connais le chemin, dis-je en haussant les épaules.
Je quitte la chambre et je traverse le couloir, je dévale les escaliers. J'entends des voix à travers les murs de la cuisine. J'entre dedans et tout le monde est là, il ne manquait plus que moi et Samaël.
— Bonjour, dis-je en m'installant à côté de Carlos.
— Bien dormit à ce que je vois, dit-il avec un rictus amusé, il pose sa main sur mon cou en me montrant mon énorme suçon.
Je le regarde et je souris d'amusement. Nous rigolons ensemble lorsqu'il y'a un raclement de gorge. Je détourne mon regard de Carlos et je le pose sur Samaël. Il me lance des éclairs à travers son regard et il fixe la main de Carlos qui lui le retire au plus vite. Je le regarde lasser de son comportement et je bois mon chocolat chaud.
— Alors, Sébastien tu n'es plus en manque ? Dis-je en buvant une gorgée.
— Non, seulement je ne le suis plus et cet ton amie Joy qui m'a aidé, dit-il avec un sourire fier.
J'allais recracher ma boisson, je l'avale et je dévisage Sébastien.
— Elle n'était pas au club, dis-je en fronçant les sourcils.
— Non, je suis allé la rejoindre chez elle, dit-il en haussant les épaules.
— Ne t'approche plus d'elle, Sébastien. Tu peux la mettre en danger, dis-je calmement.
— Je pourrais te dire oui mais, j'irai la revoir quand même, dit-il en souriant.
— Tu as intérêt à faire attention parce que je te jure que tu auras affaire à moi, dis-je simplement.
Il acquiesce et je me lève en débarrassant mon petit déjeuner. Je sors de la cuisine, je longe le couloir et je remonte les escaliers rapidement. Je rentre dans ma chambre et je croise Samaël sortant de la salle de bain. Il est enveloppé d'une simple serviette, je ne souhaite pas m'attarder sur lui et je rentre dans la salle de bain. Je me lave brièvement et je quitte la douche en moi séchant et en enroulant une serviette autour de moi.
Je rentre dans le dressing et je surprends Samaël en train de dérouler sa serviette. Il est de dos à moi et j'observe son fessier.
— Tu souhaites de l'aide pour me mater où ça va aller ? Dit-il avec un sourire narquois en me regardant dans le miroir.
J'esquisse un sourire et je le fais disparaître en repensant au petit déjeuner. À cause de lui, Carlos, ne m'a plus adressé la parole.
Je me dirige vers mes vêtements puis j'ôte la serviette qui m'entoure. Je me retiens de regarder Samaël, je sens son regard brûlant sur moi. Je mets mes sous-vêtements et je réajuste mes bretelles de mon soutien-gorge rouge en dentelle.
— Tu ne veux pas plutôt l'enlever, chuchote une voix rauque près de mon oreille.
Je frissonne au touché de Samaël. Son souffle chaud sur ma nuque me fait tressaillir. Il enlève une bretelle tout en m'embrassant la clavicule bientôt il se retrouve au sol. Je me mords la lèvre inférieure en sachant que je suis censée ne pas lui parler.
On peut bien faire une exception ?
Non.
Samaël malaxe mes seins et les titilles, il me retourne vers lui.
D'accord, juste une.
Il ne m'a toujours pas embrasser, ma bouche est sèche en attendant ses lèvres contre les miennes. Comme s'il avait lu dans mes pensées, Samaël écrase sa bouche sur la mienne. Puis, il m'embrasse la mâchoire et il arrête son chemin sur ma poitrine. Il me lèche mon mamelon de mon sein droit tandis qu'il titille mon sein gauche avec sa main.
Je gémis de plaisir et je sens mon sexe s'humidifier dans ma culotte. Il embrasse brièvement ma cicatrice et il fait la même chose avec mon autre sein. Il me mordille mon téton et je crie de surprise mélangeant la douleur et le plaisir. Il trace une ligne droite jusqu'à mon bas ventre. Il pose ses yeux sur moi, je comprends instinctivement qu'il veut mon consentement. Il est maintenant à genou devant moi.
— Dépêches toi, Samaël, dis-je avec un gémissement plaintif.
Il embrasse mon ventre et je le sens sourire contre ma peau chaude. Il pose ses mains sur mon intimité encore protégée par ma culotte. Il enfonce un doigt à travers le tissu brutalement et je me mords ma lèvre pour ne pas gémir.
— Tu es déjà mouillé pour moi, dit-il avec satisfaction.
Il enlève mon string en le faisant glisser lentement sur mes jambes, il me regarde tout en faisant cela. Il enfonce un doigt doucement en moi et il fait de lent va-et-vient. Il en insère un autre et je gémis, il accélère la cadence et il soulève ma jambe et il la fait passer au-dessus de lui. Il embrasse mon clitoris, il est introduit dans sa langue. Je ne peux pas m'empêcher de crier de plaisir, je m'adosse au mur. Je passe mes mains dans ses cheveux et j'accentue l'échange.
— Bordel, tu es parfait, dis-je en respirant fort.
Il ajoute son doigt et il titille mon clitoris avec sa langue, je manque de m'écrouler, submerger par cet élan de plaisir.
— OH ! Samaël continue, je vais jouir.
La boule qui s'est formée menace de s'exploser, l'orgasme me menace d'exploser. Je suis proche de l'extase, je ne fais que gémir lorsque Samaël s'arrête net.
— Qu'est-ce que tu fais ? Demandais-je en restant scotché par ce que Samaël vient de me faire subir.
— Je te punis, je t'avais dit que tu regretteras dans la douche, dit-il avec un sourire mauvais. De plus, je n'ai pas aimé que Carlos te touche et que tu le laisses faire.
Je rigole d'un rire nerveux en ramassant mon soutif.
— Tu n'es pas sérieux, Samaël. Me laisser dans l'attente de mon orgasme seulement pour ça ! M'exclamais-je.
Il ricane à son tour et il se relève tout en ajustant son col de chemise.
— Tu es prévenu, dit-il un rictus amusé.
— Et toi tu es privé de sexe , dis-je avec un sourire mauvais.
Il rigole en remettant ses bagues et il s'arrête lorsqu'il voit mon air sérieux.
— Athéna, tu-
— Tu es prévenu, le coupais-je.
Je ne le calcule plus, il s'en va et j'entends la porte de la chambre claquer. Je m'habille avec un top court et un short. Je laisse mes cheveux se détacher et je vais dans la salle de bain pour me préparer.
***
J'entre dans le bureau de Samaël. Je marche jusqu'à son bureau et il ne m'adresse aucun regard.
— Qu'est-ce que je peux faire pour t'aider, Jefe ? Dis-je en applique sur le mot Jefe pour qu'il fasse la différence.
— Rien, dispose maintenant. Je te laisse ta journée, durant celle-ci prend le temps de réfléchir à tes paroles, dit-il en ne me regardant pas.
Je comprends qu'il fait référence à sa punition. Je me lève et je marche jusqu'à la sortie, je quitte son bureau. Je traverse le couloir et je rejoins le hall, je sors dehors. Le soleil tapant fort sur moi je me dépêche à marcher jusqu'à l'entrepôt.
Je fais un hochement de tête à tous les hommes que je croise et je rejoins Carlos et Raphaël. C'est deux la ne se quittent désormais plus.
— Que fais-tu là ? Demande Carlos.
— Je veux travailler avec vous, dis-je.
— Tu n'es pas censé être blessée? Demandait Raph avec méfiance.
— Ouais, ta hanche n'est pas censée être fracturée? Ajoute Carlos.
— Ma hanche n'est pas fracturé, je me suis juste fait poignarder, dis-je en croisant les bras.
Ils me toisent du regard t je leurs souris.
— On doit aller faire de l'espionnage, déclare Carlos.
Nous avançons en même temps qu'il m'explique la situation. Nous montons dans la voiture et Carlos démarre. L'espionnage n'était pas censer être long nous avons juste besoin d'une information.
***
Nous sommes enfin de retour à la villa, nous nous sommes arrêtés à un fast-food pour manger. Nous avons eu l'information que nous avions besoin, je descends de la voiture et je claque la portière. Je regarde l'heure sur mon téléphone et il n'est que quinze heures. La température a encore augmenté, je suis presque en sueur. Je retourne dans la villa laissant les gars à leurs occupations.
Je sais déjà où je vais et je marche jusqu'au bureau de Samaël. Je colle mon oreille près de la porte pour voir s'il est occupé ou il est avec quelqu'un, mais je n'entends rien.
Je souris face à ce que je vais faire et j'entre dans le bureau de Samaël. Je verrouille la porte et je me retourne faisant face à Samaël. Il est toujours derrière son bureau, ses yeux scotchés à son ordinateur.
— Oh mon dieu, qu'est-ce qu'il fait chaud, dis-je en m'exprimant assez fort pour avoir l'attention de Samaël.
Je retire mon haut et je le balance sur le fauteuil, je sens le regard de Samaël sur moi. Mais, je ne fais pas attention à lui. Je suis désormais en soutien-gorge rouge et je marche jusqu'au bar. Je sers de l'alcool dans deux verres et Samaël me suit toujours du regard, j'arrive jusqu'à lui.
— Tu veux un verre ? Dis-je en m'abaissant mettant ma poitrine en valeur pour le provoquer.
Il grogne et il passe une main sur son visage.
— Bordel, rhabille-toi maintenant ou je te prends sur mon bureau et seul le diable sait que j'ai envie d'assouvir tous mes fantasmes avec toi ! Déclare-t-il en plantant ses pupilles dans les miennes.
Je souris intérieurement voyant que mon plan marche à la perfection. Je bois une gorgée de mon verre et je pose les deux verres sur son bureau. Samaël me regarde en attente de ma réponse. Je ferme son ordinateur le poussant plus loin pour qu'il n'y est pas de dégât et je m'assois sur son bureau.
— Qu'est-ce que t'attend ? Dis-je en croisant mes bras.
Il n'attend pas pour me saisir par les joues et il m'embrasse brutalement. Je mentirais si ses lèvres ne m'avait pas manqué durant cette journée. Il déboutonne mon short et je lui déboutonne son jean. Il envoie valser les affaires au sol qui traînait sur son bureau et il me bascule dessus. Il embrasse ma mâchoire et il retire en même temps mon string, il le met dans sa poche et il descend son boxer.
Je l'embrasse dans le cou tout en baladant mes mains sur son corps, je lui mordille le cou. Il grogne de plaisir et il enfile le préservatif sur son membre dure.
— Oh putain, Athéna, j'ai tellement envie de toi, dit-il d'une voix rauque. Nos sexe se frôlent désormais.
Il s'apprête à m'embrasser de nouveau mais, je recule.
— C'est dommage parce que moi, non, dis-je en le repoussant avec ma main.
Samaël se tend directement à mes paroles et sa mâchoire se contracte.
— Je reprends ça, je plonge ma main dans sa poche et j'attrape mon string, tu ne m'en veux pas j'espère ? Dis-je avec un sourire mauvais et en descendant de son bureau.
— Tu n'es pas sérieuse, Athéna, dit-il en me regardant me rhabiller.
Je remets mon short et je lui offre mon plus beau sourire.
— Oh que si et tu ferais mieux de t'habiller, dis-je en pointant son sexe. Cela serait regrettable que tu attrapes froid, Samaël, dis-je avec un sourire narquois.
Je lui tourne le dos et je marche jusqu'au fauteuil où j'ai laissé mon t-shirt.
Samaël reste silencieux et je l'entends s'habiller.
— À tout à l'heure, mi corazòn, dis-je en déverrouillant la porte.
XXXXXXXXX
On peut dire que ce chapitre à été riche en sexe ! 🌶
J'espère que ce chapitre vous a plus 🖤