Maman m’apprendra aussi que Matthias avait envoyé un architecte à la maison pour les informer qu’il voulait me construire une maison. Ils devaient venir avec eux à la fin du mois choisir le terrain je la rassure. Tom et mes sœurs était déjà au courant Tom et Nadine allait les accompagner choisir le terrain mon frère et mes sœurs connaissent mes goûts.
Selon Matthias j’avais droit à un 4 chambres salon plus un pavillon de deux pièces c’était tout. J’étais déjà reconnaissante envers lui. J’étais aussi perplexe pourquoi avoir accepter de me construire une maison si j’étais juste de passage ce garçon était trop compliqué à mon goût.
Tête poser sur mon lit je sent une main sous la couette c’était Matthias il était revenue de son voyage et vue sa tendresse son ropero ne m’avais pas encore vendu. Je ferme ma bouche et je continue à dormir en me mettant dans ces bras. Le lendemain matin son petit déjeuner était sur la table moi j’étais déjà prête pour l’université il me demande de m’asseoir
Matt : Où est tu aller après ton départ avec Ben
Zora : Nous sommes allés déjeuner à la cafète
Matt : Il n’y a pas assez de café ici chez toi?
Zora : Je ne pouvais pas l’emmener ici quand même
Matthias me regarde il continue son petit déjeuner en disant sur un ton plus que décontracté
Matt : À la fin du mois tu rentre à Yaoundé et tu m’attends la bas. Ont passera par là pour les USA.
Zora : Ok pour combien de temps à cause de mes cours à l’université. Je dois trouver une solution
Matt : T’inquiètes tu à trois semaines de congés tu ne va donc manquer que pour 3 jours tes cours.
Zora : D’accord.
Matt : Prend il y a 10 milles euro va faire tes courses Kevin va t’aider à faire tes valises ah tu ira chercher la petite à la crèche je dois aller à un rendez-vous avec sa mère.
Zora : Il n’y a pas de problème. Il y’a un problème du côté de ma famille.
Matt : Quoi?
Zora : Mon oncle Adam pose des questions j’ai parlé du couple d’athlètes comme tu a dit mais maintenant ils veulent connaître un nom.
Matt : Ça c’est pas un problème je vais m’en occuper. Depuis quand ils s’intéresse à toi ?
Zora : Depuis que mon père n’a plus besoin de fermer la bouche quand ils parlent.
Matt : Je connais bien ce genre.
Zora : Ah rappelle ton oncle Étienne à l’ordre
Matt : Qu’est-ce qu’il à encore fait
Zora : Il semble croire qu’il à des droits parce qu’il m’a louer un appartement dans votre maison.
Matt : Laisse le divaguer. Qu’il ne sache pas pour nous il risque de me faire chanter et je m’énerve vite ces derniers temps.
Zora : Ok d’accord bon moi je te laisse j’ai cours à 8h. A ce soir
Je lui fait un bisous et en partant je l’entends me dire concrètement
Matt : Zora la prochaine fois que tu embrasse un autre peut importe la raison je vais te frapper !
Zora : Sombua se sera aussi la fin de notre relation je n’ai pas assez de force pour manger à ma fin à la sueur de mon front mais ont ne me frappe pas dans une affaire d’infidélité que sa soit clair. Futile.
Il voulait ajouter quelques mots mais je m’en vais en claquant la porte derrière moi. Il se crois où parce que je veux le chouchouté il veut me menacer? Une fois dehors devant l’arrêt de bus je vois un groupe de jeune arriver ils me fixe comme pas possible. Se ne sera pas seulement à l’arrêt de Bus. À l’université, a la cantine, dans la rue partout. Épuiser je pose la question à quelqu’un qui me dit
Inconnu : Vous êtes là copine de Ben Afou !
Zora : D’où vous sortez ça ?
Inconnu : Dans tout les magazines.
Dit il en me montrant un magazine pose devant lui je soulève le bout de papier et je me rend compte qu’il m’avait mit en gros titre ‘’ La fiancée de Ben’’. Pourquoi toujours moi depuis que je suis en France je sors d’un problème pour un autre. Si Matthias voit cet article j’aurais beaucoup de choses à lui expliquer. En essayant de reprendre mes esprits je vois le numéro de la fille aînée de mon oncle s’afficher sur mon téléphone. Attendez ce n’est pas elle qui m’évite elle me voulais quoi? Je réponds
Charlotte : Bonsoir cousine comment tu va ?
Zora : Bien et toi ?
Charlotte : Dit moi tu fais quoi se soir ?
Zora : Je serai à une fête avec ma chef pourquoi ?
Charlotte : Je voulais t’inviter en boîte.
Zora : On est en début de semaine et tu va en boite tu n’a pas cours demain ?
Charlotte : L’université ne s’enfuit pas ma chérie
Zora : Ah moi je doit décommander j’ai trop de taff
Charlotte : Dit moi tu sors vraiment avec Ben Afou ?
Zora : Non c’est juste une erreur je l’ai rencontré par hasard il c’est inviter à ma table pour parler.
Charlotte : Juste comme ça? Tu peux me faire confiance je ne le dirais à personne.
Zora : C’est vrai c’est un ami de mon patron en plus
Charlotte : Ah je vois écoute je suis occupé ont parlera plus tard bye bonne journée
Je n’avais même pas encore dit au-revoir elle me raccroche au nez. N’importe qui comme ça ont veux briller avec les gens alors qu’on a pas aider ? En marchant pour rentrer à la maison je vois le Ben en question qui s’arrête à mon niveau il se propose d’aller me déposer à la maison je refuse gentiment mais par contre je lui dit qu’il pouvait me déposer à l’arrêt de bus pour lui éviter d’être gêner tout les regards et téléphone était braquer sur nous. Ne me demandez pas pourquoi j’aime les problèmes.
En attendant mon bus il se moque de moi
Ben : Tu vois où le mensonge nous mène ?
Zora : Ne te moques pas de moi ils ont passer la journée à me dévisager. C’était trop gênant.
Ben : Parce que tu est la première fille qu’ils ont vue à mes côtés ils pensaient tous que j’étais gay.
Zora : Pourquoi tu ne leur à pas dit que c’est faux ?
Ben : Chacun crois ce qu’il veut ma belle
Zora : Avec ce comportement tu me met dans le viseur du journal de 20h
Ben : Je vais te dire la vérité c’est pour énerver ton gars je devais être pris pour la coupe d’Europe mais à cause de lui je vais rester sur le banc.
Zora : Tu n’es pas sérieux pourquoi tu me mêle à ça
Ben : Tout le monde l’a vue à Monaco il est accroc à toi j’en profite mais ce jeu me plaît de plus en plus.
Alors qu’ont parlais je vois mon bus arriver il attend que je monte avant de partir. Seul dans le bus je me dit qu’elle garçon bizarre. En jetant un œil sur mon téléphone je vois un message de David il me souhaitait un joyeux anniversaire à l’avance je le remercie pendant qu’on discute il me parle de son nouveau business qu’il avait créé à côté de son boulot. J’étais heureuse pour lui il avance c’était tout mon vœux.
Arriver à la maison il m’envoie une photo de son magasin je le félicite. Quelques heures plus tard j’irai chercher Émilie à la garderie. De retour à Yaoundé mon oncle Adam n’arrivais pas à croire qu’il était passer en second plan. Sa femme le monte encore plus contre son frère
Edwige : Ces gens sont ingrat après tout ce qu’on a fait pour eux le remerciement c’est l’humiliation.
Adam : Tu a tout à fait raison. Grégoire pouvais me donner raison devant les gens et ensuite me parler calmement à 8 clôt non c’est face à tout le monde
Edwige : Et puis tu a vue l’arrogance de Julia à mon égard elle n’a pas honte ces filles se prostitues à longueur de journée et c’est elle qui me défie
Adam : Laisse moi rentrés à Paris je vais enquêter sur cette Zora et les exposer devant tout le village.
Edwige : Village où? Chéri c’est tout le Cameroun
Adam : Tu a raison les gens comme eux c’est devant le monde qu’il faut les mètrent.
Edwige : Je vais commencer avec cette grâce je connais sa belle famille ci c’est nous qui la dénoncions cela aura plus d’effet.
Adam : En plus elle se mesure à moi. Tu à vue le 1 Lot de terrains vers l’entrée du village c’est à Nadine et grâce.
Edwige : C’est leur chantier? C’est bien ont parlera de ça à leur belle famille s’il savent que leur fils construisent pour elle ça va chauffer.
C’est ainsi que le lendemain matin Edwige va se rendre chez la belle mère de ma sœur pour soit disant saluer nos beaux. Qu’est ce qu’elle n’a pas dit et fait mais malheureusement pour ma tante grâce n’était pas une fille normal. Quand son mari apprend qu’elle avait un terrain sur lequel elle avait poser une fondation elle lui dit oui quelle à commencer à travailler pour une maison juste pour assurer son fils
Grâce : Freddy qu’est ce qui t’étonne c’est devant toi que ta sœur à traiter notre fils de bâtards non?
Freddy : Ce n’est pas une raison pour me cacher une chose aussi importante grâce je suis ton mari.
Grâce : Un mari qui n’arrive pas à placer un mots devant sa mère. Freddy j’assure juste mon fils.