La voie du crime [Hanma x OC...

By PouickPouick

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1 - Hanma Shuji
2 - Kyôko Shinomiya
3 - Rencontre
4 - Collaboration
5 - Je t'appartiens et tu m'appartiens
6 - Influence
7 - Kisaki Tetta
8 - Wanted
9 - En cavale
10 - Refuge
11 - Le repos du guerrier
12 - À la croisée des chemins
13 - Nakaba Yo
14 - Réunion au sommet
16 - Kanto Manji Kai
17 - Supplice
18 - Épreuve
19 - Les Trois Cieux
20 - Haruchiyo Sanzu
21 - Épitaphe
21.5 BONUS
22 - l'Ère du Bonten
23 - Les rênes du crime
24 - Duplicité
25 - Complicité
26 - Association de malfaiteurs
27 - Menace
28 - Tension et détente
29 - Rindô Haitani
30 - Célébrations
31 - Feux d'artifice
32 - Représailles
33 - Déclaration de guerre
34 - Ran Haitani
35 - Haitani Brothers
36 - Enlèvement
37 - Séquestration
38 - Révélation
39 - La colère du Bonten
40 - Dénouement
41 - Mikey
42 - Kakucho Hitto
43 - Gentleman
44 - Traître
45 - Analyse
46 - Enquête
47 - Confrontation
48 - Confidences
49 - Shion Madarame
50 - Que le marteau du Bonten s'abatte sur les traîtres !
51 - Plaisirs coupables
52 - Ivresse des sens
53 - Homme à terre
54 - Trépas
55 - Expansion
56 - Takemichi Hanagaki
57 - In extremis
58 - Larmes
59 - Entrevue
60 - Nouveau départ
Le mot de l'auteur

15 - Entre l'ombre et la lumière

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By PouickPouick

Elle avait gagné. Kyôko pouvait le voir dans les yeux de Mikey. 

Le reste, ça n'était que des formalités. 

Lorsque Shuji et elle quittèrent la suite présidentielle, Sanzu alla s'asseoir à la place qu'elle occupait un instant auparavant.

– Cette fille ne me plaît pas, dit-il. Aucun des deux ne me plaît.

– Je dois reconnaître que tu n'as pas tort, répondit Koko. Mais ça n'est pas comme si on avait vraiment le choix.

Sanzu le regarda sans comprendre. Mikey lui expliqua.

– Elle savait où nous trouver, dit-il. Pas seulement le bâtiment, mais aussi la chambre. Elle savait pour ton arme et elle sait sûrement beaucoup de choses sur nous.

– Et pourtant, dit Koko, elle est venue en personne se jeter dans la gueule du loup.

Mikey se tourna vers Koko.

– Ton avis ? Demanda-t-il.

– Mon avis tu le connais, dit Koko. Il nous la faut. Il nous les faut tous les deux si c'est le prix. Avec Nakaba Yo dans nos rangs, nous pourrons mettre ce pays à genoux en moitié moins de temps que prévu. Peut-être même plus vite.

Sanzu arqua un sourcil surpris.

– À ce point ? Dit-il.

– Tu n'as pas idée, dit Koko. Cette fille tient déjà par les couilles quelques-uns des gradés de la police de Tokyo. Et ce ne sont certainement pas les seuls. Avec la réputation de Mikey, l'argent du Kanto Manji Kai et son talent, rien ne pourra nous arrêter.

Il se rassit dans le fond du canapé et ajouta :

– Sans compter que si elle décide de passer à un autre clan, nous aurons un gros problème sur les bras. Tu me demandes mon avis Mikey, le voilà : je pense que nous avons tout intérêt à accepter leur proposition. D'autant que leur prix est raisonnable.

Kyôko leur avait demandé de s'occuper de faire lever les charges qui pesaient sur Shuji. 

Elle aurait pu s'en charger elle-même, mais cette preuve de bonne foi de leur part lui avait semblé indispensable. 

Et puis, cela lui permettrait d'estimer l'étendue de leur influence. Sans compter que cela pourrait, si nécessaire, constituer un moyen de pression utile à l'avenir.

Une fois dans la rue, Kyôko saisit la manche de Shuji.

– Marchons un peu, dit-elle, les yeux baissés.

Shuji se laissa entraîner dans une rue voisine, surpris. Lorsqu'ils furent à l'abri des regards, Kyôko posa le front sur sa poitrine. Il s'aperçut qu'elle tremblait.

– Shuji... bredouilla-t-elle. J'ai eu peur... j'ai eu tellement peur.

Sa respiration refusait de se calmer et les battements de son cœur lui donnaient l'impression qu'il essayait de s'échapper de sa poitrine. Chaque muscle de son corps lui semblait un nœud douloureux. 

Shuji la prit dans ses bras.

– Pas moi, dit-il.

Le calme dans sa voix fit lever les yeux à Kyôko, il reprit.

– Je n'avais pas le moindre doute, dit-il. Tu allais les faire danser dans ta petite main.

Il prit son poignet, dénoua ses doigts crispés et embrassa sa paume.

– Et si ça n'avait pas été le cas, ajouta-t-il. Je les aurais tous défoncés et on aurait recommencé ailleurs.

Ce fut comme s'il venait de lui retirer un poids de la poitrine. Kyôko éclata d'un rire nerveux.

– Tu es encore plus cinglé que moi, dit-elle.

Puis elle ramena le front contre lui.

– Rentrons Shuji.

– Ouais, dit-il.




À califourchon sur son corps nu, Kyôko l'embrassait avec une violence qu'il ne lui connaissait pas, excitée par la peur et la proximité avec la mort qu'elle avait expérimentée plus tôt. 

Elle abandonna sa bouche pour faire courir le bout de sa langue sur son torse. Elle dessina des petits cercles sur un de ses tétons lorsque Shuji empoigna ses hanches. 

Ses mains caressèrent ses fesses et se hasardèrent jusqu'à la base du sillon qui les séparait. 

Il fit glisser ses doigts à sa surface et Kyôko se redressa. 

Elle le regarda.

– Tu as envie ? demanda-t-elle.

Une lueur qu'elle connaissait bien s'était allumée dans le regard de Shuji.

– Grave... Dit-il.

Elle hésita une seconde.

– D'accord, dit-elle finalement.

– T'es sûre ?

– Oui, vas-y.

Il se redressa à son tour, Kyôko toujours à califourchon sur lui, et il l'attrapa par la nuque.

– Putain Kyô, dit-il, tu sais me rendre fou.

Puis il l'embrassa avec autant de fougue qu'elle en avait mis elle-même un instant plus tôt. 

Il se détacha d'elle, la souleva et il la bascula sur le dos. 

Kyôko étouffa un hoquet surpris. 

Il lui écarta les jambes et, les mains posées à l'intérieur de ses cuisses, il lui dit :

– Je vais faire ça bien.

Il descendit jusqu'à son intimité et alla titiller son clitoris de la langue pendant que ses doigts caressaient chacun de ses replis. Il enduisit son majeur de sa mouille, puis descendit plus bas et commença à masser l'orifice entre ses fesses, pendant que son pouce continuait à s'activer dans sa fente.

– Shuji... gémit-elle.

Chaque millimètre de la zone si sensible entre ses cuisses était sollicité et Kyôko ne savait plus où donner de la tête. 

Profitant de la lubrification naturelle qui recouvrait ses doigts, Shuji pressa son index à l'entrée et il le glissa à l'intérieur. 

Il se souleva pour voir s'il lui avait fait mal. 

Kyôko avait les yeux fermés et la tête renversée en arrière.

– Ça va ? dit-il.

Elle haletait.

– Oui... vas-y... continue...

Il enfonça son doigt plus profondément sans cesser de jouer avec son clitoris et elle se cambra davantage en gémissant.

– Shuji... oui !

– Tu mouilles tellement Kyô...

Il abandonna sa fente du pouce pour venir caresser le sillon entre ses fesses. Lorsqu'il la sentit prête, il se redressa entre ses cuisses.

– On a du lubrifiant ? Demanda-t-il.

Kyôko lui montra le tiroir. 

Quand il revint, il souleva une de ses cuisses jusqu'à amener son genou contre sa poitrine.

– Ça sera plus facile comme ça pour la première fois, dit-il.

Il appliqua le lubrifiant, puis y appuya son membre. 

Kyôko grimaça en le sentant s'enfoncer en elle.

– J'y vais doucement, dit-il, t'en fais pas.

Elle eut l'impression qu'il allait la déchirer, pourtant c'était si bon. 

Elle attrapa le pied de lit, derrière sa tête, des deux mains et se cambra.

– Oui !

Une fois à l'intérieur, il se mit à bouger lentement et, de sa main qui ne l'avait pas encore touchée, il alla caresser son intimité, écartant les replis pour mieux accéder aux zones les plus sensibles. Il glissa un doigt en elle, trouva le point d'où elle tirait son plaisir et il se mit à le manipuler au rythme de ses coups de reins. 

Kyôko perdit pied. Ça faisait mal, mais c'était bon en même temps. Elle n'aurait voulu qu'il s'arrête pour rien au monde.

– Shuji !

Le plaisir, mêlé à la douleur, monta dans son bas-ventre et explosa dans tout son corps. 

Shuji la regardait, des grognements rauques s'échappant de ses lèvres. 

Il jouit à son tour et retomba sur elle, le souffle erratique.

– Putain Kyô...

Il se souleva et Kyôko plongea son regard dans le sien.

– T'as kiffé ? Lui demanda-t-il.

– Tout ce que tu me fais me fais kiffer, répondit-elle.

Il se leva et il la prit dans ses bras pour la porter jusque dans la salle de bain. 

Il les rinça tous les deux et quand il eut fini, il lui demanda :

– Tu crois que Mikey va accepter ? Ça a marché selon toi ?

Kyôko opina. Manjiro Sano ne leur avait pas donné de réponse définitive, mais elle n'en avait pas besoin.

– Oui, dit-elle. Je suis sûre que ça a marché.

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