Elisabeth el mostani
-Méfiez-vous des livres qui cherchent à « spiritualiser » des sujets relevant en réalité de préférences culturelles. Dieu est un Dieu d'abondance et de diversité. Il nous a donné la capacité d'imaginer et de créer, tout comme la liberté de choisir entre plusieurs façons de faire, et ce, dans bien des domaines.
-Encourager les mamans à veiller sur leur bien-être mental, physique, spirituel et social, afin qu'elles soient mieux à même de servir leur famille. Être mère implique de se donner sans compter pour le bien des autres, mais on ne peut rien tirer d'un réservoir vide.
-Jésus grandissait en sagesse (mentalement), en taille (physiquement) et en grâce devant Dieu (spirituellement) et devant les hommes (socialement). Luc 2 :52.
-Soyons encourageantes : félicitons la jeune mère dans les domaines où elle réussit, ou soulignons les qualités que nous pouvons voir chez ses enfants. Il est rare qu'elle entende quelqu'un la valoriser dans son rôle de maman.
-Aimons ses enfants : saluons-les par leur nom et intéressons-nous à eux.
-Proposons-lui de nous occuper de ses enfants à la garderie, un dimanche à l'église, afin que, pour une fois, elle puisse écouter la prédiction.
-Apportons-lui un plat que nous avons préparé.
-Prenons-lui du repassage à faire chez nous.
-Préparons-nous à recevoir les jeunes familles chez nous. Rangeons la porcelaine en lieu sûr et achetons des assiettes et des verres en plastique, une chaise haute et quelques jouets. C'est tout ce qu'il faut pour qu'une jeune famille se sente accueillie.
-Il nous comble aussi de nombreuses bénédictions, qui sont autant de preuves visibles de son amour. En Jacques 1 :17, il est dit que « tout bienfait et tout don parfait viennent d'en haut, ils descendent du Père des lumières. » Prenons volontairement la décision de nous réjouir des arcs-en-ciel, du chant des oiseaux et des fleurs printanières, des sorties à la plage, des glaces et des longs moments passés à discuter lors des chaudes soirées d'été, des feuilles d'automne qui craquent sous les pas, des bols de soupe fumants et des feux d'artifice, des batailles de boules de neige, des ciels clairs et étoilés, des couvertures douces et moelleuses, des chocolats chauds et des câlins.
-Nous rappeler que « régulier » ne veut pas dire « quotidien ».
-Abandonnons tout au Seigneur. Nous pouvons même placer littéralement notre liste de choses à faire ou notre agenda devant lui et dire ce que nous ressentons.
-Une idée que je trouve utile pour la survie au quotidien est de chercher obtenir plusieurs résultats par une même action. A vrai dire, faire d'une pierre deux coups est même presque devenu une obsession pour moi ! Si je dois étendre le linge à l'extérieur, j'en profite pour donner à manger au cochon d'Inde, pousser un enfant qui fait de la balançoire et apporter les épluchures au compost. L'objectif est de regrouper les tâches de manière efficace. Par exemple, si nous savons que le four sera allumé pendant un bon moment parce que nous préparons des lasagnes, nous pouvons mettre en même temps un ou deux gâteaux à cuire.
-J'admire celles d'entre nous qui ont souffert d'hyperémèse gravidique (forme sévère de nausées et de vomissements dus à la grosses), de diabète gestationnel ou d'autres complications de ce genre.
-Le bas de contention est une merveilleuse invention. Ils facilitent le retour de la circulation sanguine vers le cœur et réduisent les douleurs dans les jambes. Pour une efficacité maximale, il est conseillé de les mettre dès le matin, juste avant de sortir du lit.
-La plupart du temps, les varices disparaissent presque entièrement dans les deux mois qui suivent l'accouchement.
-Suite à l'épisiotomie que j'avais subie, ma mère m'a ainsi conseillé de dissoudre une poignée de sel dans un sablier d'eau froide et d'en asperger ma cicatrice toutes les deux heures en m'accroupissant dans la douche, puis de sécher la zone en tapotant doucement avec une serviette et, enfin, de m'allonger sur le dos, les genoux pliés. Cela m'a fait beaucoup de bien et a contribué à une guérison rapide.
-Il est conseillé de laisser le bébé boire tout le lait d'un sein avant de lui donner l'autre. Ainsi, il profitera du lait de fin de tétée, plus riche, au lieu de ne boire que celui, plus léger du début de tétée. Et peut-être ne voudra-t-il pas boire des deux seins au cours d'une même tétée. Dans ce cas, il suffit de commencer par l'autre la fois suivante.
-On dit qu'appliquer un peu de lait maternel sur les mamelons endoloris apporte un soulagement, mais pour ma part, je trouve qu'il est plus efficace de recourir à la vaseline, juste après la tétée.
-Les coussinets d'allaitement sont utiles au début, tant que la production de lait ne s'est pas encore régulée et que les fuites restent nombreuses et aléatoires.
-La femme de Proverbes 31 n'est pas seulement sage, elle est aussi forte : « Avec la force en guise de ceinture, elle affermit ses bras » Proverbes 31 :17. L'exercice contribue à notre santé physique, mais il est en même temps très important pour notre bien-être mental et émotionnel. Parfois, quand je me sens d'humeur morose, je me rends compte qu'il y a un lien direct avec le manque d'activité sportive.
-Dans un certain sens, le fait de nous abîmer les mains en servant Dieu et les autres contribue à notre ressemblance à Christ.
-Dans l'idéal, il est bon de s'adresser à lui dès le matin, avant d'être en contact avec qui que ce soit d'autre, afin de préparer notre cœur pour la journée.
-Allons à l'église, même si nous sommes toujours en retard et devons rester la plupart du temps à la garderie. La communion avec nos frères et sœurs dans la foi nous fera du bien. Et nos enfants, voyant que l'église a de l'importance pour nous, apprendront à l'aimer eux aussi.
-Voici deux questions que nous pouvons nous poser pour savoir si notre sentiment de culpabilité est justifié : Ai-je vraiment mal agi ? Si oui, je dois me repentir et demander pardon à Dieu. Et, si non : Qu'est ce qui produit en moi cette sorte de mauvaise conscience permanente ? Cette deuxième question nous permettra de comprendre qu'il s'agit parfois simplement de « choses bêtes ». Et, souvent, nous nous rendrons compte que notre sentiment de culpabilité provient de mensonges que nous croyons, d'une manière de voir mondaine ou, même d'idoles qui alimentent nos pensées. Nous pouvons aussi prendre une feuille et inscrire tout ce qui, dans notre vie, en tant que mamans, provoque ce sentiment diffus de mauvaise conscience. Ensuite, nous pouvons réfléchir aux manières de penser qui en sont à l'origine.
-La Bible parle souvent de Satan comme de « l'accusateur ». Je suppose donc qu'il aime voir les mamans chrétiennes ployer sous le poids d'une mauvaise conscience.
-Motif de culpabilité : Est-ce vraiment mal ? Ce qui nourrit mon péché ou mon sentiment injustifié de culpabilité : Vérités bibliques qui m'aident à voir les choses autrement :
J'ai fait des excès de vitesse pour arriver à l'heure à l'église : Oui : La peur de ce que les autres vont penser si je suis encore en retard. L'idole de la réputation. Je suis appelée à me soumettre aux autorités et à faire ce qui est juste, même quand personne ne me voit, parce que je chercher à plaire à Dieu et non aux hommes.
J'ai dû augmenter les dépenses alimentaires : Non : Le désir d'être économe, qui est devenu une idole, alors que je devrais simplement accepter que la famille s'est agrandie et que le coût des denrées alimentaires a augmenté. La peur de manques d'argent pour d'autres choses. Un manque de confiance en Dieu. : Je suis appelée à prendre soin de ma famille : Dieu promet qu'il pourvoira à tous nos besoins.
Mes enfants sont tous grognons aujourd'hui (je dois être une mauvaise mère) : Non : la volonté de tout contrôler. : Nous vivons dans un monde déchu. Si mes enfants se sentent mal ou sont tristes, ce n'est pas forcément de ma faute. Eux aussi ont une nature pécheresse.
-Arrive-t-il parfois, pendant que vous préparez le repas, qu'un enfant affamé s'accroche à vos jambes en pleurnichant et vous complique ainsi considérablement la tâche ? mais combien souvent faisons-nous de même avec Dieu ! Une fois que nous lui avons fait part de nos besoins dans telle ou telle situation, au lieu d'attendre avec confiance et sérénité qu'il agisse en son temps, nous avons tendance à continuer à nous plaindre ou à nous lamenter.
-Saisissons les chances (et acceptons les contraintes) inhérentes à cette période de notre vie : Il y a quelques années, je me suis rendu compte que j'avais passé l'essentiel de ma vie à attendre la prochaine étape, au lieu de chercher à vivre au mieux le présent, pour la gloire de Dieu. Quand j'étais au lycée, je rêvais de pouvoir enfin entrer ç l'université. Étudiante, j'avais hâte de me marier. Une foi mariée, j'attendais avec impatience le jour où je serais maman. Et quand je suis devenue maman, je me suis dit : et maintenant ? D'une certaine manière, dans un monde déchu, il est normal que nous soyons toujours dans l'attente de ce qui vient, de ce qui devrait être « encore mieux ». Mais cette attente ne sera jamais pleinement satisfaite sur la terre. Il n'existe aucune étape de la vie où tout est parfait. Chaque période a son lot de difficultés, chacune est accompagnée de contraintes, d'épreuves, de joies et de responsabilités qui lui sont propres. Puisque nous sommes citoyennes du ciel, notre cœur a « le mal du pays ».
-Certaines informations ne devraient pas sortir du cercle de la famille et des amis intimes. Jésus lui-même entretenait des amitiés de différents niveaux. Parmi ses disciples, il était plus proche de Pierre, Jacques et Jean que des autres. Jean se décrivait lui-même comme « disciple que Jésus aimait ».
-Certes, il y a des choses dont il faut parler, mais nous nous rendrons parfois compte qu'il vaut mieux préserver la qualité de la relation conjugale que d'insister sur telle ou telle question. Comme ma mère nous le rappelait souvent, « l'homme ou la femme avisée met sa gloire à passer par-dessus une offense ». Proverbes 19 :11. Parlons maintenant brièvement des rapports sexuels. Nos seulement un mari a des besoins physiques à satisfaire, mais il aime aussi se sentir désiré par sa femme. C'est très important pour son bien-être émotionnel, comme l'explique Shaunti Feldhahn dans un ouvrage intitulé Réservé aux femmes, où elle aborde d'autres sujets utiles en lien avec le mariage et la manière de penser des hommes.
-Je connais une femme qui conseille souvent aux épouses de chercher à « connaître leur homme ». Si, pour la plupart des maris, les relations sexuelles, la nourriture et le respect ont beaucoup d'importance, il se peut que, pour notre époux, d'autres choses importants plus. Une de mes amies, jeune mariée, m'a fait part un jour de certaines tensions qu'il y avait dans son couple en raison de priorités divergentes. Excellente cuisinière, elle est capable de préparer un repas gastronomique en un tour de main, qu'il y ait peu ou beaucoup dans le frigo. La propreté, en revanche, n'est pas son fort. Chez sa belle-mère, à l'inverse, la bonne cuisine n'était pas une propriété, mais tout était toujours impeccable. Par conséquent, son mari a hérité de cet amour pour l'ordre et appris à se contenter d'aliments en conserve. C'est un fait, nous nous engageons tous dans le mariage avec un bagage et des attentes qui diffèrent. Il vaut donc la peine de demander à notre mari quelles sont ses priorités. Ainsi, dans les moments où ; débordées, nous ne parviendrons pas à tout faire, nous pourrons nous concentrer sur ce qui, pour lui, end un intérieur agréable et convivial.
-Nous pouvons aussi chercher des moyens de faire du dimanche un jour spécial, afin que nos enfants aiment ce jour et l'attendent avec impatience. Chez nous, il y a souvent un petit-déjeuner de fête le dimanche, avec des pains au chocolat, des pancakes.
-J'ai apprécié de ne pas devoir faire mes devoirs le dimanche. L'église était un endroit où je me sentais à ma place, et le jour du Seigneur, un jour sans stress, par opposition au reste de la semaine.
-Pratiquer l'hospitalité n'a pas besoin d'être compliqué : il s'agit simplement de laisser les gens entrer dans notre vie et de leur faire du bien en partageant avec eux ce que Dieu nous a donné. Cela consiste bien plus à se préoccuper d'être en bénédiction aux autres qu'à donner une bonne image de soi.
-L'attitude que j'ai envers mes enfants, comme je l'ai constaté, est souvent révélatrice de l'état d'esprit dans lequel je me prépare à accueillir mes invités. Une question me permet d'y voir plus clair. Est-ce que je suis vraiment en train de servir avec amour, ou est-ce que je chercher à impressionner les autres et à les « divertir » ? Si je m'impatiente parce que mes petits perturbent mon organisation, il est probable que ma disposition de cœur ne soit pas la bonne.
-De même quitter un endroit (parc, piscine...) sera bien plus facile pour tout le monde, si les enfants savent à quoi s'attendre. En général, je les informe environ dix minutes avant le départ, puis encore 5 minutes avant, etc. Ainsi, ils peuvent se préparer mentalement à la transition. Ils sont aussi plus enclins à coopérer que si je leur dis de but en blanc : « ON s'en va ! ».
-Je trouve personnellement que la crème à l'arnica est vraiment efficace pour les bosses et les bleus ; C'est une chose utile à avoir, si vous êtes comme moi et que vous n'arrêtez pas de vous cogner les tibias contre la porte ouverte du lave-vaisselle. Si on l'applique le plus tôt possible après l'accident, aucun bleu n'apparaît. Je procède ainsi depuis des années, et je trouve que cela apporte un réel soulagement. Parfois, en effet, un beau pansement permet de réconforter notre enfant de 3 ans (même s'il n'a qu'une minuscule égratignure), parce que, en réalité, il a juste besoin qu'on s'occupe de lui.
-Certains parents recommandent le port d'un collier d'ambre, mais je me suis toujours méfiée des prétendues « vertus thérapeutiques » des pierres. Il s'agit à mon sens d'une pratique ésotérique et il n'existe à ce jour aucune preuve scientifique.
-Les premières semaines après la naissance, les garçons ont tendance à uriner en l'air. Quand vous les changez. Pour une raison que j'ignore, l'air frais semble déclencher le phénomène.
-Bien sûr, il est nécessaire de les corriger quand ils se comportent mal, mais la correction devrait toujours viser le péché, et non le pécheur.
-L'étirement (le lissage) des vêtements est une étape importante qui ne prend que quelques secondes. Grâce au poids de l'eau, associé à la gravité et au vent, ils se repassent tout seuls. Certes, cela fonctionne mieux si on étend le linge dehors sur une corde, mais on peut utiliser la même méthode à l'intérieur avec un étendoir, sans plier les habits en deux. Ne pas utiliser une petite vitesse d'essorage si le temps est étouffant et humide et que l'air ne circule pas, car les vêtements risquent de sentir mauvais. Dans ce cas, choisir une vitesse d'essorage de 1000tr/min.
-Quelqu'un a donné une excellente idée pour les mamans en les encourageant à adresser à Dieu de courtes prières pour leurs enfants au moment d'étendre le linge. Cela permet d'ajouter une dimension plus profonde à cette tâche routinière. On peut par exemple prier. « Seigneur, s'il te plaît, aide K. à utiliser ses talents pour ta gloire. » (en suspendant sa tenue de foot), ou « permet que Y aime toujours ta Parole et marche dans la vérité » (en accrochant une de ses paires de chaussettes.)
-Lorsqu'on prépare à manger, que ce soit un ragoût, un gâteau ou un poulet au curry, il vaut la peine de doubler ou tripler les quantités habituelles, pour pouvoir congeler le reste. Cela fait gagner beaucoup de temps et permet d'avoir un plan B les jours où le temps ou l'énergie manquent pour faire la cuisine. Comme avec les nouveau-nés, il est très pratique d'avoir des repas déjà faits à portée de main pour les périodes chargées.
-Il vaut mieux ne jamais préparer de plats à part pour les enfants difficiles. Cela les conforterait dans leur attitude exigeante et ne leur rendra pas service pour plus tard, ni à eux ni à leur futur conjoint. Il est donc important de leur demander de manger la même chose que le reste de la famille. Et s'ils refusent, il faut éviter de leur donner des biscuits une heure plus tard. Le mieux est peut-être de les laisser terminer l'assiette qu'ils n'ont pas finie, car quand on a vraiment faim, on mange.
-En règle générale, à chaque fois que c'est possible, j'essaye de dire « oui » à mes enfants quand ils me demandent quelque chose. Je ne veux pas dire qu'il faille toujours les placer au centre de l'attention ou les gâter à l'excès en leur accordant tout ce qu'ils désirent. Mais s'ils veulent aller à tel endroit ou faire telle activité et que cela n'est pas contraire aux principes bibliques, pourquoi provoquerais-je un conflit ou une réaction rebelle et boudeuse, simplement parce que cela ne m'arrange pas ou que je ne suis pas d'humeur.
-Le comportement des petits se dégrade énormément quand ils sont en hypoglycémie, comme vous l'avez sans doute remarqué. Une heure avant le repas, mes trois frères devenaient insupportables, se chamaillaient et ne tenaient plus en place.
-Les poux pouvant survivre un jour ailleurs que dans les cheveux, après la séance avec le peigne, j'ai lavé toutes nos taies d'oreiller et mis les brosses à cheveux au congélateur pour la nuit. Et je me suis empressée d'annuler mon rendez-vous chez le médecin, soulagée d'avoir diagnostiqué le problème avant lui.
-Il est aussi important que nous posions des questions à nos enfants, non pas des questions auxquelles ils répondront par des monosyllabes, mais des questions orientées, qui les encourageront à nous ouvrir leur cœur.
-Personnellement, j'aime beaucoup planifier des activités, pratiquer l'hospitalité et entreprendre des choses, mais la tentation est toujours d'en faire trop. Une fois que tout est organisé, il est utile de prendre un peu de recul et de nous demander ce qu'il est possible de simplifier : par exemple en optant pour un menu moins recherché, avec plus d'ingrédients déjà prêts : en achetant le gâteau au lieu de le faire nous-mêmes dans les moments chargés.
-Les enfants en bas âge ont la peau particulièrement fragile, et il est important qu'ils ne soient pas trop exposés aux rayons ultraviolets. Les poussettes sont souvent équipées d'une ombrelle qu'on peut fixer sur le côté. Il m'arrive pour ma part d'utiliser un petit drap de coton léger, que j'attache avec des pinces à linge et qui procure un peu d'ombre. Bien entendu, il faut veiller à ce que le bébé ait toujours suffisamment d'air.
-Lorsqu'il fait soleil, il est important de rester le plus possible à l'ombre durant les heures chaudes de la journée, de bien hydrater les enfants. Pour la baignade, on peut opter pour des maillots de bain une pièce à manches longues, conçus pour protéger contre les UV. On peut aussi leur mettre un tee-shirt quand ils jouent au bord de l'eau.
-La lotion à base de calamine est un remède classique et peu coûteux, connu en Angleterre. C'est ce qui a le mieux fonctionné pour apaiser les démangeaisons de nos filles et assécher leurs boutons. En France, en revanche, le traitement local est déconseillé, en dehors de la chlorhexidine aqueuse (antiseptique), qui peut être utilisée pour prévenir la surinfection. Le paracétamol permet de calmer la fièvre et l'irritabilité, mais il faut éviter de recourir à l'ibuprofène, qui peut causer des complications.
-La varicelle à l'avantage de ne pas durer longtemps, et il est très rare qu'un enfant l'attrape deux fois. Elle peut cependant causer des dommages au fœtus des femmes enceintes qui ne l'ont pas encore eux. Vellons donc à ce que nos enfants ne soient pas en contact avec nos amies qui attendent un bébé.
-Les verrues touchent davantage les enfants que les adultes, car elles sont provoquées par un virus contre lequel on s'immunise avec le temps. Petite, j'ai dû aller chez le médecin pour m'en faire enlever une par cryothérapie, et je dois dire que je m'en souviens encore. Comme je ne voulais pas imposer cette douloureuse expérience à ma fille, j'ai essayé de faire disparaître sa verrue avec tous les remèdes naturels que j'ai pu trouver sur internet, y compris l'ail, du vinaigre et de l'huile d'origan, mais en vain. Finalement, la crème à base d'acide salicylique, que j'ai achetée en pharmacie, s'est avérée efficace. Il faut l'appliquer tous les soirs, puis coller un pansement sur la verrue. Normalement, au bout de deux semaines, celle-ci tombe.
-Quand on a des petits, je trouve que les courses en ligne apportent un grand soulagement. Vous les faites quand vous voulez, selon vos disponibilités, et pouvez facilement garder une trace de ce qui a été dépensé. Vous pouvez aussi planifier vos repas en fonction des promotions de la semaine.
-On peut choisir la livraison à domicile, si elle est proposée, ou bien un retrait au drive, ce qui est tout aussi pratique (il suffit de s'arranger pour récupérer les achats en revenant de quelque part).
-ll est possible de choisir la méthode « douce », en utilisant des culottes d'apprentissages, qui retiennent le liquide, mais qui permettent à l'enfant de se sentir mouillé. Le problème, c'est que les petits n'éprouvent souvent pas la sensation d'humidité.
-Le mieux est de commencer quand l'enfant à environ 2 ans, de préférence en été, lorsqu'on peut être souvent dehors et que le linge sèche plus vite, puis d'essayer d'avoir un programme aussi peu rempli que possible durant cette période. Il est aussi utile de « Préparer le terrain ». Voici les différentes étapes que je recommande : 1. Emmener l'enfant acheter des slips (culottes). 2.L'entraîner à s'asseoir sur le pot, avec ou sans habits. Les moments qui s'y prêtent bien sont avant le bain, ou quand on est soi-même aux toilettes (de toute façon, ils nous suivent à l'intérieur, non ?). Retirer tous les tapis qu'il est possible de déplacer.