•81•
Je suis rentrée musique à fond dans la voiture. Je n'attends que de voir la réaction de Tarek. Un peu d'action dans nos vies. LET'S GOOOOOOO.
CAVA PETEEEEEEER !
J'arrive dans la résidence. Je vois la voiture de Tarek. J'ai rigolé dans la voiture tellement fort pendant deux minutes.
Est-ce qu'on peut se réjouir de cette manière pour ça ? MAIS OUIIIIIIIII.
Je sors de la voiture. Je ferme la voiture et j'avance vers le hall.
Je lâche des petits pas de danse par-ci, par là.
J'arrive dans le hall.
Je monte dans l'ascenseur. Je croise une voisine :
𝑴𝒐𝒊 : bonjour *grand sourire*
Elle me regarde étonner :
Elle : bonjour
Elle sort et je rentre.
J'arrive à mon étage. Je passe le couloir avec précipitation et je rentre dans l'appartement.
Je regarde à l'intérieur de l'appartement, je vois mon mari de sûr sûr, l'homme de la situation, l'homme de toutes les situations. Tarek est installé dans son canapé confortablement à regarder la télé. Si innocent.
J'ai sorti toutes les dents :
𝑴𝒐𝒊 : ma viiiiiie
Il tourne sa tête et me regarde de haut en bas :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : *il lève un sourcil* pourquoi t'es heureuse ?
𝑴𝒐𝒊 : pour rien
Je pose mon sac et j'enlève mes chaussures :
𝑴𝒐𝒊: j'hésite... Peut-être que je devrais les garder, vu ce que je m'apprête à te dire
Je lève les yeux et le regarde, Tarek me fixe. Il a fallu un quart de seconde pour qu'il comprenne.
La façon dont son regard s'est assombri.
IL A COMPRIS ! VRAIMENT TROP VIF MON MARIIIIIII !
Je n'arrive même pas à contenir mon sourire. Il se lève :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : garde tes chaussures, on y va
𝑴𝒐𝒊 : chez Amra ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : chez qui sinon.
𝑴𝒐𝒊 : let's gooo
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : pourquoi t'as l'air excité comme ça ?
𝑴𝒐𝒊 : même pas
Je remets ma chaussure. Tarek enfile les siennes. Il ouvre la porte. Je passe devant, il ferme la porte et me suit.
Pendant le trajet ascenseur-voiture, j'ai envoyé un message à Djenabe Khady et Amra pour les prévenir et les mettre au courant. Surtout Amra pour la prévenir.
Il ouvre sa voiture. Je monte avec plaisir.
Il démarre comme un fou. IL EST ÉNERVÉ !! CE SOIR ON VA MANGER DU RIZZZZZZ !
Il a roulé VITEEEEEE, mais en silence. J'essayais de contenir mon excitation, mais c'était duuuuur.
Après une route très rapide, on arrive devant chez Amra.
Il se gare comme du n'importe quoi.
On sort de la voiture.
ÇA Y EST ! ON Y EST !!
On avance vers la maison, Tarek tourne la tête et voit Mehdi :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : j'arrive
Il me laisse et se dirige vers Mehdi. Moi, je rentre dans la maison. Allons prendre des nouvelles de la future victime.
Je rentre dans la maison. Amra arrive précipitamment dans le couloir. Quand on se voit, on éclate de rire :
... : Maman, pourquoi tu rigoles ?
Fateh apparaît à son tour dans le couloir. Je le regarde, je rigole encore plus :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: quoi ?
On se calme :
𝒜𝓂𝓇𝒶: où allais-tu comme ça ?
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: j'allais ? Je sors
𝑴𝒐𝒊 : pourquoi ? Viens, on discute un peu
On s'assoit au salon. Fateh nous regarde et reste debout :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: c'est quoi l'histoire ?
𝑴𝒐𝒊 : je suis allée voir Tarek pour que ça n'aille pas trop loin entre nous, tu vois ?
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: *rire* quoi ? Tu as peur de tomber sous mon charme ?
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: tu as si peu confiance en toi ?
𝑴𝒐𝒊 : non, loin de moi l'idée de tomber sous ton charme, tentée que tu en aies un
Il ne dit rien pendant un moment, puis il décide de s'asseoir et efface son sourire :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: quoi ? Il est là ?
𝑴𝒐𝒊 : bien sûr
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: mdr.
𝒜𝓂𝓇𝒶: t'a chaud ?
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: non, je sais déjà ce qui va me tomber dessus
𝑴𝒐𝒊 : il aurait dû envoyer Zyad, il est beaucoup plus violent que Tarek
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: il n'a pas grand-chose à lui envier.
Fateh enlever sa sacoche et retire sa montre :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: qu'est-ce qui l'énerve plus que toucher à toi ?
𝑴𝒐𝒊 : le traité de Dayouth
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: je prends note
Prend bien note même. Cava tellement chauffé pour toi :
𝐌𝐞𝐡𝐝𝐢 : Amra ?
Mehdi débarque au salon, suivi de Tarek.
Tarek passe devant Mehdi, arrive jusqu'à nous, il choppe Fateh, il attrape le haut de son haut et le tire en le traînant de force avec lui jusqu'à l'extérieur :
𝑴𝒐𝒊 : EEEEEEEH
On les suit. Je ne vais pas rater une minute de ce divertissement.
J'arrive dehors. Tarek lâche Fateh et il s'assoit sur le petit muret :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : vas-y, je t'écoute
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : dis-moi ce que tu lui as dit quand je n'étais pas là.
Il croise ses bras. Regard droit, fixé dans les yeux de Fateh:
𝐌𝐞𝐡𝐝𝐢 : w'اللّٰه, je ne comprends pas, je fais tout pour t'aider, mais tu continues d'aller chercher les problèmes chez les autres.
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Je suis comme ça.
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je dois te le dire comment pour que tu laisses Nejma tranquille ?
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: tu pourras me dire ce que tu veux, je ne lâcherai pas l'aff...
Le coup de poing est parti tellement vite. Fateh il est tombé instantanément sur le coup. Personne ne si attendait. J'ai ouvert grand mes yeux :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : lève-toi et répète-moi ça
Fateh le regarde. Le sang coulait déjà de son nez. En tout cas :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: je sais que tu frappes fort
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: mais je sais aussi frapper
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je ne vois pas pourquoi tu perds ton temps.
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : est-ce que je t'ai dit que j'avais peur de toi ?
Tarek lui fait signe de se lever. Personnellement, je ne l'aurais pas fait. La honte, il te dit, lève-toi, comme si tu étais son chien :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : lève-toi
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: on n'est pas obligé de se battre
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : si parce que tu me prends pour ta pute depuis quelques jours
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : tu crois que je vais laisser passer ça juste avec des mots ? Pourtant w'اللّٰه, j'ai essayé de te prévenir, je suis venue te voir, comme rare l'aurait fait alors que tu m'as provoqué, je suis quand même venue te voir pour te dire d'arrêter
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : t'as pris ça pour une preuve de faiblesse de ma part ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : c'est pas grave
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : aujourd'hui, je reviens te voir pour régler cette histoire, je pense avoir été trop gentil avec toi dès le début sans avoir posé les limites.
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : c'est ma faute
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : mais demain l'histoire sera finie.
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: et comment tu comptes m'arrêter ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je vais te cogner tellement fort que ça t'enlèvera toute envie de poser les yeux sur ce qui m'appartient.
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je vais te cogner autant qu'il le faudra pour que tu comprennes que quand les grandes personnes disent non, c'est non.
Fateh regarde Mehdi et se lève :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: Mehdi, tu vas le laisser me frapper ?
𝐌𝐞𝐡𝐝𝐢 : ...
Mehdi l'ignore. Fateh lève les yeux au ciel.
Et sans prévenir, il s'avance et donne un coup à Tarek, que mon bébé a évité et lui a mis un autre coup, directement au menton.
Le bruit que ça a fait.
MON MARI QUI SAIT SE BATTRE AVEC CLASSE. J'aime trop. Vraiment mon soldat. Qu'il le FRACASSE.
S'en est suivi une rafale de coups de la part de Fateh. Tarek n'a pas bronché plus que ça, il lui rend coup pour coup.
Franchement, c'est là que je me dis que les bagarres de filles n'ont rien à voir avec celles des hommes. Celles des hommes sont graves, violentes.
Carrément, j'ai fermé les yeux un moment.
Fateh subit beaucoup plus de dégâts. Il s'est essoufflé bien vite. Quand Tarek lui a laissé un moment de repis, il a sorti de sa bouche :
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: moi, j'aurais une femme comme ça, je ne la laisserais jamais aller en soirée même pour l'anniversaire de sa pote, toi, tu laisses tous les hommes la voir
𝐹𝑎𝑡𝑒ℎ: *grand sourire* mentalité de Dayouth
IL A OSÉ ! IL A OSÉ ! QUI PEUT L'EMPÊCHER DE PARLER ??? LA FOLIIIIIE. MAIS NON MDRRRR.
Tarek s'arrête un instant histoire de bien imprimer ce que Fateh venait de dire. Dans ma tête, j'ai HURLEEEER.
D'ailleurs, je me suis renseigné sur le poids du sens et l'importance du mot Dayouth. Employer ce mot, c'est beaucoup trop grave.
Tarek l'a enchaîné de deux coups violents à la tête et le renvoie à terre avec le troisième. Sauf qu'à la place de s'arrêter et de le laisser respirer, il s'est avancé vers lui.
Mehdi a essayer de s'interposer mais Tarek il veut en decoudre coute que coute.
Tarek va le tuer. Mehdi n'essaie meme plus de stopper mon mari il me pousse vers la maison.
J'ai juste eu le temp de voir Tarek s'avancer vers Fateh.
J'avais les yeux rivés sur eux :
𝐌𝐞𝐡𝐝𝐢: Nejma bouge
𝑴𝒐𝒊: quoi ?
𝐌𝐞𝐡𝐝𝐢: BOUGE !
Nejma m'attrape vite et me fait rentrer à l'intérieur :
𝑴𝒐𝒊 : quoi ? Pourquoi vous faites ça, sérieux Amra. Il va l'abattre ou quoi ?
𝒜𝓂𝓇𝒶: abuse pas
𝑴𝒐𝒊 : alors, laissez-moi profiter du divertissement.
𝒜𝓂𝓇𝒶: crois-moi, tu ne veux pas voir ça
Moi : et pourquoi ?
J'étendrai Fateh crier :
𝑴𝒐𝒊 : Amra, s'il te plaît, j'ai envie de voir ça.
𝒜𝓂𝓇𝒶: le jour où j'ai vu avec quelle violence comment Mehdi avait frappé Fateh, w'اللّٰه qu'après, j'ai eu peur de lui, j'en tremblais tellement ce que j'avais vu, c'était violent
𝑴𝒐𝒊 : sauf que moi, j'aime la violence, je ne suis pas une femme de paix.
𝑴𝒐𝒊 : il a provoqué Tarek, il n'aura que ce qu'il mérite.
𝒜𝓂𝓇𝒶: Nejma, réfléchi, tu ne dois pas voir ça
𝒜𝓂𝓇𝒶: quoi qu'il se passe là-bas, tu ne dois pas en être témoin, il ne pourra pas témoigner contre toi Yawm al-kiyama, laisse Tarek s'en occuper
𝑴𝒐𝒊 : et pour Tarek ?
𝒜𝓂𝓇𝒶: ce n'est pas notre problème, laisse-les régler leurs problèmes entre hommes.
Tarek apparaît dans l'entrée :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : on bouge
Je le regarde avec sa petite balafre en dessous de l'œil et sa lèvre gonflée :
𝑴𝒐𝒊 : on s'appelle Amra
Je sors. On passe à côté de Fateh, qui est dans un très mauvais état, et Mehdi à côté de lui.
Je m'attarde sur Fateh. Son visage est en sang, mais quand je vous dis sang, c'est partout, ça ne fait que couler :
𝑴𝒐𝒊 : mais il va faire une hémorragie là
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : Mehdi a déjà appelé les pompiers, monte, dépêche-toi
On monte dans la voiture. Tarek démarre et fait son demi-tour. Quand il finit son demi-tour, il met la voiture en direction de Fateh :
𝑴𝒐𝒊 : Tarek ?
Il met la boîte de vitesse sur démarrer :
𝑴𝒐𝒊 : Tarek ? Qu'est-ce que tu fais ?
Il démarre :
𝑴𝒐𝒊 : TAREK !!!
Il change de direction et on s'en va :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je rigole
𝑴𝒐𝒊 : ..
Je vous jure, j'ai eu tellement peur. Je ne rigole plus. Mon cœur allait sortir de ma poitrine :
𝑴𝒐𝒊 : MAIS T'ES MALADE ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : pourquoi tu cries ?
𝑴𝒐𝒊 : TU VOULAIS L'ÉCRASER ! SI J'ÉTAIS PAS LA TU L'AURAIS ÉCRASER ! Astarfirulah
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : ...
Je le regarde, j'ai envie de le tuer :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je n'aurais jamais fait ça.
𝑴𝒐𝒊 : j'espère bien, bordel, ne refais plus jamais ça.
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : ...
𝑴𝒐𝒊 : j'ai vu ma vie défiler, w'اللّٰه je nous voyais déjà en prison.
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je ne suis pas fou à ce point
𝑴𝒐𝒊 : t'es malade ouais !!
Il me fait un beau sourire. Trop chou :
𝑴𝒐𝒊 : tu es pardonné
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : tu n'as aucun mental
𝑴𝒐𝒊 : tu n'avais pas à être beau, ton beau sourire
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : j'aime ce que tu dis
𝑴𝒐𝒊 : je sais
𝑴𝒐𝒊 : mon soldat, je t'aime encore plus
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : w'اللّٰه qu'il ne t'approchera plus ce gros bouffon.
𝑴𝒐𝒊 : je me doute
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : il a osé me traiter de Dayouth, ce soir, je reviens, on va voir c'est qui le Dayouth
𝑴𝒐𝒊 : tu es touché
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : ...
𝑴𝒐𝒊 : tu n'as pas trop mal, mon chevalier servant
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : je vais te faire descendre de la voiture.
𝑴𝒐𝒊 : *rire*
𝑴𝒐𝒊 : non, sérieusement, tu n'as pas mal ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : t'as vu dans quel état je l'ai laissé ?
𝑴𝒐𝒊 : oui
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : comparé à lui, je n'ai pas à me plaindre.
𝑴𝒐𝒊 : blessure de guerre zehma
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : descend
𝑴𝒐𝒊 : mdrrrrrrr
𝑴𝒐𝒊 : toi, je vais t'envoyer au front plus souvent, tu cognes bien wesh.
Il tourne rapidement sa tête vers moi puis regarde la route :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : comment tu peux aimer autant ça ?
𝑴𝒐𝒊 : je n'en sais rien, en tout cas, c'était un plaisir de te voir te battre
𝑴𝒐𝒊 : en plus tu te bats bien, tu étais beau
Tarek part en fou rire. J'ai sorti toutes mes dents :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : t'es une malade
𝑴𝒐𝒊 : on fait bien la paire alors
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : *sourire* tant mieux, je ne m'en plains pas
𝑴𝒐𝒊 : je sais
𝑴𝒐𝒊 : alors, on commande ce soir ?
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : pourquoi faire ? Moi, je veux du fait maison
𝑴𝒐𝒊 : ok, je vais faire à manger pour mon soldat de guerre rentré du front
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : tu casses les pieds
𝑴𝒐𝒊: *rire*
J'ai passé tout le reste du trajet le sourire scotché au visage. Quel bonheur. Nous pouvons maintenant passer à autre chose.
Quand on rentre, Maïmouna m'envoie un message en me disant de passer à la maison pour voir ma mère, alors qu'elle ne veut pas me voir.
Je lui ai dit que demain était un autre jour.
Laissez-moi profiter de mon boxeur un peu. Orh, un homme qui ne tape que les hommes comme ça. Qui ne touche pas une femme, jamais de sa vie. Je l'aime.
Il me traite comme une reine. S'il vous plaît, respectez-moi. Aillez un homme qui vous respect, les filles.
Un homme qui part en guerre pour vous sans bronches. Mon bébé :
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌 : tu penses à quoi ?
𝑴𝒐𝒊 : rien orh
𝑴𝒐𝒊: attend qu'on voit Amra et Mehdi la prochaine fois, je vais leur dire qu'on est les vrai Bonnie And Clyde
𝑻𝒂𝒓𝒆𝒌: pour ça faudrait déjà que tu sache te battre
𝑴𝒐𝒊: ...