Je suis réveillé par la douce voix de mon copain :
-Hey princesse. Faut se réveillé.
Je saisi mon téléphone et consulte l'heure quatre heure du matin. Malgré l'envie de me retourner et de me rendormir ausitôt, je me lève de mon lit. En silence nous montons les marches et allons dans la salle à manger.
-Café ? je demande.
-Oui ! s'exclame Aimée
Je ne sais pas par quel miracle elle parvient a être de bonne humeur à quatre du matin un lundi. Je fais couler trois cafés et en tends deux à Aimée et Éthan. Je sors ensuite du placard des gâteaux et les posent sur la table. Nous déjeunons en silence. La journée va être longue, très longue.
Quand nous finissons de déjeuner, chacun de nous nous préparons chacun de notre cotés. Mon sac prêt, nous nous équipons et sortons de ma maison. Quand enfin, nous apercevons la voiture de nos entraîneurs, nous ne trainons pas et nous mettons en route pour Paris. Je me souviens de la dernière fois où je m y suis rendu, c'était pour aller voir un concert, celui de mon idole. Coldplay. J'y étais avec ma mère a côté de moi et mes grands parents un peu plus loin. La chaleur du stade était étouffante et horrible mais c'est un souvenir magnifique à jamais gravé dans ma memoire. Le seul truc un peu négatif est qu'après le concert il y avais pas assez de taxi est que nous avions du marcher quatre kilomètres en plein cœur de Paris. Mais ma grand-mère me nourrissait au gâteau alors ça a été.
Nous roulons tant que nous pouvons, pour éviter les embouteillages. Mais six heures de route plus tard nous sommes obligés de nous arrêter, à cause des embouteillages. Notamment à cause des personnes partant travailler. Comme il ne nous reste qu'une heure quarante de route, nous décidons de nous arrêter dans un café au abord d'Orléans. Nous nous garons prêt d'un petit café et nous dirigeons vers lui. Nous nous asseyons à une table de cinq et nous commandons. Mon ventre gargouille et attends avec impatience notre commande. Quand elle arrive enfin, si ce n'est que je me jette dessus. Mon café descends lentement dans la gorge tandis que je mâche mes gâteaux. Nous mangeons dans un silence apesant. Ce serai mentir si je disais qu'après presque 6h de route je n'avais pas un mal de crâne impossible. J'avais bien sûr tout prévu. Doliprane dans la poche j'annonce :
-Je vais au toilette avant de repartir.
Je me lève et me dirige vers les toilettes. Je me jette de l'eau sur le visage, mets mes mains en coupe et avale le comprimé. La porte claque au même moment. Ethan.
-Je savais bien que tu n'étais pas tres bien, murmure t-il.
-Je vais très bien. Qu'es que tu racontes ! mentis je alors que ma tête me fait de plus en plus mal.
J'ai certainement pris un coup de chaud à force d'être au soleil.
-Ne me mens pas, réponds-t-il.
-Je ne te ment pas ! je m'exclame.
-Si tu allais si bien que ça pourquoi as pris un doliprane ? me demande t-il.
Et merde ! Le paquet de comprimés est juste à cotés de moi. Quelle débile d'avoir essayé de lui mentir.
-Oui bon d'accord. Peut être que j'ai un peu mal à la tête à cause du soleil, j'avoue confuse.
-J'en étais sûr, chuchote t-il, tu veux qu'on attende un peu qu'il fasse effet ou ça va aller princesse ?
-Ça va aller, répondis je en sortant des toilettes.
Enfin j'espère. Nous payons, enfin les entraîneurs du moins, puis reprenons la route direction Paris.
A l'entrée de Paris les bouchons nous posent plus de problèmes que nous l'aurions penser. Il est en même temps presque midi, l'heure de pointe, et malheureusement pour nous la chaleur de la capitale est étouffante. J'ouvre ma visière en espérant trouver un peu d'air frais mais malheureusement l'air est chaud et ne me rafraîchis pas du tout. Mes deux camarades de routes, eux aussi, font une sale tête. Signe que eux aussi en ont marre et que nous aurons, ce soir, une bonne excuse pour nous détendre dans nos chambres. Nous passons devant la salle ou nous jouerons pas plus tard que dans une ou deux heures, puis devant la tour eiffel. Sur le chemin je croise plusieurs influenceurs motards que je suis, je les saluent en retenant qui j'ai croisés pour le leur dire plus tard.
Nous arrivons enfin devant l'hôtel, et je suis assez surprise. Je ne m'attendais pas du tout à ça. L'hôtel où nous logerons trois nuit, possèdent six étages et un parking sous terrain où nous entrons à la hâte. L'air du parking est dix fois plus respirable que l'extérieur, nous nous garons et mes camarades et moi faisons biens attention à sécuriser nos motos pour ne pas nous les faire voler. À la hâte j'enlève mon équipement et par la même occasion mon sac à dos avec mes affaires dedans. Nous montons à l'accueil pour récupérer les clés de nos chambres. Les entraîneurs expliquent notre venu ici tandis qu'avec une grande admiration nous admirons le grand hall. Les tapisseries sont luxueuse tout autant que l'énorme lustre en cristal. Deux escaliers en arrondi monte au différents étages, ainsi que deux ascenseur un peu plus loin. Sur les murs, des panneaux indiquent les différentes choses présentes dans cet hôtel. A savoir :une piscine avec spa, un restaurant et une petite épicerie.
Quand enfin nos entraîneurs on récupèré les clés, nous montons au dernier étage. Il y a six étages à monter alors nous décidons de prendre l'ascenseur. Nous nous arrêtons au second puis au dernier étage. Nous les suivons jusqu'au fond du couloir, je récupère la clé de ma chambre que je vais partager avec Aimée. Éthan, lui, sera seul car la personne qu'il devait amener, ne pouvais pas venir.
-Avant d'aller faire je ne sais quoi, n'oublier pas qu'à quatorze heure nous avons entraînement à la salle rendez vous en bas vers treize trente.
Tous les trois, nous hochons la tête en guise d'approbation. Nous entrons dans notre chambre et son téléphone sonne, elle me regarde un instant puis décroche en sortant de la chambre. Je profite de cet instant pour ranger mes affaires.
Au bout de quelques minutes elle revient dans la chambre, elle annonce :
-Rien de grave ! On va à la piscine ?
-Avec plaisir ! je réponds.
Ethan toque alors à la porte.
-Piscine ? propose-t-il.
-On aller justement y aller ! je réponds.
Je referme la porte tandis qu'il s'éloigne, nous nous mettons en maillot de bain et enfilons une robe par dessus. Nous préparons ensuite mes affaires puis me dirige vers la porte, où devant, se trouve mon coéquipier Ethan. En silence nous nous dirigeons vers l'ascenseur, nous descendons au rez-de-chaussée puis nous marchons jusque las bas.
Quand nous arrivons, la piscine est peu rempli. Nous trouvons donc facilement deux transat cote à cote. Sans hésiter m'asoit au bord de la piscine. Je suis bientôt je rejoint par Ethan.
-Ta meilleure pote me fait trop rire ! Je l'aime bien ! dit il.
-Oui mais fait gaffe elle a des idées aussi farfelus que moi ! je m exclame.
Il saute dans l'eau me tend sa main et me tire dans l'eau.
-Eh ! je m'exclame, tu vas le regretter !
Je mets ma menace à exécution et lui fait un croche pâte sous l'eau. Il disparaît sous l'eau et j'éclate de rire. Lorsqu'il remonte à la surface il murmure :
-Viens on appelle ta pote et on la tire à l'eau ?
-Quelle bonne idée, je m'exclame en rigolant, Aimée !!!
-Oui. réponds elle.
-Tu peux venir une seconde ? je demande.
Elle s'approche et elle n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit que je la tire dans l'eau. Quand elle ressort de l'eau elle m'adresse un doigt d'honneur. J'explose de rire suivis d'Ethan et de ma meilleure amie. Quand notre fou rire fut passé nous sortons de la piscine et enfilons des habits sec.
Nous nous dirigeons ensuite vers le restaurant. Nous commandons et, étonnamment nous servis rapidement. Je me demande si ce n'est parce que nous faisons partie des qualifiés pour les JO ou si c'est tous le temps comme ça. Nous mangeons en parlant et en riant.
-On remonte ? Il est treize heures et on doit bientôt aller s entraîner, je lance.
-Ah oui c'est vrai on est parti alors ! s'exclame Éthan.
A mon tour je me lève et les suis. Nos repas sont compris dans le prix de l'hôtel. Nous n'avons donc rien à payer puisque ce sont les organisateurs des JO qui prennent en charge notre logement. Nous prenons l'ascenseur et montons jusqu'à notre étage. Nous marchons jusqu'à nos chambres en parlant gaiement. J'entre dans ma chambre suivi d'Aimée et Ethan dans la sienne qui de trouve en face.
J'en sors quelques minutes plus tard. Je sors un tee-shirt et un short de sport. Dans mon éternel eatspak, je mets tous ce dont je vais avoir besoin pour notre entraînement. J'attends ensuite patiemment que ma meilleure amie sorte douche et je lui demande :
-Tu viens nous voir nous entraîner ?
-Ouais je suis prête dans pas longtemps !
Cinq minutes plus tard quand elle est enfin prête,
nous sortons de notre chambre téléphone en main. Nous attendons patiemment, mon coéquipier et nos entraîneurs. Je jette un rapide coup d'œil à mes notifications. La plupart d'entre elles sont de mes parents. Je ne leur ai rien dit, pas même que je partais du camping. Tant pis, ils ne m'en voudront pas, enfin j'espère. Je les appellerais avant la finale. Je sais déjà comment je vais leur dire. C'est ce moment la que choisissent mes entraîneurs et Ethan pour arriver. Ensemble nous montons dans l'ascenseur pour descendre au sous sol. Nous marchons un instant dans le sous sol puis finnisons par retrouver nos véhicules. J'enfile mon casque, ma veste et mes gants, puis démarre en laissant passer nos entraîneurs devant.
A peine dix minutes plus tard, nous arrivons devant la salle ou, dans quelques jours, notre avenir s'écrira.
Nous nous garons et rentrons dans la salle, elle est grande, beaucoup plus grande que celle ou nous avons l'habitude de nous entrainer. Mais apres tout nous sommes dans une grande une ville. Nous nous échauffons et faisons quelques échanges entre nous. Puis, quand nous sommes assez échauffer, nous décidons de jouer contre nos entraîneurs. La dernière fois nous les avions battus de peu.
-Essayons de faire mieux cette fois ci, je murmure à mon coéquipier tandis qu'Aimée s'installe dans les gradin.
-Oui. Montrons leur que nous pouvons gagner cette qualification, réponds-t-il que le même ton que moi.
Nous faisons le toast, puis, commençons notre match. Nous gagnons les trois sets de vingt et un points , et donc par conséquent le match. Nous en refaisons un, et, sans grande surprise nous le gagnons. Je lis la fierté de nos entraîneurs dans leur yeux.
Il est dix huit heures quand nous arrivons enfin à l'hôtel. Je dégouline, et une faim de loup me gagne. Nos entraîneurs, sont allés se detendre à la piscine. Ethan, Aimée et moi montons dans l'ascenseur. Nous restons silencieux durant le trajet, mais quand je m'apprette à rentrer dans ma chambre à la suite mon amie, il me dit :
-Ça te dit d'aller manger un resto ?
-Euuh, je réponds.
Je ne m'attendais pas à ça.
-En fait il n'y a pas de réponse négative. Dix neuf heure trente dans le hall. C'est moi qui paie et qui décide de la soirée, ajoute-t-il en regagnant sa chambre.
J'entre a mon tour dans ma chambre et consulte en vitesse mon téléphone. Mes parents et mes amis je leur répondrai plus tard. Je me dirige vers ma salle de bain et me glisse sous l'eau chaude.
Quelques minutes plus tard, j'en sors. Je fouille dans mon sac à la recherche de vêtements. J'en sors finalement une robe longue blanche et bleu. Elle est à peine décolleté et elle a une légère fante du côté droit. Je l'enfile avec des baskets bleus. Je me maquille à peine. Je consulte rapidement l'heure. Dix neuf heure trente. À toute allure je prépare mon sac à main noir à lanière dorée, je m'aprette à partir quand ma meilleure amie m'interpelle :
-Tu sors ?
-Oui avec Ethan. Désolée de ne pas rester avec toi, je m'excuse.
-T'inquiète pas. De toute façon je suis épuisée, tu me racontera tout en détail par contre ! s'exclame-t-elle.
-Promis, je réponds en sortant à la hâte de la chambre, à plus !
Je cours presque jusqu'à l'ascenseur et quand j'arrive en bas, j'ai l'impression d'avoir au moins mis une heure à descendre alors qu'il est seulement dix neuf heure trente cinq.
-Alors ? On va ou ? je demande.
-Tu verras, répond t-il.
-Tu es sérieux tu veux même pas me donner un indice ? j'insiste.
Il secoue la tête, me faisant comprendre que je doit attendre.
-Cachottier, j'ajoute.
-Au fait, tu est très belle ce soir, dit il en se fichent complètement de ma remarque.
Bien évidemment je rougis à sa remarque et le suis dehors. Il y fait encore une chaleur étouffante. Un uber arrive devant nous, Éthan m'ouvre la porte en m'invitant à y entrer. Je monte dans la voiture suivi de mon copain. Le uber ne nous demande pas d'adresse, le cachottier a dû le tenir informer sur l'appli. Nous roulons une trentaine de minutes avant de nous arrêter. Mon coéquipier sort du uber avant moi et je le suis en remerciant poliment notre chauffeur. Nous nous trouvons devant un restaurant plutôt chic. Les prix doivent l'être aussi. Je suis mon meilleur ami a l'intérieur. Il a réservé une table pour deux dans un coin tranquille. Nous commandons et je demande curieuse :
-Quel est la suite du programme de cette soirée ?
-Roooh mais quesque tu es curieuse bon sang ! s'exclame-t-il. Tu verras bien.
Je souffle en lui lançant un sourire sincère. Quelques minutes plus tard on nous sert notre repas et nous mangeons en discutons gaiement de tout et de rien. Mais surtout du match qui approche rapidement. Quand nous eurent finis de manger, mon copain paye et nous sortons du restaurant. Nous marchons un moment, et puis nous arrivons en face de la tour Eiffel. Il me dirige jusqu'aux ascenseur qui monte tout en haut. Nous montons dedans et je le regarde dans les yeux. Il m'aura tout fait. Quelques minutes plus tard nous arrivons en haut et nous nous avançons.
-C'est magnifique, je murmure.
Paris s'étalent devant moi, et même si je pense que la journée cela doit être très beau, je ne peux m'empêcher de me dire que c'est encore plus beau de nuit. Je sors mon portable et fait une photo, elle est splendide. Mais pour rien au monde je ne changerai mon fond d'écran, c'est nous deux. Il semble le deviner et demande à des touristes de nous prendre en photo. Un fois que cela fut fait, je la mets directement en fond d'écran et en profite pour la lui envoyé. Je range mon portable et je m'accoude sur la barrière pour mieux profiter de la vue. Nous restons une heure ou deux à profiter de la vue.
Il doit être trois heure du matin passé quand nous redescendons enfin de la tour. Nous commandons un uber et en même pas quinze minutes nous sommes devant l'hôtel. Il est maintenant désert et nous ne faisons aucun bruit en remontant dans nos chambres.
-Merci, je lui murmure, c'était vraiment incroyable.
-De rien princesse, réponds-t-il.
Sur ces mots nous rentrons dans nos chambres. Je me prépare et me mets au lit. Je m'endors aussitôt au côté de ma meilleure amie.