Mariage de Convenance

By AzerAdams

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Bartholomew, Augustus et Dashiell, les fils de Théodore Montgomery, un mafieux colombien, se retrouvent pris... More

Chapitre 1 : La Dette Inattendu
Chapitre 2 : L'annonce du Mariage
Chapitre 3 : L'origine
Chapitre 4 : Le Dîner (Partie 1)
Chapitre 5 : Le dîner (Partie 2)
Chapitre 6 : Les Conséquences Explicites
Chapitre 7 : Le Mariage (Partie 1)
Chapitre 8 : Le Mariage (Partie 2)
Chapitre 9 : Le Mariage (Dernière Partie)
Chapitre 10 : La chasse
Chapitre 11 : Conflit à Vegas
Chapitre 12 : Le Gala
Chapitre 13 : Sentiments Dangereux
Chapitre 14 : De retour au Manoir
Chapitre 15 : Réhabilitation
Chapitre 16 : Secret et Vérité
Chapitre 17 : L'Origamie
Chapitre 18 : Résurgences du Passé
Chapitre 19 : Révélation et Confrontation
Chapitre 20 : Les Ennemis
Chapitre 21 : Jefferson Galad
Chapitre 22 : Nouveaux Visages
Chapitre 23 : Disputes Familiales
Chapitre 24 : Soirée Importante
Chapitre 25 : Trahison
Chapitre 26 : Conflit Interne
Chapitre 28 : Une Famille face à l'Adversité (Partie 1)
Chapitre 29 : Une Famille face à l'Adversité (Partie 2)
Chapitre 30 : Une Famille face à l'Adversité (Partie 3)
Chapitre 31 : Les Révélations de l'Obscurité
Chapitre 32 : Confrontations et Conspirations
Chapitre 33 : Les Secrets de l'Art et de la Vengeance
Chapitre 34 : Les Masques de la Vérité
Chapitre 35 : Les Ombres du Pouvoir
Chapitre 36 : Épreuves et Révélations (Partie 1)
Chapitre 37 : Le Néant du Pouvoir
Chapitre 38 : Secrets

Chapitre 27 : Les Italiens

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By AzerAdams

Lorenzo Ricci, âgé de 32 ans, est un dangereux mafieux italien. Sa personnalité combine protection, attachement familial et autoritarisme. Classé parmi les criminels les plus recherchés, sa haine la plus féroce est réservée aux traîtres.

Francesco Greco, âgé de 32 ans, occupe le poste de bras droit de Lorenzo, étant également l'un de ses amis les plus fidèles. Lié par le mariage à la cousine de Lorenzo avec qui il a un fils, c'est un individu redoutable qui voue un penchant prononcé pour les femmes.

Andrea Greco, âgé de 32 ans, est le frère jumeau de Francesco. Il compte parmi les amis les plus fidèles de Lorenzo. D'humeur calme et réfléchie, il est un homme dévoué et loyal.

Renato Calista, âgé de 22 ans, est le chauffeur de Lorenzo et fait partie intégrante de son cercle restreint. Sa loyauté et sa fidélité en font un membre précieux de l'entourage de Lorenzo

Vittoria Greco, à 26 ans, est la cousine de Lorenzo et l'épouse de Francesco. Sa loyauté envers son cousin l'a amenée à accepter à contrecœur le mariage avec Francesco, où ils ont eu un fils.

Valentina Livia, âgée de 19 ans, est la protégée de Lorenzo. Recueillie par lui après la perte de ses parents, elle a intégré la famille, devenant un membre à part entière du cercle de Lorenzo.

Marco Greco Ricci, âgé de 4 ans, est le fils de Vittoria et de Francesco. Avec son humeur toujours souriante et joviale, il apporte une lueur de bonheur dans le foyer.

Il y a cinq ans, le ciel ensoleillé de l'Italie se voila de sombres nuages pour Lorenzo et les frères Greco, en pleine mission d'affaires. La sauvagerie de l'assassinat de sa sœur et la blessure par balle infligée à sa cousine laissèrent des cicatrices indélébiles. Animé d'une détermination farouche, Lorenzo prêta serment de traquer l'assassin responsable de cette tragédie déchirante. Dans un geste protecteur envers sa famille, Lorenzo ordonna à ses proches de demeurer à ses côtés en toutes circonstances. Il scella les destins en unissant sa cousine et son meilleur ami par les liens du mariage. Cinq ans plus tard, un appel de Patricia Marquez ébranla le cours des événements. Les révélations pointèrent Théodore Montgomery du doigt comme l'auteur de cette atrocité. Une fureur dévorante s'empara de Lorenzo. Il se prépara avec une unité renforcée, rassemblant toute sa famille pour affronter Théodore Montgomery.

Début

Patricia, après quelques heures d'attente tendue, franchit la porte du bureau imposant de Lorenzo Ricci. L'atmosphère y était lourde, imprégnée d'une tension palpable. Derrière son bureau massif, un homme la dévisagea avec un mélange subtil de désir et de curiosité.

Patricia : "Vous devez être Lorenzo. Per favore, libera il mio amico, è un giovane innocente."

L'homme assis, Francesco Greco, l'observa avec un sourire sarcastique, saisissant parfaitement le sens des paroles de Patricia.

Francesco : "Pas besoin de parler italien, vous savez, je comprends parfaitement. Je m'appelle Francesco Greco. Je voulais rencontrer celle qui prétendait que Théodore Montgomery était responsable de la mort de la sœur de Lorenzo. Vous êtes une femme ravissante, votre mari doit avoir beaucoup de chance."

Francesco : "Permettez-moi de vous avertir avant que les choses ne se compliquent pour vous. Sachez que Lorenzo vous éliminera, ainsi que toute votre famille, si Théodore Montgomery n'a aucun lien avec la mort de sa sœur. Bien sûr, je ne voudrais pas qu'on défigure votre magnifique visage. Addio, a presto, mia bellezza."

Francesco quitta la pièce, laissant Patricia seule, plongée dans une panique grandissante.

Il se dirigea vers sa chambre, alors que Francesco entrait. Vittoria, sa femme, se tenait près de la fenêtre, semblant absorbée par des pensées profondes et tourmentées.

Francesco : "Que fais-tu à regarder par la fenêtre?"

Vittoria, immobile près de la fenêtre, semblait captive de pensées qui la tourmentaient.

Vittoria : "Lorenzo est là? J'aimerais lui parler."

Francesco : "Il est occupé. Et tu aimerais lui parler de quoi, dis-moi."

Vittoria : "Tu imagines bien que si je voulais que tu sois au courant, j'aurais demandé à te parler à toi et non à Lorenzo."

Francesco : "Où est Marco?"

Vittoria : "Avec Valentina, ils se promènent dans le jardin."

Francesco : "Ça fait qu'un jour qu'on est là, et tu es froide avec tout le monde."

Vittoria : "Je suis froide avec Lorenzo parce que je ne voulais pas venir ici. Je suis froide avec toi parce que je ne te supporte plus, et comme tu le dis, ça ne fait qu'un jour, mais tu as réussi à amener une femme ici. Sono stanca di vederti e di tutte le prostitute che invii nel nostro letto."

Francesco : "Tu aimerais peut-être quoi? Que je m'amuse avec toi? Que je te dise des mots doux, que je te fasse des caresses peut-être."

Vittoria : "Non essere stupido. Je m'en fous littéralement de ce que tu fais ou avec qui. Je veux juste que tu le fasses dans un autre lit que le mien."

Francesco : "Questo è ciò che stavi per dire a Lorenzo."

Vittoria : "Arrête, on est mariés depuis déjà un certain temps. Tu devrais savoir que je ne suis pas du genre à faire cela."

Francesco : "Scusami." Il s'approcha d'elle et l'embrassa avant de ressortir, laissant Vittoria seule avec ses pensées dans la chambre.

Dans le bureau, Lorenzo fit enfin son entrée, sa présence imposante accentuant l'atmosphère déjà tendue.

Lorenzo : "Excusez-moi pour l'attente, j'avais des choses à faire. En fait, vous préférez qu'on parle en quelle langue, italien, espagnol, français?"

Patricia : "Je veux juste savoir pourquoi vous m'avez kidnappée."

Lorenzo : "Rapitore? Moi, je ne vous ai pas kidnappée, je vous ai juste emmenée ici pour discuter. Quant à votre ami, il a tué l'un de mes hommes, donc je me suis vu dans l'obligation de lui régler son compte. Sinon, kidnapper? Non, ce n'est pas mon genre. Moi, je tue sans pitié. Alors, asseyez-vous et discutons un peu de Théodore Montgomery."

Francesco se dirigea vers le jardin, un léger sourire sur le visage, où il fut joyeusement accueilli par Marco et Valentina.

Marco, tout excité : "Papà, Valentina ha perso il suo telefono."

Francesco, le soulevant avec affection : "Vieni qui, mio figlio. Quindi, Valentina, il tuo telefono?"

Valentina, un peu gênée : "Non lo so, devo averlo lasciato da qualche parte."

Francesco : "Chiederò a Renato di aiutarti. Renato, Renato."

Renato, approchant rapidement : "Grazie, signore."

Francesco : "Valentina ha perso il suo telefono, sii gentile ad aiutarla."

Valentina, toute rouge : "Ce n'est pas la peine, tu sais, je peux chercher moi-même."

Renato : "Ne t'inquiète pas, je vais t'aider."

Francesco posa délicatement Marco à terre puis demanda : "Renato, dov'è Andrea?"

Renato : "Monsieur, il est dans la pièce avec notre invitée."

Francesco : "D'accord." Il se dirigea alors vers une pièce où Andrea, son frère jumeau, était en train de passer à tabac Flavio à mains nues. L'atmosphère était tendue, chargée de la violence qui se déroulait.

Francesco parla à travers la vitre : "Basta, fai una pausa, devo parlarti."

Andrea, boutonnant rapidement sa chemise, sortit de la pièce : "Que veux-tu, je suis occupé."

Francesco, répliqua : "Occupé, drôle de manière d'être occupé. Je dois aller faire un tour."

Andrea : "Serio, mi stai prendendo in giro. On vient à peine d'arriver, ta famille est là, Lorenzo aussi, on n'est plus en Italie, je te rappelle."

Francesco : "Non preoccuparti. Vittoria et Marco vont bien. Je sais, je ne ramènerai personne ici cette fois, je ne suis pas stupide, je te rappelle."

Andrea : "Va bene, farò attenzione."

Francesco : "Anche io, ti voglio bene fratello." Les deux frères échangèrent un regard complice empreint de préoccupations et de loyauté fraternelle avant que Francesco ne quitte la pièce.

Vittoria, observant Francesco s'en aller par la fenêtre, appela Andrea, son visage exprimant une indifférence.

Vittoria : "Il est encore parti s'amuser?"

Andrea, qui avait interrompu brièvement son interaction avec Flavio, répondit avec un léger soupir : "Oui, mais il ne ramènera aucune femme, ne t'en fais pas."

Vittoria : "C'est tout ce que je voulais savoir, Prego."

Andrea retourna. Pendant ce temps, Vittoria décida de prendre un moment de répit et alla tranquillement s'allonger sur le lit.

Dans le bureau, Patricia exposa avec minutie tout ce qu'elle savait sur Théodore, dévoilant chaque détail de l'affaire. Lorenzo, imperturbable, prit son téléphone et appela Andrea d'une voix calme mais décidée.

Lorenzo : "Andrea, lascia perdere."

Andrea, du bout du fil : "Sei sicuro?"

Lorenzo : "Sì, sono sicuro. Riportalo alla sua auto, il suo capo sta arrivando."

Andrea : "D'accord." Il détacha alors Flavio et organisa son retour vers sa voiture.

Lorenzo : "Vous devriez rentrer maintenant chez vous, Patricia. J'ai été ravi de vous rencontrer."

Patricia, perturbée par la gravité de la situation, demanda d'une voix préoccupée : "Qu'est-ce qui se passera maintenant?"

Lorenzo : "Ma sœur sera vengée."

Il l'accompagna jusqu'à la porte. Alors qu'elle montait dans la voiture, Patricia observa Flavio, complètement défiguré, et ressentit le poids des événements sombres qui venaient de se dérouler. Prenant le volant, elle s'éloigna de la maison.

Ensuite, Lorenzo se dirigea vers la table, demandant aux domestiques de préparer le repas pour accueillir les autres membres de la famille. Valentina et Marco arrivèrent d'abord, suivis ensuite d'Andrea, et enfin, Vittoria descendit, apportant avec elle une ambiance palpable de mécontentement.

Lorenzo : "Où est Francesco?"

Andrea : "Il avait quelque chose à faire."

Lorenzo : "Et je n'étais pas informé?"

Andrea : "Tu étais occupé, il ne voulait pas te déranger."

Lorenzo : "Vittoria, ton mari..."

Vittoria : "On rentre quand?"

Lorenzo : "Ce n'est pas le moment, tu veux, pas le moment."

Vittoria : "J'ai posé une question. Je n'ai jamais été d'accord pour venir ici. Tu n'as pas demandé mon avis."

Lorenzo, avec une froide indifférence : "Ton avis, mais je m'en fous de ton avis, tu m'entends? Je m'en fous complètement de ce que tu veux ou pas. J'ai décidé, tu acquiesces. Mi toglierà l'appetito."

Marco, sentant la tension : "Mamma, perché sei triste?"

Lorenzo : ""Non preoccuparti. Tua mamma sta attraversando una fase. Cosa vuoi mangiare?"

Marco : "Voglio mangiare della pizza."

Lorenzo : "Alors tu auras de la pizza, envoyer de la pizza à mon neveu. Et nous allons manger en paix." L'atmosphère à table était tendue, imprégnée des tensions familiales et des décisions autoritaires de Lorenzo.

Pendant ce temps, Francesco était plongé dans l'effervescence d'une fête, entouré de belles femmes, dans un club de striptease animé.

Vers les deux heures du matin, Francesco franchit le seuil de la maison, déambulant dans sa chambre où Vittoria l'attendait, assise et scrutant la fenêtre avec un air déterminé.

Francesco : "Tu ne dors pas."

Vittoria : "Je voulais voir si tu rentrerais seul ou accompagné."

Francesco : "Bon, je vais aller me coucher."

Vittoria, avec un regard incisif : "Bien sûr, mais pas sur le lit."

Francesco : "Tu racontes quoi, ne m'embête pas."

Vittoria, les yeux perçants : "Tu vas dormir par terre ou sur ce canapé, je m'en fous complètement, mais pas avec moi sur le lit, tu m'entends."

Francesco, haussant un sourcil : "Mais pour qui tu te prends, fais attention."

Vittoria, gardant son calme : "Mon amour, vu que apparemment c'est de cette manière que tu aimes qu'on te parle. Tu ne dormiras pas avec moi sur le lit. Si en te réveillant je te vois à côté de moi. Tu te réveilla sans ton attribut. Quindi buona notte."

La tension dans la chambre était tangible.

Le lendemain, après avoir fini de prendre sa douche, Vittoria découvrit que Francesco avait fait monter un beau petit déjeuner pour elle. Il souhaitait qu'ils mangent tranquillement en famille, tous les deux avec Marco.
Francesco, un sourire presque sincère aux lèvres, accueillit Vittoria et Marco pour ce moment matinal.

Francesco, avec un regard compatissant : "Je pense qu'il est temps que nous passions un peu de temps en famille, tous les trois. Marco, sei pronto per una deliziosa colazione?"

Marco, tout sourire : "Sì, papà!"

Pendant ce temps, dans sa chambre, Lorenzo se laissait submerger par un mélange de tristesse et de colère. Son regard était fixé sur le portrait de sa sœur, une présence constante dans sa vie, et il jurait intérieurement de la venger.

Au même moment, Renato et Valentina avaient partagé une nuit intime.

Valentina, réveillant Renato avec une urgence discrète : "Svegliati, devi andartene prima che qualcuno ti veda."

Renato, confus : "Arrête, qu'est-ce qu'il y a?"

Valentina, insistante : "Lève-toi et pars. Imagine Lorenzo nous voit, ou Andrea, ou Francesco."

Renato, tentant de minimiser la situation : "Ça fait déjà 8 mois qu'on est ensemble, on peut leur dire."

Valentina, avec anxiété : "Sciocco, lève-toi et pars."

Renato, céda : "Ok, bon je t'aime." Il l'embrassa avant de s'habiller rapidement et de sortir par la fenêtre pour rejoindre sa chambre.

Pendant ce temps chez les Marquez, Rowan et les autres étaient extrêmement en colère et voulaient s'occuper de Lorenzo et du reste de son groupe pour ce qu'ils avaient fait à Flavio.

Patricia, cherchant à calmer la fureur qui montait : "Vous allez arrêter, ça suffit, ils ne nous feront plus aucun mal."

Rowan, laissant éclater sa colère : "Tu as vu dans quel état mon frère ce truc."

Goro, évoquant des représailles violentes : "On va les massacrer, leur couper leurs attributs, passer au foie, puis à l'intestin en l'enroulant autour de leur cou pour..."

Patricia, interrompant fermement : "Ça suffit maintenant, on ne va pas s'en prendre à Lorenzo, et surtout je vous interdis de le dire à Antonio qu'ils nous ont enlevés."

Killian, tentant de s'exprimer : "Mais Patricia..."

Patricia, coupant court à toute objection : "Est-ce que vous avez compris?"

Rowan, résigné : "Oui, on a bien compris."

L'atmosphère était électrique, mêlée de frustration et de désir de vengeance, mais Patricia tentait de préserver un semblant de raison dans le groupe, redoutant les conséquences potentielles d'une escalade violente.

Dans leur appartement, Samuel était inquiet.

Scarlett, vêtue d'une nuisette transparente, exprima sa frustration : "Tu te fous de moi j'espère, après la nuit qu'on a passée, tu penses toujours à cette gamine. Et ne me sors pas un délire de 'je l'aime bien' ou 'je l'apprécie', ou encore pire 'je suis amoureux'. Je ne le supporterai pas. Tu as couché avec cette fille, maintenant, passe à autre chose."

Samuel, cherchant à expliquer : "Je vais juste l'appeler une dernière fois."

Scarlett, s'habillant avec détermination : "Tu fais comme tu veux."

Samuel, inquiet de la tournure des événements : "Qu'est-ce que tu fais? Pourquoi tu t'habilles?"

Scarlett, avec froideur : "Je vais sortir. Je ne supporte plus cette atmosphère délirante et pathétique."

Samuel, déconcerté : "T'es sérieuse?"

Scarlett, sans fléchir : "Tu sais pertinemment que je suis toujours sérieuse. N'essaie pas de me joindre, je ne passerai pas la nuit ici. Au revoir, je t'aime."

Samuel, mélange d'émotions, répondit : "Moi aussi." Elle lui fit une bise puis s'en alla a bord de sa Bentley Continental GT, laissant Samuel seul dans l'appartement.

Chez Anna, elle avait insisté pour que Gwen vienne car Eren avait des informations cruciales à partager.

Anna : "Merci d'être venue. Permet-moi de te présenter..."

Eren : "Agent Eren Doğan, enchanté."

Gwen, légèrement perplexe : "Enchantée. Anna je ne comprends pas."

Eren : "Laissez-moi vous expliquer. J'ai contacté votre cousine il y a quelques jours dans le cadre de mon enquête sur Théodore Montgomery et ses associés. J'aimerais vous poser quelques questions."

Gwen, résolument : "Désolée, mais je ne crois pas, je ne suis pas intéressée."

Anna, cherchant à apaiser la situation : "Gwen, écoute-le au moins."

Gwen : "Non, je ne veux pas. Je dois rejoindre Augie, je n'ai pas le temps."

Eren, notant une connexion intrigante : "Augie? Augustus Montgomery. Vous avez donc divorcé de Bart pour ensuite sortir avec son frère."

Gwen, fermant son cœur à toute explication : "Non, ça ne vous regarde pas."

Eren : "Vous avez été kidnappée quand vous n'aviez que quelques jours, élevée loin de vos parents, et tout cela à cause de Théodore Montgomery."

Anna : "Et de Joseline Montgomery, n'oubliez pas sa mère."

Eren : "Le corps de Joseline a été retrouvé il y a quelques jours, sans vie. Elle a été tuée. Je vais vous laisser ma carte, je vous conseille de m'appeler." Puis il quitta la pièce.

Gwen, perplexe et méfiante : "Ce mec, un policier, je n'y crois pas."

Anna : "Pareil, tu as vu comme il est musclé et ses tatouages."

Gwen, essayant de détendre l'atmosphère : "Par contre, il est plutôt sexy."

Anna : "Je sais." Les deux femmes partagèrent un rire.

Dans la maison des Ricci, Vittoria et Francesco étaient assis à la terrasse, observant Marco jouer.

Francesco, tentant d'apaiser la situation : "Qu'est-ce qu'il y a encore? Tu vois, il est très heureux ici."

Vittoria, l'air contrarié : "Et alors, il était plus heureux en Italie."

Francesco, se rapprochant d'elle et lui caressant la joue : "Mio Amore. Ne t'inquiète pas, ici n'est que temporaire."

Vittoria, repoussant doucement sa main : "Tu me touches pourquoi? Sciosso. Parle à Lorenzo et dis-lui..."

Lorenzo, interrompant leur conversation : "Dire quoi à Lorenzo? Même dans mon bureau, je sentais ta mauvaise humeur habituelle."

Vittoria, irritée : "Je veux rentrer."

Lorenzo : "Francesco, on doit parler."

Vittoria : "Lorenzo, sto parlando con te."

Lorenzo : "Francesco, dit à Renato de préparer la voiture, on sort." Puis il retourna à l'intérieur.

Vittoria, déconcertée : "Il se fiche de moi. J'arrive pas à le croire."

Francesco, exaspéré : "Arrête, tu commences à devenir una gran stronzata." Il l'embrassa puis s'en alla, laissant Vittoria seule avec ses pensées tumultueuses.

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