note de l'auteur:
salut tout le monde je vais écrire une petite histoire sur hélénie version Thlema et Louise donc cette histoire et très inspirer du film.
pov Lenie
J'ai une vie de merde je travaille dans un café pourri sur le bord d'une autoroute ou je vois passer une tonne de camionneur qui en plus d'avoir des paroles déplacées sur mon physique ont aussi des gestes déplacés. Mais je me laisse pas faire rien qu'aujourd'hui par vengeance j'ai brulé la main d'un mec qui m'avait mis une main aux fesses avec la tasse de café qui était devant lui. Mon patron m'appela dans son bureau il me dit alors:
-Bon ma petite Lenie ça va pas du tout tu peux pas te comporter commença avec les clients. Me dit-il avec un petit sourit il fait le tour de son bureau et vient se mettre devant moi et colla sa jambe contre le mien je me reculai un peu dans mon siège pour n'avoir plus avoir à le toucher et bassa la tête. Il continua. Il faut que tu sois plus douce comme je le suis avec toi ma petite chérie. Je restai les yeux encraient sur mes pieds. de toute façon tu sais très bien que si tu veux garder ce boulot tu dois mettre obéissante. je me levai. Je ne veux plus qu'il me touche je lui répondis.
-Écoute-moi Michel je ne veux plus faire tout ça je ne suis pas une serveuse automate je veux plus qu'on me touche qu'on m'insulte. Je le vis devenir rouge il me plaqua sur un mur et me dit véhément.
-Mais c'est qu'elle se rebelle la petite, tu me dois tout si tu as un toit sur la tête un salaire et manger dans ton assiette c'est grâce à moi, alors tu vas laisser ces hommes te toucher et tu vas te faire pardonner en vers moi pour ta révolution ma chérie. Je ne peux plus faire tout ça je sais après tous ses années que Michel avait une arme dans un tiroir alors je cours à son bureau et braqua larme sur lui et lui dit.
-Tu vas arrêter tout ça je me casse et tu vas me donner tes clés de baniol sale connard. et tout le fric de ta caisse aussi. Il s'avança vers moi et distinct je tirai dans sa jambe. Je lui dis. Fais ce que je viens de te dire ou alors je te tire une balle dans ton cœur. Il fit tout ce que je lui ai demandé. Une fois l'argent et la voiture volée je me rendis chez mon amante Héléna une fois arriver dans sa rue je la vis une valise a la main à l'arrêt de bus je la vis avec un cocard a son œil droit. J'arrêtai la voiture et elle me dit.
-Lenie qu'est ce que tu fais là tu devrais pas être ici si Pierre te voit il pourrait te tuer il apprit pour nous en trouvant tes mails regarde ce qu'il m'a fait. Je lui dis.
-Monte Héléna on s'enfuit toutes les deux s'est finis cette vie de misère. Elle ne perdit pas une seconde et mit sa valise dans le coffre de la voiture et quand elle rentra dans la voiture j'entendis Pierre sortir de sa maison et je le vis avec une arme je démarrai la voiture et me dirigeai vers lui je voulais lui faire peur ce que je réussis puis qu'il tomba dans les bosquets on continua notre route vers l'inconnue. Héléna paniquée me dit.
-Lenie pourquoi tu as fait sa tu as failli le tuer.
-Il s'en était pris à toi tu crois que quelqu'un peut toucher à la femme que j'aime en lui laissant des bleus sans en connaitre les conséquences. elle attrapa mon visage et m'embrassa.
-Mais Lenie tu veux aller où on a pas d'argent et puis elle sort d'où cette voiture. je lui répondis du tac au tac.
-Elle est ta Michel je lui ai volé et lui et tirai une balle dans la jambe. Elle resta bouche baie. Ah oui et j'ai volé la caisse donc on doit avoir au moins 500 ans baille. Elle me répondit.
-Non mais Lenie tu es folle les flics son surement à tes traces, tu vas aller en prison. Je m'arrêtai sur le bord de la route et attrapai les mains d'Héléna.
-Héléna mon amour je sais que j'ai fait n'importe quoi mais maintenant on peut tout recommencer rien qu'a deux sans homme qui nous font du mal juste toi et moi qui nous faisons du bien. Je l'embrassai avec passion et elle me dit.
-Tu as raison de toute façon s'il nous arrive quelque chose maintenant je suis heureuse parce que je suis à tes cotes et ça jusqu'à la mort mon amour. je l'embrassai une nouvelle fois. Et je pris la route et on arriva en Autriche. on se posa dans un champ tous les deux allonger dans les herbes haut tout en jouent avec les mains l'une de l'autre. Je lui dis.
-Alors ma belle tu veux aller où? Elle tourna sa tête vers moi et me répondit.
-Au soleil ma Lenie je veux ne plus jamais avoir froid de ma vie je veux vivre les pieds dans le sables toute l'année avec toi à mes cotes. Je me tournai vers elle et lui replaça une mèche de ses cheveux et lui dit.
-On va aller vivre au soleil ma vie je ferrais tout pour toi. Elle rigola et me dit.
-Oui j'ai vu ça, tu es vraiment prête à tout pour moi. je t'aime Lenie. Je l'embrassai et descend mes mains le long de son corps pour gouter aux plaisirs de sa chair qui me rendait folle d'elle encore plus que je ne l'étais déjà. Elle commença à expirai de plus en plus fort dû t'à mes mains qui la chatouillaient de plus en plus vite. Et puis venue sa petite mort. On s'allongea toutes les deux on s'endormit l'une comme l'autre. Je suis au paradis dans ses bras. Je me fis réveiller par Héléna qui me dit.
-Lenie chérie j'ai vu des poulets il faut qu'on parte au plus vite. On remonta dans la voiture et ont reparti toutes les deux soudain une voiture nous arrêtés je dis à Héléna.
-Amour laisse-moi faire d'accord je vais faire diversion. Elle m'embrassa la main en signe d'acceptation. Un agent de la police venue taper à ma vitre. Il me dit.
-Bien le bonjour, mes demoiselles savez-vous pourquoi je vous arrête?
-Non pas du tout qu'est-ce qu'on a fait monsieur l'agent. Héléna me regarda un peu choquer de mon ton.
-Et bien parce que deux femmes de votre genre son actuellement rechercher pour vole à main armée et collaboration. Je souris de plus belle.
-Oh quelle horrible femme certainement des hystériques. Il me sourit je compris qu'on était plus du tout des potentiels, il me répondit.
-Vous imaginez même pas à quelle point vous avez raison ce sont des lesbiennes il paraît qu'elles s'aiment en plus, et votre amie elle est muette. Je regardais Héléna pour lui faire comprend qu'elle devait y mettre du sien.
-Non je ne suis pas muet mes excuses monsieur l'agent ma cousine et moi devons nous rendre à cette fête de famille a la qu'elle nous avons été convier. il nous laisse reprendre la route et là j'entends. un message radio nous décrit alors par instinct j'appuyai sur l'accélérateur et Héléna sortie le pistolet et creva les pneus du flic derrière nous. Elle dit.
-Tu es une folle on s'est fait découvrit Lenie c'est dangereux.
-Oui mais ce n'est pas moi qui a sortir un pistolet pour tirer sur une voiture de police Héléna. dis-je énerver.
-Lenie s'il te plaît mon amour ne prend pas ce ton grave je ne veux pas ressentir tu ta colère je m'en voudrais de se quitter fâcher je t'aime trop pour cela. J'arrêtai la voiture. Mon amour pourquoi tu t'arrêtes.
-On arrivait chérie descend. On sortit et je vis son regarder s'illuminer elle m'embrassa passionnément. Nous étions au bord de la falaise.
-Lenie merci , c'est parfait. On entendit les policiers arrivés ont vu pleins de voitures arriver je regardai Héléna elle attrapa ma main et on commença à reculer tout doucement on entend même pas les ordres de la police. Et quand nous sentons le vide dernier nous je lui soufflai doucement.
-Je t'aime. Puis on se laissa tomber dans le vide l'une dans les bras de l'autre pour rejoindre un monde où on peut être ensemble.
Note de l'auteur:
voila un dernier chapitre terminer encore dans genre nouveau pars rapport au anciens.
-regarde on arriver