TW : VIOLENCE.
Présent.
États-Unis.
Université de Memphis, TN.
10h20.
Layline.
Le brouhaha de l'Université De Memphis incessant résonnent à travers les couloirs extravagants et en même temps banales, ça sent un peu l'odeur de chez votre grande mère. J'avoue ne pas avoir trouvé mieux comme comparaison.
Mes talons aiguilles claquent contre le parquet, mon sac pris sur mon épaule, j'ai une robe noir avec des manches vaseuses longues, et la longueur de celle-ci ne s'arrête pas plus bas que mes cuisses, un décolleté en V s'y creuse. Quelques bagues en or pour accompagner ma tenue.
J'ai opté pour un maquillage de tons bleues, et estompées et dégradées sur mes paupières, et légèrement en dessous de mes orbites.
Pourquoi est-ce donc si dur de tout simplement traverser des couloirs, mes paupières sont alourdis, je sens encore sous l'effet venimeux de la drogue et l'alcool envenimée dans mes sens endolories.
Après tout, je ne suis jamais sobre.
C'est comme ça que je cherche à oublier mes problèmes, même si ce n'est que quelques heures, pour moi c'est une libération. Le regret de mon acte d'hier me remonte comme une boule acide dans le creux de ma gorge.
Je salive difficilement.
Le temps reste toujours le même ici, la forte pluie qui tombe, les nuages qui sont sombres, et toujours cet même humidité qui se berce dans cette ville.
Je dois avouer que ça ne me dérange pas vraiment, les mauvais temps sont ce que je préfère, alors, vaux mieux s'en réjouir que se larmoyer.
Maddy, depuis ce jour-là, j'ai réussi à bien m'entendre avec elle, elle est presque devenue mon ami, disons que ça me fait toujours un peu peur.
Cassie.
Cassie !
Cette putain de traître, qui m'a trahi alors que c'était la dernière personne sur qui je comptais, et je dois l'avouer, je la déteste jusqu'au plus profond de moi.
Je ne fais pas parti de celles qui font de la pitié après qu'elles meurent, alors que personne ne les a jamais aidés dans leur soucis. Au contraire, j'emmerde le monde, l'histoire, et l'espoir.
Une boule creuse et mauvaise se forme dans mon ventre. D'ailleurs en parlant d'elle, derrière son casier, quand elle le referme, c'est ma tête qu'elle aperçoit. Un sourire creuse ses joues.
— Eh, beauté, articule-je sous ses pommettes qui deviennent rougeâtres, ça va ?
— Ouais, super ! me confie t-elle. Et toi ?
Non vraiment pas, j'ai juste envie de me pendre et encore me droguer juste pour oublier mes soucis qui traînent en moi. Même baiser jusqu'à en vomir.
Mais évidemment, ça, tu n'en sauras rien.
Je me force un sourire, l'impression qu'il me fait mal rien qu'en le faisant, mais finalement, j'arrive à en formé un faux, de toute façon. Nous sommes tous faux, et des putains de menteurs dans cette terre.
— Tout va bien, mentis-je en la regardant droit dans les yeux.
— Tant mieux, je t'ai vu à la télé, dit t-elle timidement en jouant avec une mèche de sa chevelure blonde, t'étais... super belle !
— Vrai, merci, la remercié-je alors que je scanne son maquillage.
Pourquoi avoir créé tant cette carapace protectrice où personne n'a pu y entrer ? Car les méchants s'attaquent toujours aux gentils qui sont trop naïves et gentils, gentilles. Alors, être devenue méchante me parait une bonne idée pour éviter d'être encore plus détruite qu'auparavant.
Je suis toujours détruite, de toute façon.
Elle a un eye-liner qui va du début de son œil, à la fin de sa paupière, avant qu'ils se finissent délicatement au milieu de sa paupière mobile, de couleur rose, des strass en argent en dessous de ses yeux, j'ai remarqué qu'elle a mis une robe bleu ciel, avec un petit décolleté timide.
Ses cheveux blonds lisses sont coiffées en une queue de cheval haute, avec ses racines légèrement moins clair que ses cheveux d'origines.
Elle a mis un noeud papillon sur sa chevelure.
Juste car l'embêter devient mon occupation bientôt préféré, et que je ne pense plus trop avec elle, je lui chuchote à l'oreille d'une voix espiègle :
— Tu as prévu quelque chose après, beauté ?
— Tu as pas vu le temps... d'aujourd'hui, là ? Je trouve que il fait-
— Maddy ! la réprimande-je.
— Je vais juste voir un garçon, après. C'est tout, avoue t-elle alors que je lui mets une pichenette sur le nez gentiment.
— Un. Homme, articule-je sous son regard outré.
Elle rigole, ses épaules se secouent légèrement, elle a une façon de rire qui fait naître un sourire sur mes lèvres, petit, mais bien présent.
— Pardon, reine Waller. J'avais oublié à quel point tu détestais les hommes, affirme Maddy alors que je ne contiens pas le petit rire au fond de ma gorge.
— Tu parles beaucoup quand même, mais je dois avouer que t'as retenue ça de moi, remarque-je alors qu'elle hausse ses sourcils blonds foncés.
Alors que nous avançons dans les couloirs de l'université, c'est obligatoire que quelqu'un lui rentre dedans, ma copine tombe sur les fesses, le bruit assourdissant qui se mélangent aux pas des différentes personnes, alors que je me dépêche de prendre sa paume avec la mienne.
— Fais attention ou tu marches, putain ! m'exclame-je devant celle qui l'a bousculé que ce soit sans faire exprès ou non.
Elle n'a pas l'air d'avoir des remords, c'est ce qui me pousse à faire un chignon décoiffé avec mes cheveux bouclés non lissées aujourd'hui, mon amie reste en retrait derrière moi, alors que la fille devant semble me défier.
— Tu sais, me crache t-elle quand cette fille ose me regarder dans les yeux, ce n'est pas parce que tu tiens tête à tout le monde que tout le monde veut être toi.
Un rire cynique s'échappe de ma gorge, avant que je m'approche d'un pas, et qu'elle recule d'un pied rapide, et que mes sourcils se froncent, et je lance :
— Parce que tout le monde ne peut pas être moi, princesse.
Ah cette fois-ci, elle s'en va. Et elle ne manque pas de s'excuser auprès de mon amie qui semble aller mieux. Je ramasse son sac blanc qui est tombée, lui tend alors que Maddy me remercie, et nous nous guidons vers les salles de classes.
Après quelques minutes, je me suis endormi, mes cheveux en désordre éparpillés sur la table, la tête coincée entre mes bras, alors que c'est mon amie qui m'a réveillé en me disant que ce cours était fini.
Je lui ai dis que j'allais sécher, et que Maddy m'a répondu qu'elle préférait rester ici avec les professeurs plutôt que de se faire punir par ses parents de téléphone portable, ou tout simplement d'écrans télévisées.
La boule de chagrin m'est monté à la gorge, et je l'ai envier tellement profondément pour n'avoir que ce genre de punitions totalement ridicule !
J'ai pris le bus pendant au moins une bonne vingtaine de minutes, et j'avais en plus oublié de prendre mon parapluie, autant dire que le bout de tissu qui me reste sur le corps est mouillée.
Et me voilà, en trainant des pieds, pour rentrer chez moi, la peur s'immisce en moi, je ne sais même pas si c'est normal d'avoir peur de rentrer dans sa propre maison. Mais j'ai inspiré, expiré, et je suis rentré.
Mes pas arrivent dans l'îlot de la pièce central de la cuisine, ma génitrice a une mine épuisée, alors que je reconnais la fausse déception dans le visage de mon beau-père qui joue toujours bien cette comédie.
Un verre de vin rouge à la main, elle me foudroie de son regard fatigué, ses lunettes rondes à montures rouge sont délaissés sur la table, une main soutient son menton, alors que des cernes violacées soulignent son visage. Presque pire que les miens.
Une main que mon beau-père glisse derrière son dos recouvert d'une fourrure en laine, je manque de vomir sous cet faussement dramatique que les deux prennent, je renonce à faire la garce pour le moment, et attend ma sentence qui m'a l'air lourde.
Pour ce que j'en ai foutre.
Je pose mon sac par terre dans un élan de courage, et fait un pas de plus vers la table où ma génitrice se trouve de l'autre côté, ma génitrice essuie des larmes sur son visage, mais bizarrement... ça ne me fait rien, au contraire, la voir mal de cette manière autant qu'elle m'a fait du mal depuis que je suis née fait naître un sourire que je masque derrière ma paume.
La manière dont elle était avec papa, j'espère que une grosse mauvaise nouvelle lui ait tombé dessus.
Je la déteste !
— Dis-lui, chéri..., murmure mon beau-père d'une voix douce.
Je sais déjà que la douceur dans sa voix n'annonce rien de bon, son regard manipulateur, pas autant manipulateur que le mien, se dirige discrètement vers moi, d'une main, mon beau-père enlève le verre de vin rouge au bord des lèvres de ma génitrice.
Elle passe une main angoissé sur son visage, je passe une main dans mes cheveux pour voir si ce n'est pas l'état de ma chevelure qui la dérange. Mais ça pas l'air d'être ça. Non, ça a l'air pire.
Alors d'un sourcil interrogateur, je l'interroge de mon regard noir de mes prunelles noisettes qui plongent dans ses pupilles noires et profondes.
Je ravale la glotte dans ma gorge, plante mes ongles dans mes paumes jusqu'à former de la couleur rubis que je cache dans mes poings, masquées de cette manière de leurs regards meurtriers.
— Bon, on va se regarder longtemps comme ça ? Ou vous allez me dire encore une fois que je ne suis pas parfaite et comme vous le souhaitez, et que je ne suis pas celle que vous rêviez que je sois, ouvrez vos bouches, peut être que je comprendrais ? demande-je finalement d'une voix sombre.
Ils ont écarquillés les yeux, alors que j'ai refait un autre pas, ils ont finalement hochés à l'unisson la tête, enfin, ma génitrice s'est baissé par terre, pour ramasser je ne sais quoi.
De toute façon. Ils n'ont pas grand chose à dire, comme d'habitude, à part des remarques.
— Oh, remarque mon beau-père d'une voix vulgaire, t'es vraiment habillé comme une prostituée aujourd'hui.
Je n'attends pas de réaction de ma génitrice, car elle s'en moque, et elle doit certainement être d'accord avec ce qu'il vient d'affirmer. Mais ça m'est égal.
Les avis des hommes ne m'intéressent pas.
— Pourtant, on s'est pas monté en l'air tous ensemble, non ? fulmine-je d'une voix calme et doucereuse.
Le regard de mon beau-père se durcit, alors que le mien fait de même, je croise mes bras contre ma poitrine généreuse, et hausse un sourcil sous l'incompréhension.
— Quoi ? m'offusque-je en jouant avec une mèche bouclé de ma chevelure, tu veux me baiser ? Tu ne penses pas que c'est inapproprié pour un beau-père si... parfait, terminé-je en accentuant bien le dernier mot d'une manière tranchante.
Mon beau-père n'a pas pu répondre, à part bégayer à chaque fois qu'il essayait de se défendre, ma génitrice s'est levée, coiffer ses cheveux en une queue de cheval vulgaire, et pose une boîte sur la table de l'îlot centrale.
Elle n'a pas eu besoin de parler, j'ai compris le message directement. Un rire moqueur s'est échappé de mes cordes vocales, ma main prend la chaise en face de moi, pour m'y installer en croisant mes jambes.
— Qu'est-tu devenu ? demande ma génitrice en commençant à ouvrir la boîte.
— Parce que tu t'en soucies, maintenant ? me moqué-je alors qu'elle me foudroie du regard pour mes paroles.
Elle a renversé le contenue de la boîte sur la table, fatiguée, elle prend encore cet air choqué, alors que je croise mes bras contre ma poitrine une nouvelle fois, et mord si fort ma lèvre inférieure que du sang métallique s'en échappe sans contrôle.
Je n'ai pas le contrôle sur moi-même à cet instant, alors qu'elle énumère ce qu'il se trouve à l'intérieur.
— Des joints, du Xanax, MDMA, GHB, LSD, Tabac, comprimés ou en poudre, Kétamine, Cannabis, Vodka... Je pense que tu sais déjà l'entièreté du contenu vu ce que tu as dû consommer.
En soit, il y a beaucoup plus de drogues et d'alcool que ça, mes yeux s'embuent de larmes, j'ai mal, mal à en crever, mal à en mourir, parce que, c'est vrai, tout ça est à moi, et j'ai consommé beaucoup dans cette foutue boîte ou j'avais absolument tout caché ce qu'elle contenait. Au moins, peut être que mon beau-père arrêtera de me frapper. Mais il n'a pas l'air d'en avoir envie. Je ravale ma glaire dans ma gorge, la boule de chagrin s'incrustant dans mon intestin, et fixe ce contenu vidé sur la table...
Elle se lève de sa chaise dans un bruit assourdissant, la peur s'immisce dans l'entièreté de mes veines, mon corps se crispe, alors qu'elle s'approche de moi et que ma génitrice crie ardemment :
— Putain !? Tu fais quoi ?! Tu te drogues, c'est ça ?l crache t-elle, colérique.
Mes larmes embuent mes joues humides, pour la première fois, je m'autorise à pleurer devant une personne, mon mascara et l'entièreté de mon maquillage s'enlever sous ma peine destructrice.
J'ai tellement mal !
— J'allais te le dire, et de toute façon, qu'est ce que ça peut bien te faire ? Je suis censée te le dire en autres langues ?! Oh et tu voudrais savoir...
Je roule ma langue dans ma bouche, sentant le piercing que je me suis faite percé.
Le visage de ma soi-disante mère se décompose, et je lui crache d'une voix si jouante que ça l'étonne, suite à mes mots lourds, mes larmes me broient la vue, je pleure tellement fort que j'ai l'impression de me sentir vide et si étrange :
— —Je fais même pire, mais tu n'es plus ma mère, tu ne l'es plus depuis que j'ai su tout ce que j'avais à savoir. Tu n'es plus ma mère ! Merde !
Depuis ce putain de jour-là. Tu n'as plus jamais été ma mère, plus jamais.
Sa main claque virilement ma joue qu'elle résonne dans l'entièreté de la pièce, me sonnant rapidement par la suite. J'ai rapidement senti le sang dégouliner de ma bouche, avant qu'elle m'assomme d'un coup de poing brutal qui me fait cracher légèrement du sang. Et je ne pleure plus. Je me tais et j'encaisse, car son mari est bon à faire de même. J'accepte ses coups qui m'envoient des bleues dans le corps. Mais je la regarde tout le long. Je vois... ses yeux, prendre du plaisir alors que mon sourire, presque diabolique quand je lui crie au visage, les joues mouillées auparavant :
— Pourquoi tu t'arrêtes ? Frappe-moi, frappe moi ! Fais moi mal ! Tu ne seras pas la première, continue !
Ces mots me font mal de le dire, la boule qui se coince dans ma gorge alors que les larmes salées prennent de l'allure à arriver vers mes lèvres, ou je passe ma langue sur celles-ci rapidement. Mais elle s'arrête, elle n'ose plus, alors que j'essuie furieusement les larmes qui s'écoulent en sanglots, et bouscule sa silhouette pour remettre tous mes produits dans ma boîte, car je compte bien la garder et continuer de consommer autant.
C'est mon seul remède.
Et je pars en furie dans ma chambre, les larmes déboulants jusqu'au fond de moi, le cœur au bord des lèvres lorsque je claque cette foutue porte que je tourne à double tours, coinçant une chaise sur la poignée en métal.
Je plaque mes paumes sur ma bouche, mes sanglots éternels m'accompagnant. Et tout me ramène à la manière dont mon corps a été utilisée, violée, je sens l'anxiété venir en moi, la douleur et la saleté, furieusement j'arrache ma robe.
Et mes ongles frottent virilement et avec autorité mon corps souillée, que je ne dirais même pas par « mon » épiderme. Car depuis ce jour, j'ai l'impression de ne plus m'appartenir. Et je ne m'appartient plus. Depuis des mois...
Je continue de frotter ma peau, jusqu'à laisser du sang dégouliner, alors que je pince mes lèvres pour m'empêcher de crier, mes ongles continuant d'arracher l'épiderme souillée.
Je connais ce même moyen, toujours ce même moyen d'évacuer la douleur autrement, alors je compte bien le faire.
— — —
Le plus grand bar de Memphis, celui où je me trouve presque inconsciente, l'alcool et la drogue ont eu raison de moi. Tout le monde se trouve ici, des toxicomanes, des psychopathes, des pédophiles, des droguées, des alcooliques, des groupies, des orgies, des relations sexuelles en plein milieu de moi.
J'ai envie de baiser jusqu'à en vomir mes tripes, pour oublier cette saleté sur ma peau, qui continue toujours de me gratter par le même moyen, dans ma tête, et sur mon épiderme moche et souillée, mais je passe ça en continuant les gorgées acides de ce poison qui me brûle la gorge, et ces bouffées et rails de cocaïne que j'entame, des cernes violacées commençant doucement à se tracer, alors que ma vue devient flou, le monde tournant de façon vaseuse, et de manière euphorique.
— Putain, s'exclame mon dealeur dont son visage est caché par une cagoule, qui laisse apercevoir ses yeux verts clairs, t'es défoncée. Faut que tu rentres.
Sa chevelure blonde avec quelques boucles dépassent de son visage masquée, son sourcil rasée au milieu de celui-ci, son sweat noir, ainsi que son jogging gris se trouve à côté de moi.
J'allais lui dire que je ne veux pas, mais une silhouette que je reconnais malgré ma vue totalement folle et désastreuse, la peur s'immisce, mon cœur bat dans mes lèvres, jusqu'à dans mes oreilles, mes poumons deviennent douloureux, les flashbacks par milles se construisant dans ma tête.
C'est un cauchemar.
Ils ne peuvent pas être ici. Je refuse d'y croire.
Un putain de cauchemar.
— S'il te plaît..., réussis-je à articuler d'une voix complètement éméchée, je veux... rentrer.
— Je dois appeler qui ? entendis-je vaguement alors que les anciens souvenirs bousculent de tous les côtés dans mon esprit.
Cauchemar... un cauchemar.
Mes.
Violeurs.
Sont.
Ici.
Le premier qui me vient en tête, je le sors sans même d'hésitation, sous l'angoisse palpitante.
— Pendejo, arrive-je a dire.
— C'est bon, d'accord... tout va bien...
Non.
Au contraire, le cauchemar de ma vie se joue, mais c'est là que je décide de me lever, pour verser dans l'alcool dans des bouches, mes talons qui sont debout sur une table de billard.
Je les foudroie du regard, avant de moi-même boire encore et encore, comme si je n'avais pas assez bu et consommer pleins d'autres merdes, je dois oublier qu'ils sont là. Encore et encore.
____________________
Bonjour !
J'espère que ce chapitre vous a plu (et sorry si j'ai fait pleuré certaines... bon. 😇) Et on se dit à bientôt pour le prochain chapitre !
Prenez soin de vous,
Avec toute ma sincérité et mon amour,
Lola. (ltxmnt.)