Une autre vision

By Amura_Osborne

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A la rue depuis deux ans, Alexander rencontre par hasard le père de sa meilleure amie qui propose immédiateme... More

Chapitre Un
Chapitre Deux
Chapitre Trois
Chapitre Quatre
Chapitre Cinq
Chapitre Six
Chapitre Sept
Chapitre Huit
Chapitre Dix
Chapitre Onze
Chapitre Douze
Chapitre Treize
Chapitre Quatorze
Chapitre Quinze
Chapitre Seize
Chapitre Dix-Sept
Chapitre Dix-Huit
Chapitre Dix-Neuf
Chapitre Vingt
Chapitre Vingt-et-Un
Chapitre Vingt-Deux
Chapitre Vingt-Trois
Chapitre Vingt-Quatre
Chapitre Vingt-Cinq

Chapitre Neuf

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By Amura_Osborne

Alec

Enfin rentré. Foutu jour qui baisse beaucoup trop tôt. Foutu marche que je n'avais pas vu.

Je grogne en déposant mon sac à l'entrée tout en me déchaussant, grimaçant alors que je sens la douleur dans ma cheville. Peanuts m'a visiblement entendu vu qu'elle se dépêche de venir me retrouver à l'entrée, quémandant des caresses que je lui offre de bon cœur.

— Bonsoir ma beauté. Oui, oui, je vais aller te promener. Laisse-moi souffler cinq minutes.

Magnus raccroche son téléphone tout en marchant vers moi, la mine sombre.

— En fait, je l'ai déjà promenée en rentrant du travail. On est rentré il y a seulement vingt minutes.

Dieu merci. Parce que franchement, je ne me sentais pas d'y aller/.

— Oh, merci c'est gentil de ta part. Ça ne va pas ? Il y a un problème ?

— Tout va bien, dit Magnus en m'embrassant brièvement avant de s'éloigner vers les placards de la cuisine et commencer à les faire claquer, visiblement à la recherche de quelque chose.

— Tu as pourtant la tête de quelqu'un qui a un souci, dis-je en m'approchant tout en essayant d'adopter une démarche normale.

Magnus cesse d'ouvrir et fermer les portes, me regarde et demande :

— Pourquoi tu boites ?

— C'est pas grand chose. Je me suis tordu la cheville en tombant. Bon, c'est quoi le problème ?

— Laisse-moi regarder ça, dit Magnus en s'agenouillant près de moi, commençant déjà à relever mon jeans.

Son téléphone sonne à nouveau et il décroche en grognant, met sur haut parleur et dit froidement :

— Je cherche? Bleuen, mais je ne trouve pas alors ..

— Papa, laisse tomber l'argent. Je ..

La voix de Bleuen est complètement détruite et chaotique tandis qu'elle dit :

— Il m'a encore trompé. Je ... je l'ai vu dans ses messages et papa, s'il te plait.

Putain d'Orson.

Je fronce les sourcils en fixant d'abord le téléphone de Magnus, puis Magnus lui-même mais celui-ci ne semble pas me voir, trop concentré entre sa conversation avec sa fille et ma cheville qui a visiblement doublé de volume.

Une belle entorse. Une.

Il se redresse du sol et attrape son téléphone, le portant à son oreille avant de désactiver le haut parleur et de s'éloigner chercher les clefs de sa voiture, me faisant signe de le suivre.

— Tu n'as qu'à le quitter, Bleuen. Ca fait combien de fois que tu m'appelle dans cette ... D'accord, d'accord, ne me crie pas dessus, je suis ton père alors tu te calmes. Ce n'est pas de ma faute si Orson te traite comme de la merde mais écoute moi quand je te dis que c'est un peu de ta faute. Tu le laisses faire ce qu'il veut de toi et ... Bleuen ? Bleuen ? Putain, elle m'a raccroché au nez !

Je me dandine, mal à l'aise tandis que Magnus ouvre la porte de chez lui, me laissant boitiller devant lui.

— Tu as besoin d'une radio et sûrement d'attelles et de béquilles, dit-il sèchement.

— Ok. Je m'en occuperai demain, dis-je aussi sèchement que lui.

— Non, on s'en occupe ce soir. Je t'emmène à l'hôpital. C'est Marie qui travaille cette nuit, je vais lui demander de te faire passer une radio en priorité car je n'ai vraiment pas la foi d'attendre ce soir.

— Je peux me débrouiller seul. Occupe toi de ta fille.

Génial. Ravi de rentrer pour me faire parler comme ça.

Magnus secoue la tête et continue de marcher vers sa voiture plus doucement que d'habitude pour aller à mon rythme. Une fois installé il rappelle sa fille en Bluetooth et celle-ci lui raccroche trois fois au nez avant de répondre :

— Quoi ?

— Raccroche moi encore une fois au nez et je te coupe les vivres, putain !

— Tu me dis que c'est de ma faute et après tu veux que je te réponde !?

— Oui, exactement c'est ce que je veux. Et je n'ai pas dit que c'était de ta faute si ce connard ne peut pas la garder dans son pantalon, seulement que tu te laisses traiter comme ça. Combien de temps ça va durer encore, Bleuen ? Demande Magnus en s'arrêtant à un feu rouge.

— Je l'aime putain, tu peux le comprendre ça ?

— Malheureusement, oui.

Magnus parle plus doucement alors que je tourne mon visage vers lui, le voyant serrer le volant.

— Mais s'il te plait, s'il te plait Bleuen, réfléchis un peu à votre relation. Tromper quelqu'un n'est pas bien, rester avec elle ensuite et lui faire croire que c'est elle le problème, c'est dégueulasse.

— Je sais. Mais c'est plus fort que moi, papa.

Magnus ferme les yeux en tournant à gauche :

— Essaie de rencontrer d'autres personnes. Qui sait peut-être que tu trouveras quelqu'un de bien.

— Comme tu as essayé après maman ? Regarde où ça t'a amené. Tu n'aimes même pas Jonas.

Donc il ne lui a même pas dit qu'il n'était plus avec... Ouais, ça c'est top.

— Je ne suis pas un exemple. Et je ne suis plus avec Jonas, tu le saurais si t'avais répondu à mes appels ces trois derniers jours.

Evidemment. Et si tu l'avais plaqué bien avant ça, aurait évité ça.

— Tu n'es plus avec Jonas ? Mais ? Comment ? Pourquoi, enfin non pas pourquoi ? Quoi que si pourquoi vu que tu disais qu'à ton âge tu cherchais la stabilité au lieu de l'amour.

Magnus me regarde seulement brièvement, me lançant un regard d'excuses.

— Ouais et j'ai aussi dit que j'allais tuer Orson à main nue et je l'ai toujours pas fait. Mais pour te répondre honnêtement, je me suis rendu compte qu'être avec quelqu'un alors que tu n'es pas vraiment avec lui n'est pas bien, encore moins pour Jonas. Maintenant, Bleuen, je ne vais pas te lâcher avec ça et tu le sais, pourquoi avoir planqué des sous dans la maison et pourquoi m'avoir demandé de les retrouver. Tu en as besoin pour faire quoi et tu veux combien ? Je peux te les virer.

— Non. Je... On voulait se faire un week-end en Espagne, dit finalement Bleuen en soupirant.

— On ? Orson et toi ? Claque Magnus

— Oui.

Magnus tape sa tête sur le volant avant de reconcentrer sur la route.

— Tu vas me rendre fou.. Murmure-t-il avant de reprendre plus fortement, premièrement tu ne vas pas aller en Espagne alors que tu as des partiels dans pas longtemps et deuxièmement, explique à Orson ce qu'est la galanterie la prochaine fois, qu'il sache que c'est à ce connard de payer si vous devez voyager.

— De toute façon, c'est mal barré pour voyager maintenant.

— C'est pas plus mal, ma chérie, dit Magnus plus doucement. Tu ne mérites pas ça. Tu mérites mieux alors s'il te plaît, réfléchis-y. Sérieusement. Je suis arrivé à l'hôpital, Alexander s'est foulé la cheville je te rappelle plus tard et répond moi s'il te plait, d'accord ?

— Oui Papa. Et toi, tiens moi au courant des nouvelles de monsieur catastrophe et embrasse-le pour moi, s'il te plait.

— Il t'entend.

Magnus se gare et me regarde, attendant de voir si je veux dire quelque chose.

— Largue le ou je te promets que je viens moi-même lui refaire le portrait et je te ramène au pays par la peau du cul, compris Bleu ?
— Compris Al.

Magnus raccroche, se pince l'arrête du nez et inspire profondément avant de se tourner vers moi.

— Je suis désolé de t'avoir parlé sèchement, Bleuen me rend fou. Et si tu veux aller refaire le portrait de cet enfoiré, je te paye le billet d'avion avec plaisir, dit Magnus en posant une main sur ma cuisse.

Je ris de bon cœur avant de poser ma main sur la sienne.

— Commence déjà par m'embrasser comme l'a si gentiment demandé ta fille. Ça serait un bon début.

— Je ne suis pas sûr qu'elle parlait de ce genre de baiser, dit Magnus en m'envoyant un clin d'œil avant de détacher sa ceinture et se pencher vers moi, posant ses lèvre sur les miennes avec douceur.

Je gémis et contracte mes doigts sur sa main tandis que je sors ma langue et laisse Magnus m'accueillir avec des frissons.

— Allez, allons voir ce qu'à ta cheville.

— Je suis sûr que c'est pas grand chose. C'est bête d'être venu jusque là pour une entorse. Vraiment. J'ai déjà vécu pire dans la rue, tu sais.

— Oui, Alexander malheureusement je sais, répond Magnus avec douleur avant de m'embrasser une dernière fois et déverrouiller la portière.

Nous rentrons dans les urgences et Magnus se fait saluer par tout le monde tandis qu'on nous installe immédiatement dans un box et que le médecin, Marie, vient nous voir. Après m'avoir fait passer une radio, elle explique que je vais devoir porter une attelle et des béquilles pendant deux semaines car c'est une petite entorse. Je hoche la tête, la remercie et laisse Magnus me guider vers la pharmacie de l'hôpital pour prendre le nécessaire tandis qu'il paye. Il m'installe immédiatement l'attelle et règle les béquilles à ma taille tandis que je me sens rougir. Lorsqu'on arrivé sur le parking, je trébuche de nouveau sur un objet qui traine sur le sol et Magnus me rattrape de justesse avant que je ne m'explose littéralement au sol.

— Putain, mais fais attention ! Grogne-t-il.

— Désolé .. Murmuré-je, j'avais pas vu.

Magnus se contente de m'embraser la joue et me guide à travers les allées du parking doucement .

— J'ai l'impression de redevenir le gamin à qui tu mettais des pensements quand je trébuchais, grogné-je une fois installé dans la voiture.

Magnus rit et répond :

— Moi qui croyais que prendre soin de toi serait romantique.

— Me trainer sur ton lieu de travail, me coller des béquilles et m'affubler d'un truc de torture c'est pas romantique, Magnus.

— Je note Alexander, je note. Maintenant, que dirais-tu d'un bon Mcdo à emporter ?

— Bon programme. Par contre, il va falloir que je trouve une solution pour aller au boulot lundi, dis-je en grimaçant.


Heureusement qu'on est en week-end. Ça laisse un peu de temps pour s'organiser.

— Je suis en vacances la semaine prochaine, enfin, en semaine de repos car ils me doivent trop d'heures et que je n'ai pas forcément besoin de plus d'argent ce mois-ci, je pourrais t'emmener et te récupérer. Et pour la semaine d'après, je ne bosse que deux jours en semaines, le reste du temps je serai ton taxi et les deux autres jours, Uber existe pour ça.

— En parlant de rémunération. Maintenant que je vais avoir un salaire, j'aimerais participer au frais, Magnus. C'est important pour moi.

Magnus fait la queue au drive et se tourne vers moi :

— Arrête de dire mon prénom s'il te plait. J'ai l'impression que tu es énervé chaque fois que tu le fais. Et pour les frais, d'accord même si je n'aime pas l'idée. Peut-être que tu pourrais te charger de toutes les courses, que ce soit pour Peanuts et nous ? Car il est hors de question que tu participes financièrement à l'eau, l'électricité, internet, aux assurances ou même au prêt de la maison. Les courses, c'est la seule chose que je peux te proposer.

— Pourquoi je ne pourrais pas participer aux factures ? Et si tu ne veux pas que je t'appelle par ton prénom, tu veux que je t'appelle comment ?

Magnus sourit de façon malsaine, ce qui me fait sourire également.

— Parce que, je n'aime pas ça. J'aurais l'impression de profiter de toi. Et, innove, Chéri, dit-il avec un rire. Après tout, on est ensemble maintenant.

Il ouvre la vitre de la voiture et passe sa commande, puis je passe la mienne tandis qu'il referme et se tourne vers moi, une lueur joueuse dans les yeux.

— Tu nous as accueilli Peanuts et moi sans rien demander pendant plus de deux mois, c'est normal que je participe ! Ta facture d'eau et d'électricité a augmenté à cause de ça.

— Les courses ou rien, à toi de voir.

— T'es vraiment chiant, crétin.

— J'aurais peut-être dû préciser d'innover avec un surnom affectueux, rit Magnus en faisant remonter la main qu'il a posée sur ma cuisse doucement sur mon jeans.

Crétin d'allumeur ouais. Ca c'est affectif.

Je me contente de rouler des yeux avant de poser ma main sur la sienne pour l'immobiliser.

— Va pour les courses alors.

Magnus bat des cils, plus que nécessaire puis se penche vers moi pour m'embrasser juste avant de se faire klaxonner car la queue devant nous a avancé. Il râle mais avance jusqu'au paiement, règle et avance ensuite pour récupérer notre commande, la posant sur le siège arrière.

— Tu sais, Alexander, dit Magnus sur le ton de la discussion, ne me préparant absolument pas à ce qu'il va dire. J'ai vraiment très envie de toi.

Waouh. Alors là, pour le romantisme, on repassera.

— Ouais, j'avais cru comprendre vu que t'as la main baladeuse ce soir.

— Et encore, je n'ai rien fait, dit-il avec un clin d'œil.

On rentre et on mange rapidement avant que ça ne soit trop froid tandis que Magnus débarrasse et que je caresse Peanuts, tout en l'observant.

— Est-ce que tu veux un anti douleur pour ta cheville ? Demande-t-il après s'être lavé les mains, les passant dans mes cheveux alors qu'il se poste devant moi.

— Je veux bien, s'il te plait.

Magnus se dépêche d'aller chercher un médicament et revient avec un verre d'eau. Il propose de m'aider à prendre ma douche mais je refuse et y vais seul, même si je galère à ne pas glisser une fois dans la cabine de douche. Je le rejoins ensuite dans sa chambre où il raccroche avec sa fille tandis qu'il est sur son ordinateur et me demande :

— Tu connais les ventes privées ?

— Heu ?

Très éloquent Alec. Vraiment.

Magnus rit et tapote le lit à côté de lui pour que je vienne m'y asseoir. Je dépose mes béquilles sur le mur et boitille jusqu'au lit tandis que Magnus se décale pour me faire de la place et dépose une main sur ma cuisse, tournant l'ordinateur vers moi.

— Regarde ce chalet en montagne, Peanuts adorerait et ce n'est qu'à deux heures d'ici. Je me disais qu'on pourrait se faire un petit weekend juste avant que Bleuen rentre à la maison et juste après que ta cheville aille mieux.

— Donc tu es en train d'essayer de me prouver que tu es romantique ? dis-je taquin.

Magnus rigole fortement avant de poser son ordinateur, m'attraper par les hanches et me faire tomber sur le lit tandis que ses lunettes, qu'il porte seulement quand il est fatigué, tombe sur son nez. Je grogne face au mouvement brusque sur ma cheville tandis qu'il m'embrasse en s'excusant contre mes lèvres et dit, tout en dérivant vers mon cou.

— Non. J'ai eu la proposition sur ma boite mail et je me suis dis qu'on pourrait passer un super weekend avec Peanuts là-bas. A toi de voir si l'idée te tente, Alexander.

— Est-ce que je t'ai déjà dit que j'adore quand tu utilises mon prénom en entier ? dis-je en murmurant.

— Non, Alexander, mais je note.

Magnus remonte sur ma bouche pour m'embrasser et laisser ses mains dériver sur mon torse, passant immédiatement ses doigts sous le tissu de mon pyjama, voulant avoir accès à ma peau. Je soupire doucement, me laissant faire, appréciant simplement l'instant.

— Pour le Week-end je suis partant seulement si c'est moi qui le paye avec ma première paie.

Magnus cesse tout mouvement, me sondant du regard. Finalement, il lâche un soupir vaincu et se remet sur le côté du lit, attrapant de nouveau son ordinateur.

— T'es dur en affaire. Je vais réserver, tu me rembourseras quand tu seras payer.

Je sens que les paroles lui écorches la gorge mais répond seulement :

— D'accord, Pumpkin, ça me va.

— Je suis donc une citrouille, rit Magnus en réservant se servant de son téléphone pour le faire, sûrement car sa carte bleue est enregistrée dessus.

— Tu voulais que j'innove, dis-je innocemment.

Magnus jette les appareils électronique sur le côté avec ses lunettes, que je trouve tellement sexy quand elle sont sur son nez, et se jette sur moi, mettant ses cuisses de part et d'autre de mon torse.

— Tu joues avec moi.

— Oses me dire que tu n'aimes pas ça.

— Putain, au contraire, j'adore ça.

J'éclate de rire aux paroles de Magnus alors que mes mains trouvent ses hanches. Mon regard dans le sien, je lui offre un sourire heureux.

— Jamais le gamin de quinze ans que j'étais n'aurait pu ne serait-ce qu'espérer t'avoir auprès de lui de cette façon. Je me sens tellement chanceux.

Magnus lance un sourire doux, un rare, qui fait battre mon cœur plus rapidement.

— Embrasse moi, Alexander. T'entendre parler alors que tes jolies lèvres sont justes en face de moi est une torture.

— Une torture, carrément ?

— Ouais.

Magnus se penche pour combler l'espace entre nous et très vite, je sens son érection contre mon torse tandis que sa langue devient plus exigeante dans ma bouche et que le toucher de ses mains s'intensifient, me rendant pantelant. 

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