Mensonge
Alex roula sur le côté en voyant la bête sauter sur lui. <<ne trichez pas!!>> cria-t-il à la bête, mais celle-ci repris son assaut. Il se mît alors à courir à en perdre le souffle, sans arrêter de crier le nom de son bien aimer. Il passa derrière le manoir et entra dans les jardin. Il grimpa sur les vieilles vignes en priant pour qu'elle tienne le coup. Arrivé à une fenêtre, il frappa à celle-ci. Il finit par tirer dessus et l'ouvrir. Le chasser se faufila à l'intérieur. Il regarda au tour, aucun sons. Il marcha lentement dans les corridors du vieux manoir. Il aperçût une porte entre-ouverte et si approcha. Il l'ouvrit tranquillement et regarda à l'intérieur. C'était une chambre, d'adolescent. Pourquoi le manoir était-il vide? Il fouilla la chambre et trouva un livre vert sur le bureau. Il l'ouvrit à la première page.
Cela fait quelques jours que je côtoie Alexander Volter. Il est tellement...wow. Ce garçon me fait me sentir si spécial. Malheureusement, mon père me force à être avec Amélie duchêne. J'espère que mes sentiments, pour lui, son les mêmes.
Alexander sourit en lisant le texte. Il déposa le livre sur le bureau et quitta la chambre. Make l'aimait vraiment. Il descendit les marches et vue Make assit sur une chaise, sa famille a ces côtés.
-j'ai survécu! Déclara le jeune blond.
-je sais mon amour...mais...
-mais?!
-je suis désoler...
-de quoi tu parle?!
-au revoir Alex...
Alex regarda le garçon face à lui, James souriait malicieusement. Il ravala ses larmes et quitta le manoir en claquant la porte. Tous sa pour rien, autant mourir. Il marcha plusieurs heures sous le lever du soleil, avant d'arriver devant chez lui. Il entra et se glissa dans la chambre avant de s'effondrer sur son lit. Les larmes coulaient à flot, il aimait Make. Se n'était pas un amour d'ados, il le sentait, c'était du vrai amour. Son père avait mentit et sûrement manipuler Make. Il se mît en boule dans son lit et se cacha sous les couvertures. Il serra son oreiller dans ses bras en pleurant toute les larmes de son corps. Telle une déchirure, la tristesse le prenait. Il ne réussi pas à dormir. Il resta là à regarder le plafond, alors que les larmes coulaient dans un silence presque mortel. Son téléphone le tira de ses pensée destructive. Il regarda l'afficheur de celui qui l'appelait. Un " mon amour " était inscrit au dessus du bouton "raccrocher" et "répondre".