Je vous ai mis le média, avec lequel vous allez lire le chapitre, si vous avez "Infinity" des One Direction, dans votre playlist, utilisez la, c'est comme vous voulez, ça donne plus de CHARME au chapitre.
Ily all.
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Moi : Promets-moi de ne pas t'énerver.
Il baissa les yeux, cela sera presque la pire chose qui pourrait entendre.
J'aurai du m'en douter, nom de Dieu.
La peur s'installa dans son regard et je pus apercevoir ses pupilles se dilater légèrement.
Zayn : Tu me fais peur, Cœur.
Il y'a de quoi.
Moi : Ils n'ont pas su comment enlever le bracelet, et-
Il fronça les sourcils.
Zayn : Qui ça eux ?
Moi : Les hommes d'Aysen.
Il hocha la tête.
Moi : Et donc..
Il cherche mon regard.
Zayn : Et donc ?
Une boule se forma dans ma gorge, je levai lentement mon bras pour le lui montrer, il se figea.
Ses yeux étaient à la limite de sortir de leurs orbites, il blanchit d'un coup, et cligna les yeux plusieurs fois, pour s'assurer qu'il n'était pas entrain de rêver, sa bouche s'entrouvrit lègérement, dû au choc, il ne pouvait pas parler, il avait eut la même réaction de Niall.
Zayn : J-je vais les tuer.
Il se leva au tac à tac, mais je le tirais par l'autre main assez fortement pour qu'il puisse s'assoir.
Je bégaye, toujours déboussolée par son choque.
Moi : N-niall s'en est déjà occupé.
Il hurla.
Zayn : J'AI DIT, JE VEUX LES TUER !
Il me faisait réellement peur là, ses mains tremblaient, et on pouvait remarquablement voir dans son regard, son envie de ne pas croire à ce qu'il venait de voir.
Zayn : C'est à cause de lui putain de merde ! C'est à cause de Niall !
Quoi ?
Il se leva, aveuglé, et décidé de s'en prendre à Niall.
Zayn : Je vais le tuer.
J'ouvris grand les yeux, non, il ne pouvait pas faire ça.
Je me levais en m'infligeant une douleur indescriptible dans mon bas ventre, qui traversa rapidement l'entièreté de mon corp pour s'installer sur mes chevilles, je grimaçais puis sautais littéralement sur lui, avant qu'il ne puisse faire un pas.
Nous tombâmes tout les deux à la renverse, et comme je suis petite de taille, ma tête cogna durement contre son torse, je m'arrêtais une seconde, puis déposais ma main, et ma tête sur son cœur, il ne bougeait pas.
Mais son cœur battait fort, extrêmement fort.
Moi : S'il te plaît, calme toi.
Sa respiration désordonnée et saccadée, me montra son point d'énervement, il ne sait rien à propos de moi et Niall.
Je déposais lentement ma tête une seconde fois sur son torse, jusqu'à ce que je sente sa respiration reprendre son rythme régulier.
Moi : Relève moi.
Il ne répondit pas, au lieu de ça, il se contenta de poser ses mains sous mes bras, tel un bébé, il me releva, et s'assit à côté de moi, en enfouillant sa tête dans ses mains, et pendant une seconde, j'aurai juré avoir vu l'ombre d'une larme.
Je posais ma main sur sa jambe, il frissona à mon toucher, je le prit immédiatement dans mes bras, en le serrant fort, je murmurais dans son cou.
Moi : Il faut.. que tu sache quelque chose.
Il se crispa sous moi, je pris une grande respiration.
Moi : E-coute, ce que je m'apprête à dire pourra te blesser pendant le restant de tes jours, mais je t'en supplie, je t'en prie, ne m'en veut pas.
Zayn me devisagea, un regard vide mais une minuscule lueur d'inquiétude dans ses yeux.
Je n'arrivais pas à avaler, putain est-ce si dur de lui dire ?
"Il faudra bien le lui dire un jour pourtant."
Je ne voudrai pas le blesser.
Moi : Niall.. Niall est..
Je tournais la tête.
Zayn : Cœur, tu me fais peur, qu'est ce qu'il y'a encore ?
Je soufflais, prenant mon courage à deux main, et je m'apprêtais déclarer, les yeux rivés sur la table basse, jusqu'à ce que je le sente, une seconde fois, hoqueter de surprise.
Zayn : Oh mon d-dieu.
Je pivotais la tête vers lui, je n'avais encore rien dit, comment pourrait-t-il savoir ?
Ses mains se placèrent sur ses cheveux pour les tirer violement.
Zayn : T-ton âme sœur ?
Merde.
Il faisait de petits va et viens sur la place où il était assit, montrant exagérément son extrême nervosité, je pensais même qu'il était entrain de vivre un putain de choc.
Je me sentais énormément coupable, je me sentais coupable à un point inimaginable.
Ses mains se fixèrent sur son bras droit pour relever doucement sa manche, et ce que je vis me fit écarquiller les yeux et me marquera sûrement pour le restant de mes jours.
Zayn : JE CROYAIS QUE C'ÉTAIT TOI ! Putain je croyais que c'était toi ma putain de moitié divine ! Je croyais que personne ne pouvait aimer quelqu'un comme moi je t'aime !
Il hurlait, mais je restais intacte, ce qu'il y'avait sur son bras m'avait choqué.
Il y'avait le tatouage du signe de Ying Yang, à côté d'un cœur noir.
Je levais le regard vers lui, et ce que je vis me brisa le cœur en un millier de petits morceaux.
Un larme s'était formée sur le coin de son œil, et s'apprêtait à tomber dans n'importe quel moment, il l'effaca rapidement, ne voulant guerre montrer sa faiblesse.
Je détournais à présent le regard, ne voulant pas en voir plus, une grimace s'était contruite sur mon visage, reflétant le dégoût que je ressentais envers moi même.
Zayn : VOTRE PUTAIN DE LIEN EST NÉGATIF !
Je pressais les lèvres.
Ses oreilles étaient devenues rouges, et ses yeux devinrent noirs, comme toxiques.
Zayn : TU SOUFFRIRAS TOUTE TA VIE CŒUR, TOUTE TA PUTAIN DE VIE !
Je mordis ma lèvre, et chuchotais en posant ma main sur son épaule.
Moi : Calme toi Zayn, je t'en conjure, je ne peux plus te voir comme ça.
Suite à mes paroles, ses gestes deviennent moins brutaux, mais ses larmes ne s'arrêtèrent pas pour autant, c'était la première fois de ma vie que je voyais Zayn comme ça, il était brisé, et ca se voyait, il n'avait jamais pleuré, il était anéanti, il était triste, et ça, je ne pourrais jamais, au grand jamais me le pardonner.
Zayn : Tu es une putain de salope de l'aimer.
Je me figeai, suite à ses paroles blessantes, je retirais ma main, et lui repondis, ma voix vrilla à la fin, brisée, enfin tout ce que vous voulez.
Moi : Le sentiment amoureux ne se décide pas, qui voudrait tomber amoureux de son violeur, hein ? Réponds moi.
Il resta silencieux, pendant que je vidais mon cœur, il n'est pas le seul à avoir souffert.
Moi : L'amour frappe n'importe qui, et parfois, ça peut être magnifique.
Je me retournais pour le voir, il était dans le même état, son visage dans ses mains, rouge, et ses yeux sombres, il était fixé, immobile.
À première vu, on aurait dit qu'il et mort, mais le tremblement de son monton montrait le contraire.
Zayn : Je t'aime Cœur.
Je gardais les yeux baissés.
Zayn : Jamais je n'aurais cru pouvoir aimer autant.
Il ria nerveusement, le son de son rire ne faisait qu'amplifier, couche après couche, mon sentiment de culpabilité, qui ne cessait de s'accroître, anéantissant mon cœur, pouce par pouce.
Zayn : Lorsque tu m'a avoué que tu ne m'aimais pas, que mes sentiments ne seront jamais réciproque, mon cœur à implosé, il n'a pas fait de bruits, pourtant il a fait énormément de dégâts, tu n'imagines pas comme ça a été dur, tu sais c'est long de guérir un cœur brisé, ça prend du temps et c'est douloureux, mais toi, tu ne dois pas connaître ça, sous tes apparence d'ange, tu es plus un démon, tu es une putain de briseuse de cœur.
Il se tut, pour chuchoter cette fois-ci, doucement.
Zayn : La preuve, tu as anéanti le mien.
..
"Elles attendent le prince charmant, ce concept publicitaire qui fabrique des déçues, des futures vielles femmes, des aigris en quête d'absolu, alors que seul un homme imparfait peut les rendre heureuses." - Zayn Jawaad Malik.
À suivre..