Point de vue d'Amara
1 mois avant qu'elle soit au courant du mariage.
Comme tous les matins, j'étais en retard ! Ma bonne, Amanda, m'ouvrit les rideaux d'un coup sec se qui me fis terriblement mal au yeux, mais il le fallait, il fallait que je me lève. Alors elle me prit par le bras, et me tira hors du lit. Je déambulais et ressemblais fortement à un mort vivant, je n'étais absolument pas du matin.
Pendant qu'Amanda, me prépara l'uniforme de mon lycée, je commençais à me rincer le visage avec de l'eau de rose, cela me réveillais un peu, j'ai bien dis un peu !
A peine quelques secondes plus tard mes yeux commençaient à se fermer, quand ma servante parla :
-Allez, Allez Amara, c'est le jour de la rentrée, réveille toi, tu n'aurais pas du traîner hier ! Hurla Amanda
- Hein .... euh ..... oui oui ...... c'était bien hier .....
- AMARA !
Je n'ai même pas eu le temps de répondre, en un rien de geste, elle m'avait ôtée ma chemise de nuit préfèrée , vous savez pourquoi ? Parce que y'avais une licorne dessus !!
Puis elle me metta mon polo, ainsi que ma jupe de couleur rouge et blanc. Ceci était l'uniforme de mon lycée, et c'était tout à fait répugnant. Après mainte et mainte reprise d'avoir essayée de supplier le proviseur de ne pas le porter, il accepta.
Mais non bien sûr que non, il n'accepta pas, mais comme je suis la fille du président, il me laissa choisir de le réajuster un peu. Je crois qu'il sera surpris de la signification du mot " un peu " pour moi !
Alors à l'aide, de Bervely, ma couturière, celle qui me crée mes robe de soirée, mes jeans, mes chandails.... je le réajusta UN PEU ......
Ma jupe était juste horrible : elle était évasée mais évasée horriblement, et elle m'arrivait en dessous du genou. Je la coupa donc. Celle-ci était maintenant plus courte. Elle m'arrive beaucoup au dessus du genou sans être non plus au ras des fesses donc ce n'était pas vulgaire mais plutôt classe. Et maintenant était droite et non évasée. Ce qui moulait légèrement mon fessier. C'était super quoi !!
Pour le haut c'était encore bien pire, c'était un polo en coton mais pas n'importe lequel, un bon gros coton bien épais. Les manches étaient trop longue, ainsi que le polo en lui même. Et le pire dans tous sa, il était à col roulé, cela me démangeait de partout !
Alors je demanda à Bervely de me l'ajuster à ma taille, de couper les manches ainsi que le col roulé. Mais ce n'était pas encore assez, alors je lui demanda de faire un decoltée mais pas trop plongeant. Tout de même on pouvait appercevoir la naissance de mes seins.
Je n'aimais pas trop que tous les regards soient sur moi. Moi Amara Stones, j'aime plaire, sans pour autant être accessible aux autres.
Ensuite Amanda me fit assoir sur le tabouret face à ma grande et somptueuse coiffeuse blanche. Elle était ornée de plusieurs lumières rose ainsi qu'un tas de pinceaux, palettes, rouges à lèvre ou bien encore fonds de teint.
Ma bonne se plaça devant moi, elle me mit de la crème, puis une légère couche de fond de teint. Ensuite elle pris le mascara noir " effet volume extrême ". Pendant qu'elle me l'appliquait, je l'observais : c'était une femme dans la trentaine. Elle était juste magnifique. Ses traits fin fessaient ressortir ses pommettes, ses grands yeux bleu en amande ainsi que ses lèvres pulpeuses la rendaient irrésistible.
Elle était vêtu d'une simple robe noir et blanche comme l'indiquaient bien évidemment les règles de la Maison Rose. C'est vrai que j'en étais un peu dans le nom de ce palace. Au États Unis, la demeure du président était la Maison Blanche. Ainsi moi adorant le rose, durant mon plus jeune âge, chaque matins, chaque soirs, dès que je voyais le visage de mon père, je le suppliait de prénommée notre demeure comme sa. Pour lui s'en était hors de question. Mais marre de m'entendre geindre midi et soir, il la renomma " la Maison Rose ". Maintenant je trouve sa un peu gamin mais cela me rappelle ma jeunesse quand j'étais innocente et souriante.
Je me rappelais de ce jour comme si c'était hier, j'étais tellement heureuse ainsi me disant avoir tout gagnée, je tenta le tout pour le tout et demanda à mon père en lui fessant les yeux doux s'il pouvait m'acheter une licorne. Je me rappelais bien de cette scène, mon père se prit d'un fou rire mais en me voyant, on peut plus sérieuse, il s'était tu, et fessait place à de la gêne en fessant les cents pas. Puis il m'expliqua que les licornes n'étaient pas réelles mais que néanmoins, il pouvait m'acheter un poney. J'étais totalement sous le choc, mais je ne le croyais pas, les licornes existent belles et biens pour autant. Mais s'il ne pouvait pas m'en trouver une tans pis. Je n'allais pas faire la petite peste capricieuse et j'accepta donc volontiers le poney.
Maintenant, 10 ans plus tard, Lila était devenue une belle jument à la crinière noir.
Et j'étais contente de pouvoir de temps à autres galoper avec elle.
La voix d'Amanda me fit sursauter ce qui me fis revenir à la triste réalité.
- Tu es parfaite ma chérie, il ne te reste plus qu'à manger et te laver les dents sans pour autant enlever ton maquillage !
- Bien sur, dis-je dans un soupir.
- Ne t'endors pas pendant mon absence, je sais que tu en es capable ! S'exclama t'elle.
J'hochai la tête, et quand celle-ci s'apprêtait à partir je la retenais par le bras, bien que son poignet était plus proche mais je ne pouvais pas le prendre, non son bras suffit ...
Amanda ..... franchement merci pour tout, tout ce que a tu fais et que tu fais pour moi, je t'en suis .... extremement reconnaissante et je ....... t'aime beaucoup.
Elle resta bouche bée, bien qu'Amanda n'était pas ma mère, je ne la considérait pas moins pour autant. Elle prit enfin la parole.
- Ohhh Ama' , moi aussi je t'aime ma puce !
Elle me prit dans ses bras et s'en alla me laissant me préparer. Toute la nuit, je m'étais gavée de confiserie, glace ainsi que de mousse au chocolat. Là, je n'avais pas spécifiquement faim, bien qu'un peu mais j'avais le devoir de garder la ligne. Alors je ne mangea pas. J'alla donc dans la salle d'eau, et pris ma brosse à dent électrique et me brossa les dent à l'aide du charbon que m'avait apporté mon père, pour me rendre les dents toutes blanches.
Enfin prête, mon Agent de sécurité, ou bien si vous préférez, mon garde du corps m'obligea à monter dans la grande limousine noire où l'on pouvait bien y accueillir tout un régiment. Je ne voulais pas que dès la rentrée, attirer le regard des lycéens par mon argent mais par moi : Amara, une jeune fille simple.
Je monta dans ce moyen de transport par la porte grâce à Connor, mon agent de sécurité.
Je n'avais que très peu de temps et avais réfléchis à ce plan plus d'une fois. Pendant qu'il marcha pour arriver à la place de conducteur, je devais faire le triple de pas en plus pour arriver au coffre et ensuite m'en échapper.
Alors à toute allure je dévalais la limousine telle une furie, je marcha sur les canapés rouge, flamboyant, installé, renversa quelques vases qui coûtaient une fortune mais m'en moquais. Je n'étais plus qu'à 5 mètres du coffre, quand la limousine démarra.
Je me précipita donc vers celui-ci qui était entrouvert grâce à moi, car auparavant, j'y avais calé une fourchette ! J'ouvris le coffre. La limousine roulait déjà à une vitesse folle. Au moins 60 km/h. Malheureusement j'étais bien décidée à sauter. Alors c'est ce que je fis.
J'atterisa lourdement au sol mais protégea mon visage avec mon sac à main Guess, que j'avais entourée auparavant d'un sac plastique.
Ce plan aurait été juste parfait si la voiture aurais démarrée ne serait ce que 20 secondes plus tard.
Je me releva avec un peu de difficulté sur le regard choqué des habitants. Mais aucun d'eux n'osaient m'adresser la parole. Je réajusta ma jupe et inspecta si j'étais présentable.
Je remis mes cheveux broussaillées en place et la, qu'elle horreur ! Mon haut était troué fessant apercevoir mon haut de sous vêtement.
Les cours commençaient dans 15 minutes et Connor s'appercevra que je n'étais plus la, d'ici 10 minutes car je lui avais demandé de passer par Paris. Cela fesait un immense détour mais il ne posa aucune question, et devait s'exécuter. Alors bien que mon polo était troué, je couru sur le trottoir comme une déjantée. J'étais bien à 1 km de mon lycée.
J'avais eu le temps de réfléchir pendant mon petit footing !! Pensais-je sarcastiquement.
Je n'avais qu'a aller au toilette et à me changer. Je savais que sauter d'une voiture n'étais pas si simple, alors j'avais prévu ce cas et avais emmenée un change.
Je marchais de plus en plus vite et arriva enfin devant " La Léonarde " mon lycée. Je croisa les bras contre ma poitrine et rentra dans l'enceinte de mon école.
Comme tous les jours de l'Année dernière, des tas de personnes venaient me parler, essayaient d'être gentil avec moi étant la fille la plus populaire du lycée sans l'être à la fois, c'était compliqué. Tout en cachant le troue dans mon polo bien évidemment, je leur répondais brièvement.
Je n'aimais aucun d'entre eux. Ah si, une seule personne ma meilleure amie.
Soudainement je sentis des bras entourés mes épaules, tiens quand on parle du loup la voila : Ava , mon amie que je connais depuis mon enfance. Celle-ci était brune, les traits de son visages étaient extrêmement fins. Ce qui la rendait sublime. Ses iris qui me regardais d'un air joviale était d'une couleur peu commune : vert très très clair voir presque blanc ! Enfin, elle décida de me faire un grand sourire et m'adressa la parole :
- Alors Ama' prête pour la rentré ? Dit elle tout sourire.
Je ne pus m'empêcher de lui sourir en échange
- Oui ! Mais excuse moi j'ai eu un petit contre temps et mon polo c'est déchiré.
- J'ai bien remarqué, comme tout ton uniforme me dit elle pour rigoler car j'avais beaucoup réajuster enfin couper les bouts de tissus.
- Ava, dis je en fessant la moue.
- Mais Amara bien sûr que tu es magnifique, tu es juste sublime me dit-elle.
- Merci, bien que toi tu n'a pas touchée à ton uniforme, il te va à ravir ! M'exclamais-je sincèrement.
- Merci tu es un amour dit-elle tout en me fesant un bisous sur la joue.
- Bien maintenant trêve de plaisanterie il faut que j'aille aux toilettes me changer !
- Je t'accompagne ! Acquiesça t-elle.
Ava savait se que j'avais fais : sauter de la voiture, tout simplement m'échapper de Connor mais ne disa pas un mot. Elle savait que je détestais parler de sa, de la richesse et de tout se trablabla.
Nous étions toutes deux arrivées devant les toilettes quand la sonnerie annonçant le début des cours retentit. Ava était obligée d'être à l'heure du fais de ces parents. Elle me regardais alors paniqué, le choix de m'attendre et être un peu en retard ou bien d'y aller :
- Mes cours sont tout au bou ........
- Vasy, je m'en sortirais toute seule de t'inquiètes pas, la coupe ai- je.
- Merci a tout à l'heure me dit-elle reconnaissante.
Je la regardais partir mais il fallait bien que je me bouge le cul aussi ! J'allais être en retard mais il ne fallait pas que j'empire mon cas.
J'entra donc dans les toilettes des filles et commença à déboutonner mon polo ne prenant même pas le temps de fermer la porte à clé.
Je mis mon haut dans mon sac et ressortit l'autre.
Quand soudainement, la porte s'ouvrit. BORDEL c'était des toilettes réservées aux FILLES !
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Voila mon premier chapitre et j'espère qu'il vous a plus ! J'essayerais de poster un chapitre par semaine. Juste si vous n'avez pas compris la c'est un mois avant qu'elle soit au courant pour le mariage.
KISSSS
ALIX ✌🏼