chroniques africaines

By FideliaDago

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Une rédactrice du nom de AME OCÉANE CODJIA publie des histoires sur Facebook et moi je les partage avec vous... More

ELLE AVAIT LE SIDA ET ILS VENAIENT TOUS DE PARTOUZER AVEC ELLE SANS PRESERVATIF
DE DOMESTIQUE A LA FEMME DU PATRON
L'erreur qui a brisé mon foyer
J'ai tout perdu 😞
LE CADEAU D'ANNIVERSAIRE
Un demon au visage d'ange
COMMENT J'AI PERDU LA FEMME QUE J'AIMAIS ? COMMENT J'AI DETRUIT MA RELATION?
ELLE M'A ATTRIBUE LA GROSSESSE DE SON COUSIN
C'EST APRES SON DECES QUE J'AI DECOUVERT POURQUOI AUCUN HOMME NE VOULAIT DE MOI
COMMENT JE ME SUIS RETROUVEE HORS DU MARIAGE
COMMENT JE N'AI JAMAIS ETE LE PERE DE MA FILLE ?

le pacte de sang

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By FideliaDago

LE PACTE DE SANG QUI LES A EMPORTE TOUS LES DEUX. A LA VIE A LA MORT.

Ne le faites pour aucune raison.JAMAIS.

Bonjour chers lecteurs. Je me nomme Etienne et cette histoire est celle de mon défunt frère Paul et de sa défunte copine Désirée.
Je suis peut-être le seul de la famille à en connaître la réelle existence car cette épisode n'avait jamais été relatée à qui que ce soit avant ni après moi. J'en avais eu vent lorsque l'heure avait sonné pour mon frère de mourir. Cette dernière confession je vais vous la donner en espérant qu'elle exhorte les jeunes à plus de prise conscience et d'objectivité.

Paul et moi sommes deux fils de deux mères différentes. Notre père l'avait eu en premier avec sa première épouse, une togolaise magnifique et grande de cœur, qui le quittera quelques années plus tard à cause de ses interminables infidélités. Papa est un chaud gars, et c'était au cours de l'une de ses folles et chaudes virées qu'il a rencontré ma mère, une antillaise. Ma mère nous éduquera tous deux Paul et moi lorsque papa décidera sur un coup de tête de le récupérer pour ses études. Il le fera venir chez nous en France et commencera ainsi une superbe fraternité entre mon frère et moi.
Paul était un jeune homme calme de nature. A la différence de moi, il prenait ses études très au sérieux, je me disais même des fois qu'il le faisait pour contenter sa mère restée au Togo. Moi j'étais le bad boy, celui pour qui les parents s'inquiétaient le plus. Papa disait à maman que son fils deviendrait à cette allure un bon à rien et il avait raison, je n'avais pas encore 17 ans mais je pouvais décrire avec exactitude toutes les liqueurs qui existaient. J'étais un vrai cas et je dois le reconnaitre.

A nos majorités, Paul 23 et moi 20, il commença une relation avec sublime fille pendant nos vacances au Togo. C'était ma toute première fois de poser le pied sur le sol africain et j'étais trop fière de pouvoir faire du charmes aux filles, encore que sincèrement les togolaises avaient ce petit quelque chose mignonne et attirante qui me mettait les sens en feu. Ah elles étaient toutes belles. Magnifiques avec de belles formes et elles aimaient les métis alors j'avais gagné la partie au trois-quarts. Paul me demandait d'en choisir une pour faire sérieux. Il parlait pour lui, moi j'étais décidé à écrire mon histoire du premier métis explorateur de la gente féminine africaine. Il ne pouvait pas me freiner.Mais Paul avait sa petite amie, la togolaise dont je vous parlais plus haut et qu'il avait connu à l'école avant son départ pour la France. Une superbe jeune fille aux courbes imposantes. Elle était sacrément belle, et je trouvais mon frère très hypocrite et de mauvaise foi lorsqu'il essayait de me convaincre de n'avoir qu'une seule copine. Sa petite-amie faisait à elle seule 15 à 20 de mes filles tellement elle était canon. C'était vraiment une beauté divine et le pic elle gardait toujours ses cheveux naturels dans le style afro. Sincèrement Paul avait de la chance de l'avoir.
Ces vacances furent les plus intenses, en tout cas pour moi j'avais fait le plein d'énergie pour reprendre les cours une fois rentré. Mais j'avais remarqué que mon frère était très anxieux et plutôt perplexe. Il n'était pas bien dans sa peau. Quelque chose le dérangeait mais mon frère était du style solitaire il ne se plaignait jamais. Il avait une si forte personnalité.
Un jour, je les entendis se chamailler Désirée et lui. C'était la toute première fois que je les voyais s'engueuler et elle s'essuyait le visage, elle pleurait. Quelques temps après j'entendis fermer le portail et je compris qu'elle s'en était allée. Je me rendis dans la chambre de Paul. Il était assis sur le lit.

- Frangin, tu vas bien ? J'ai vu Désirée sortir comme une furie, un problème ?
- C'est rien t'inquiète frérot. Une petite engueulade d'amoureux.
- Bah tu vois maintenant en quoi c'est cool de pas se prendre la tête à avoir une titulaire non ?
- Tu racontes n'importe quoi gamin.
- Je sors, tu viens prendre un pot avec ton frère ?
- Attends je prends ma chemise et on y va, j'avais besoin de prendre de l'air de toute façon.

Paul ne me racontera pas l'objet de sa dispute avec sa copine mais je sentais que c'était grave car il angoissait vraiment. Mon frère était un homme fidèle, il ne pouvait aimer deux personnes à la fois, cette fille avait vraiment de la chance, Paul était un saint sans abus. Ce soir-là je vis une fille dont le postérieur me fascina et que j'eus envie de connaitre de suite. Agacé par mon comportement de prédateur, Paul nous imposa de rentrer. Je perdis ainsi ma cible, un vrai hippopotame...
Plus notre départ était proche et plus mon frère ne tenait pas en place. Il refusait de nous parler à sa mère et moi et nous ne pouvions rien d'autre que respecter ses choix.
La veille de notre départ, Paul sortir toute la journée et ne rentrera que tard dans la nuit, une main bandée.
- Tu t'es blessé ou quoi ? Lui avais-je demandé.
- Non non, juste une égratignure. Un faux pas si tu veux mais ça va rien de grave.
- Si tu le dis. Bon, les valises sont prêtes, maman nous amènera les enregistrer très tôt le matin, ça te convient ?
- Oui oui, top. Je vais me coucher là, suis épuisé.

Un jour après, nous étions de retour chez nous. La vie avait repris son cours normal et je n'avais toujours pas cessé de draguer les jolies filles. Après ce premier voyage, les trois années suivantes, Paul rentra une fois. Un séjour d'une semaine juste pour voir sa dulcinée. Il venait de commencer un super boulot et prévoyait de se marier si tout allait bien dans trois ou quatre années. Mais après ce séjour, tout changea dans sa vie de couple.

Paul vivait au cœur de Paris. Un superbe appartement. J'y allais juste pour narguer les filles. Mon frère avait vraiment réussi et moi aussi je travaillais déjà mais je n'avais pas du tout son niveau. Il méritait cette réussite il avait tout donné pour. Après son retour, il me raconta un soir autour d'un verre que Désirée avait changé.

- Désirée ? Mais cette fille est folle de toi Paul qu'est-ce que tu racontes. En plus elle serait bête de changer à présent que tu vas être si riche. Non je ne te crois pas tu racontes des balivernes.
- Sérieux Etienne, Désirée n'est vraiment plus la même fille. A Lomé la dernière fois, elle était distante, ne semblait pas si enthousiasme de me voir, pourtant elle criait et pleurait son manque de moi. J'avoue que quelque chose m'intrigue énormément. Quelque chose a changé en elle. Elle n'est vraiment plus pareille.
- Tu dois te faire des idées. Ou alors étant donné que tu n'as toujours pas encore fait ta demande en mariage elle cherche ainsi à te mettre la pression. Tu sais les femmes et leurs manières... Te caille pas le lait pour si peu bro. Elle t'adore cette fille.
Je disais tout cela sans réellement y penser car je savais que Paul ne s'inquiétait jamais pour rien, si c'était le cas, c'est qu'il y avait bien une raison. Mais je ne voulais pas le laisser angoisser encore plus.
- Je désire de parler d'un truc très important. Tu te souviens de quand on était en vacances la première fois à Lomé ?
- Oui bien sûr.
- Voilà, il s'est ...
Il fut interrompu par la sonnerie de son téléphone. Son patron cherchait à le voir urgemment. Je le laissai partir et il promit de me raconter le reste de l'histoire après.
Des mois passèrent. Paul état tellement fidèle à sa copine que nous, ses amis et moi-même en étions très intrigués.
- Elle n'est pas là alors tu peux te lâcher un peu sometimes. Ecoute amuse-toi, fais de nouvelles rencontres, fais un truc mais arrête de t'enfermer pour travailler juste parce que ta copine n'est pas à côté. C'est insensé. Tu lui es fidèle comme une clé à une serrure c'est incroyable ? Tout mon contraire si tu veux. Je ne sais pas si je dois en être fière ou plutôt m'apitoyer sur ton sort mais là...
- Lâche-moi les baskets tu veux ? J'aime cette fille et elle est la femme de ma vie alors je ne vois pas pourquoi je devrai commencer à faire le con avec d'autres filles en sachant que jamais je ne les épouserai. Elles veulent toutes le mariage de nos jours et moi j'ai déjà ma mariée. Et puis même si je le voulais je ne le pourrai pas.
- Comment ça tu ne le pourrais pas... Bon après tu as peut-être raison, après tout c'est moi le plus fou ici. Je suis incapable de rester avec la même fille plus de deux semaines.

Ensemble nous rirons de mes anecdotes avec ces dames et il rentrera chez lui. J'aurais peut-être dû insister pour comprendre ce pourquoi il disait que même si il le voulait il ne le pourrait pas. J'avais joué au gamin une fois encore.
Des semaines après je sentis une véritable tension entre Désirée et mon frère. Il l'avait faite venir pour quelques mois à Paris mais l'ambiance était constamment électrique entre eux. Pour un rien ils se chamaillaient et elle menaçait de retourner au Togo. Notre père et moi avions tout essayé, elle était campée sur sa position et voulait rentrer au Togo. J'avais mal pour Paul car il était resté à attendre cette fille et il venait de la demander en mariage. Elle réagissait comme une toute autre personne. Elle n'était plus la fille humble et douce que j'avais connue. Elle avait totalement changé, avait perdu sa superbe forme et son super beau teint noir. Le pire, elle se faisait défriser les cheveux et passait ses journées à se coller des extensions. Elle était devenue fausse mais malgré ça mon frère l'adorait toujours.
Avant ce chapitre, nous avions remarqué que Paul tombait très souvent, même trop souvent malade. En un mois il pouvait-être hospitalisé cinq fois mais les médecins ne trouvaient jamais la provenance du mal. Tous étions très inquiets. A son arrivée, l'état de mon frère s'était empiré. Il m'aigrissait a vu d'œil et n'allait plus au bureau. Elle était là et ne semblait pas du tout s'en inquiétée. Elle passait le temps à sortir avec ses copines qu'elle avait retrouvé ici et laissait mon frère seul dans un état pareil.
Nous ne croyions pas en ces choses mystiques autrement, nous aurions vite compris d'où provenait-le mal. Nous pensions plutôt à une tumeur qui ne se laissait pas découvrir.

Je n'avais plus du tout la même admiration pour Désirée. J'avais même du dégout car Paul souffrait énormément à cause d'elle. Papa et moi lui avions une fois encore demandé de rompre cette relation et de passer à autre chose mais c'était ne pas le connaître. Il voulait aller jusqu'au bout. Désirée rentra chez elle au Togo et quelques semaines après, par quel occultisme, on nous apprit qu'elle avait fait un grave accident et était dans le coma. Paul voulu mourir en l'apprenant. Deux jours après, un autre grave accident venait de se produire et mon frère était une des victimes. Il était dans un état critique et il nous fallait nous rendre d'urgence à l'hôpital. Je n'en revenais pas. D'abord sa fiancée de l'autre côté et à présent lui-même ? Quel sort s'abattait sur notre famille ? Je me rendis à l'hôpital en premier. Il était encore conscient malgré son état très critique. Lorsqu'il me vit venir, il me tendit la main. Il était couvert de sang, c'était horrible de le voir ainsi. Les infirmières me sortirent de la salle avant de le conduire dans la salle d'opération. Je voulais retenir mes larmes mais je n'y arrivai pas. Voir mon unique frère autant dans l'agonie, j'avais l'âme flagellée.

L'opération dura des heures interminables. Notre père et mère étaient arrivés en panique. Quelques-uns de ses collègues également avaient fait le déplacement. Lorsqu'on le sortit de la salle, il était profondément endormi. Le médecin nous expliqua qu'il avait eu une lésion cérébrale et sa colonne vertébrale également fut touchée mais qu'il avait eu beaucoup de chance, qu'il s'en sortira. Nous étions tous contents de cette nouvelle.
Nous venions le voir chacun à son tour jusqu'à son réveil deux jours après. Dans tout ce brouhaha, aucun de nous ne se rappela de demander d'après l'état de santé de Désirée au pays. Ce fut la première chose que Paul réclama au réveil. Il voulait lui parler. Mon père sortit appeler au pays. Je restai seul auprès de lui.
- Je crois qu'elle est morte Etienne. Me dit-il.
Je fus surpris et à la fois choqué par cet aveu. D'où sortait-il une telle affirmation ?
- Comment ça morte Paul, qu'est-ce que tu dis là ?
Je vis couler le long de son visage des larmes. Il était immobilisé par une minerve et ne pouvais pas tourner la tête.
- Elle est morte Etienne. Je l'ai vu à l'instant. Elle était là dans la salle avec nous.
Je fus glacée sur place. Paul me parlait d'une personne qu'il pensait avoir vu dans cette même chambre d'hôpital, mais cette personne était à plus de 6600 kilomètres de nous. Je crus qu'il délirait et j'appelai les infirmières mais elles me confirmèrent qu'il allait bien avant de l'endormir.
Je trouvai papa dans la salle d'attente totalement abattu. Je m'assis à côté de lui.
- Des nouvelles, papa ? Elles sont bonnes j'espère !
- Non fiston, rien ne va là. Désirée est morte hier nuit. Elle n'est pas sortie du coma. Voilà, je ne sais pas ce qu'il faut que je dise à ton frère alors j'ai préféré rester ici.
- Oh non. Il avait raison alors...
- Qui avait raison ? De quoi tu parles ?
Paul, il s'est passé quelque chose à l'instant papa, quand j'étais dans la salle avec lui, après que tu ne sois sorti, Paul m'a dit que Désirée était morte. Qu'il le savait car son âme était à l'instant dans la salle avec nous. Je croyais qu'il hallucinait alors j'ai appelé les infirmières qui l'ont mis sous sédatif. Mais maintenant je suis bien mélangé. Désirée est morte ? Qu'est ce qui se passe ?
J'essayai de comprendre ce phénomène paranormal sans succès toute la nuit. Je restai auprès de mon frère attendant son réveil pour voir s'il aborderait encore le sujet. Il se réveilla vers trois heures du matin. Il toussa et me réveilla.
- Tu dois rentrer te reposer Etienne.
- On rentrera ensemble parce qu'il est hors de question que je sorte de cet hôpital sans toi.
Il me sourit puis me fit signe d'approcher.
- J'avais promis te raconter quelque chose une fois. Nous n'avions pas fini la conversation. Mais il est important que tu le saches. Mais il n'y aura que toi.
- Promis.
- Désirée et moi avions fait un pacte de sang lorsque nous étions en vacances pour la première fois. Ce soir-là je t'avais dit que ce n'était qu'une plaie due à une égratignure. C'était faux. Nous nous étions coupés puis avions mêlés nos sang nous promettant ou jurant fidélité, amour, amitié et vie commune jusqu'à ce que mort s'en suive, nous ne devions pas rompre ce pacte ce serait au prix de nos vie. L'idée venait d'elle et je ne le voulais pas mais elle voulait que je la rassure de ne jamais la quitter.

- Quoi ? Tu es malade Paul ? Tu n'as pas pu faire ça n'est-ce pas ?
Si nous l'avions fait et j'étais consentant parce que je l'aimais plus que tout et lorsqu'elle en a émis l'idée au début je m'y opposai mais plus tard je dus l'admettre. Seulement Désirée n'a pas tenu parole. Un jour elle me dit que ce pacte n'était qu'un jeu pour me conditionner à ne jamais la quitter ni la tromper et qu'il ne fallait pas que je le prenne au sérieux. Mais je m'étais renseigné sur cette pratique et je savais que c'était tout sauf un jeu. Elle s'était mise à sortir avec d'autres hommes laba. Elle avait en grandissant banalisé le lien sacré qui nous liait et croyait en un simple jeu. C'est cela qui explique l'origine de mes maladies. Au fur et à mesure qu'elle rompait les liens, je recevais des répercutions physiques ou paranormales. Le pacte est un lien très sacré et très délicat, si l'un mourait avant l'autre, l'autre le suivrait. Et là elle est venue me chercher. Tout ce qui lui arrive devait m'arriver, c'était les paroles que nous nous étions promises. A la vie, à la mort et si l'un se permettait de briser les liens alors il ou elle condamnait l'autre à des répercussions atroces. Dis-moi, elle est morte n'est-ce pas ?
- Paul... Mon Dieu que me racontes-tu là ? Je dois en parler à papa, il doit y avoir forcement quelque chose à faire. Tu dis des bêtises frangin.
- Réponds-moi stp Etienne. Désirée est morte n'est-ce pas ?
Je me refusais à lui dire qu'elle était morte. J'avais envie de l'amener loin de tout ceci. Mais il insista et je le lui avouai. Au lieu d'en pleurer cette fois-ci, il me fit un sourire puis me demanda de le laisser seul. Le reste de la nuit, il se porta bien. Le lendemain, à midi, il demanda à boire de l'eau car il avait la gorge sèche.
Je sortis lui prendre une bouteille d'eau minérale ? A mon retour, je vis des médecins et infirmières plein sa chambre. Ils m'avaient refusé l'accès et lui faisait un massage cardiaque, je laissai tomber le sac de courses que j'avais en main et collai mon front contre la vitre derrière laquelle ils essayaient de le ranimer en vain. Une infirmière vint tirer le rideau.

- Paul, Paul non, ne fais pas ça. Je t'en supplie ne fais pas ça Paul. Je me parlais seule, les poings et dents serrés, tremblant de tout mon long, mon frère était en train de mourir dans mon dos et je n'y pouvais rien.
Quelques instants après, les médecins sortirent de la chambre, l'un d'eux se rapprochait de moi en remuant la tête. Je compris tout de suite le message. Mon frère venait de mourir. Il a rendu l'âme. Pour une histoire à la con de pacte de sang. D'où Désirée avait pu obtenir une telle idée en réalité ? Et comment ne pas au final prendre un pacte au sérieux ? Pourquoi s'en est-elle amusée ? Parce qu'elle pensait que c'était un jeu d'enfant peut-être ?

Ce pacte est simplement diabolique. C'est une alliance diabolique. A quoi ça sert de lier sa vie à celle d'un autre pour le meilleur et le pire de cette manière aussi occulte ? Si Paul n'avait pas cédé par amour, il serait encore de ce monde. J'ai perdu mon meilleur frère pour et par amour.
Jamais je n'arrêterai d'en souffrir.

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