Aujourd'hui était une journée normal, du moins c'est se que je croyais. La matinée s'était plutôt bien passée, malgré le cour d'anglais et de mathématique qui m'ont laissé un gout amère dans la gorge. Mais heureusement, j'avais aussi 2 heures de français en ce début de journée. Ces 2 heures m'avais fait le plus grand bien. Même si le français n'est pas ma matière préféré, la prof est hyper sympa.
Mais là j'étais en géographie, encore une autre matière barbante. Je n'avais même plus la force d'écouter le professeur. J'avais juste faim, je n'avais presque rien avalé ce midi à la cantine. C'est à dire que rien n'était vraiment appétissant alors la seule chose que mon ventre contenait actuellement deux, trois morceaux de pains.
J'étais à moitié endormi, lorsqu'un atroce bruit me sortie de mon sommeil. Après un sursaut de peur, et quelque minute à me réadapté à la lumière du soleil, je me rendis compte que ce bruit était celui de l'alarme incendie. Mais, pour l'instant, toute la classe rigolait de mon brusque réveil, et j'avoue que j'en ferais autant à leur place. Par contre, personne ne s'inquiétait de l'alerte, même pas le prof. On avait souvent des entrainements surprises, et cela faisait longtemps que nous n'en avions pas eus. Bon, même si le professeur ne prenait pas l'alarme au sérieux, il essayât quoi qu'il en soit de remettre de l'ordre dans la classe pour nous faire sortir.
Quand nous fûmes enfin rangés et calmes, le prof d'histoire nous emmenât dans le couloir et nous fit prendre le chemin des escaliers. J'étais devant avec mon ami Joan, nous dûmes donc ouvrir les portes coupes feu qui nous séparais des marches qui nous mèneraient vers la sortie. J'ai attrapé poignée de la porte, la tiras, et continuas avancer sans regarder devant moi. Mais une atroce douleur envahi ma jambe. Joan me tira, se qui ferma la porte car j'avais toujours la main sur la poignée. J'entendais un horrible hurlement de douleur qui sortait de ma bouche. Toute la classe me regardait avec dégouts pour certains et d'autre avais un regard compatissant. Mais tous ce que je savais, c'est que ma jambe était entièrement noire cendre et la souffrance était incomparable.
Le prof de géographie était bloqué, il ne savait pas comment réagir, ça se voyait a sont visage. Mais heureusement, un des meilleurs élèves s'est très vite rétablis pour crié à l'incompétent qui nous servait de prof de me porter en essayant de toucher ma blessure le moins possible. Il s'exécuta tel un enfant. Et toute la classe courut vers l'autre extrémité du couloir pour voir si cette issue était libre. Mais quand j'avais ouvert la porte, l'air avait réalimenté le feu, et je pouvais voir du dos du prof que la porte commençait à fondre. Mais lorsqu'on arriva à l'opposé les premiers virent que cette issue était aussi condamné. Quand tous les plus populaires de la classe s'effondrèrent en larme avec le prof, le garçon qui avait pris en main la situation un peu plus tôt et les autres surdoués de la classe, hurlèrent à tous les autres d'aller chercher les extincteurs présent a cette étage.
Et quand nous fûmes tous regroupés au milieu du couloir, nous pûmes enfin entendre la sirène des pompiers, qu'elle soulagement avons nous tous ressentis. Mais les flammes étaient entré dans notre étage et sans obstacle pour le ralentir, il ne fit qu'accéléré. Certains élèves le firent ralentir grâce au extincteurs quand enfin un pompier arrivât à nous rejoindre. Mais nos extincteurs étaient bientôt vides, le feu nous gagnas mais le pompier armé lui d'une lance a incendie, nous ouvrit un passage, à nous qui suffoquions sous les gazes toxiques des flammes rouge. Ils me donna un masque à moi en priorité, a cause de ma blessure et me porta.
Nous pûmes tous sortir sein et sauf mais je dut me faire amputé la jambe, cette journée est resté dans mes cauchemars tout le reste de ma vie.