J'ai fermer la fenêtre de ma chambre. Il pleuvait et j'avais commencer à prendre froid.
Je suis sortis de la chambre.
Faysal : tu sais quoi ?
Moi : quoi ?
Faysal : je vais venir vivre avec toi.
Moi : t'es sérieuse ?
Faysal : tu m'y autorise ?
Moi : t'es dingue ? C'est tout ce que je veux !
Faysal : je viendrais t'inquiètes pas.
Moi : et ta mère ?
Faysal : elle sera bien seule en plus Benjid sera avec elle.
Moi : ah oui ?
Faysal : ouais ! Enfaite madame Schiff est passé.
Moi : elle a payer ?
Faysal : oui.
Moi : Faysal combien de fois est ce que je vais te dire qu'il ne faut pas prendre son argent. La pauvre , elle vit seule.
Madame Schiff c'est ma voisine. Ses enfants se sont tous mariées et depuis elle vit seule. Elle prenait de temps a temps du savon dans ma boutique et je le lui offrait même si elle voulait payer. Apparemment elle est chrétienne et c'est une canadienne.
Faysal : je savais pas !
Moi : t'es bête.
Faysal : ouais c'est bon j'ai saisis.
Son téléphone s'est mis a sonner. Elle l'a prit puis elle est sortie. Je suis sûre qu'elle me cache des trucs. J'ai fais mine de rien et j'ai continuer de couper les legumes pour le dîner. J'allais rendre à madame Schiff son argent demain.
PDV : FAYSAL
J'ai courus dehors pour pas que Dalayla ne se rends compte de ce qui se passe entre Farid et moi. Je l'ai rappelé.
Moi : je t'ai dis que j'étais chez Dalayla ce soir ! T'a faillis nous faire cramé. Tu sais comment elle est et je ne veux pas qu'elle sache qu'il se passe des trucs entre nous.
Farid : désolé j'avais oublier.
Moi : ouais t'inquiètes pas. Alors ?
PDV : DALAYLA
Ça fait 17min qu'elle est partit. J'ai pris mon téléphone et je l'ai appeler mais elle était en communication. Avec qui est ce qu'elle parlait ?
Je me suis assise et j'ai attendue. Plusieurs minutes étaient passé. Je suis aller éteindre le feu puis je me suis assise dans la cuisine.
Là elle arrive enfin. Je l'ai regarder.
Moi : tu parlais à qui ?
Faysal : à personne !
Moi : donc ton téléphone sonne tout seul et tu es aller répondre ?
Faysal :...
Moi : tu me cache des choses à moi ta meilleure amie ?
Faysal : t'es ma meilleure amie pas mon journal intime !
Moi : ah oui ?
Je me suis levé.
Faysal : c'était pas ce que je voulais dire.
Moi : tu fais ce qui te plaît.
Je me suis dirigé vers ma chambre mais elle m'a tenue le bras.
Faysal : Dalayla...
Moi : Faysal lâche ma main !
Faysal : non je sais que tu es énervé. C'était pas ce que je voulais dire wallah attend...
Moi : LÂCHE MOI PUTAIN !
Elle a sursauter. Même moi je comprenais pas ce qui m'arrive. Déjà que j'aime pas qu'on me cache des choses et là elle me retient et j'aime pas ça aussi.
Elle m'a laissé. Je suis entrer dans ma chambre et j'ai fermer la porte à clé.
Le lendemain :
J'ai finis de mettre mes chaussures puis j'ai pris mes clés avant de sortir de mon apparte. J'ai essayer de joindre Faysal pour m'excuser mais elle repondait pas.
J'avais pas envie d'aller à la boutique alors je me suis dit que j'allais m'occuper de mon corps. J'allais me faire coiffé et me faire une pédicure et manucure. Je suis donc aller dans un salon de coiffure.
La dame : vous les voulez lisses vos cheveux ?
Moi : non j'ai envie de changer.
La dame : comme ?
Moi : crépus !
La dame : on s'occupe de vous.
Je lui ai souris. Elle m'a lavé les cheveux , pendant ce temps , une autre me faisait les doigts. Lorsque j'ai finis le tout. J'étais carrément devenue une autre personne. J'ai remercier la dame puis je l'ai payé avant de sortir.
J'étais grave bien dans ma peau. J'ai eu envie d'acheter un colier pour Faysal , histoire de me faire pardonner. J'ai alors pris un taxi et je suis aller à la bijouterie.
Lorsque je suis arriver j'ai aperçu Farid en compagnie d'une fille. Je ne sais pas mais j'avais l'impression de connaître la fille. Je ne voyais pas son visage parce qu'elle était de dos. J'ai commencer à les regarder. Farid a montrer à la fille une bague elle l'a prise et à commencer a sautiller avant de faire un câlin a Farid.
Là mon coeur à raté un battement. C'était Faysal en compagnie de Farid. Mon coeur battait super vite et mes larmes ont commencés à couler.
??? : Madame ? Vous vous sentez bien ?
Moi : ....
Je suis sortie de la bijouterie. Je me suis cacher derrière une voiture rouge. Ils sont sortis , Farid à fait un bisous à Faysal puis ils sont montés dans sa voiture. Je ne voyais plus rien.
C'était ça ? C'était pourquoi elle est sortit pour répondre à son appel ? Elle sort avec Farid. J'avais le coeur brisé. Moi qui me sentais mal de l'avoir crier dessus , alors qu'en vrai elle me trahis.
Je suis monter dans le premier taxi que j'ai vu.
Chauffeur : pourquoi vous pleurez ?
Moi : occupez vous de vos oignons !
Chauffeur : désolé.
Je me suis mise à pleurer a chaude larmes. Mon ex mari sort avec ma meilleure amie. Pourquoi est ce qu'ils me font ça ? Je le mérite ? J'ai pourtant bien fait les choses.
Faysal n'a pas honte d'elle. Comment elle ose me faire ça ? Je me suis battue pour au final me faire poignarder....
(...)
J'ai mis les clés dans la serrure. La porte de Madame Schiff s'est ouverte.
M.S : Dalayla.
Moi : bonjour Madame Schiff.
M.S : bonjour. Tu n'est pas aller à la boutique ?
Moi : non je me sens un peu fatigué aujourd'hui.
M.S : je suis sûre que c'est le bébé.
Moi : oui *dis-je avec un petit sourire*
M.S : je voulais te dire que j'allais quitter ici.
Moi : pour aller où ?
M.S : l'une de mes filles m'a construite une maison au Canada et je vais rentrer.
Moi : ...oh...
M.S : on peux parler chez moi ?
Moi : oui bien-sûr.
J'ai retiré la clé de la serrure puis je suis entrer dans son apparte. On s'est posé sur son long canapé.
M.S : tu veux prendre du thé ?
Moi : oui s'il vous plaît.
M.S : avec plaisir.
Elle est aller dans sa cuisine. Peu de temps après elle est revenu avec du thé et des biscuits.
Moi : merci beaucoup.
M.S : mais c'est tout a fait naturel ma chérie.
Moi : alors vous partez quand ?
M.S : d'ici le Mardi.
Moi : c'est après demain. Vous allez tellement me manquez.
M.S : à moi aussi. Mais dis moi ?
Moi : oui .
M.S : où est votre époux ?
Moi : on a divorcer.
M.S : ah quel malheur !
Moi : ou bonheur.
M.S : le divorce n'est jamais du bonheur. Je suis sûre que votre petit coeur l'aime toujours.
Moi : oui
M.S : alors ne fuyez pas.
Moi : merci beaucoup Madame mais il faut que j'y aille maintenant.
M.S : d'accord.
J'ai pose le verre puis je me suis levé. Elle m'a raccompagner jusqu'à la porte. J'ai ouvert directement ma porte puis je suis entrer. J'ai couru dans les toilettes.
Les vomissements n'étaient plus fréquents mais à chaque fois c'était de plus en plus douloureux. Lorsque je suis sortis j'ai vu des sacs sur ma table et là devinez qui est ce que je vois ?
Faysal : t'es là ?
Moi : ....
Faysal : toujours fâché ?
Moi : ...
Faysal : je suis désolé pour hier. J'aurais pas dû te dire ce que je t'ai dis.
Moi : d'accord. Je m'excuse aussi.
Faysal : n'en parlons plus. Vient là.
Elle m'a prise dans ses bras. Elle jouait à l'hypocrite mais je serais meilleure qu'elle dans son jeu.
CHRONIQUE-D-RIMIENNE
Alors ?