Je te raconte...ça me fait du bien.

Mais qu'est ce que c'est ?

Soudain j'entends un « Salut ! » et je me retourne et je vois un espèce de bonhomme bâton bleu et je lui répond un peu abasourdie par la réponse positive la plus simple que je trouve sur le moment. Je lui demande après m'avoir remis les idées en places :

— Qu'est-ce que c'est ce mécanisme un peu bizarre, c'est pour arroser ces plante ?                                    — Ça ? répondît-il, c'est un extracteur de larmes de paul pleureur qui arrose les monstrerias qui une fois avoir évolué deviendront de jolis colambes qui nous servent de montures. Il avait prononcé ces parole à une vitesse ! Je pensais à mon père qui me rappelais souvent de parler moins vite et versai une larme car le fait de penser qu'il était si loin et que je ne le verrais probablement plus me provoqua des sanglots que je regrettai aussitôt. Puis je repris la parole pour ne pas repenser à ma famille.         

—Pardon, tu pourrais répéter ce que tu a dit plus lentement je n'ai rien compris. Alors il exécuta cette tâche qui paraissait fastidieuse pour lui, et il rajouta  

— Il faut que tu aille voir Le Grand Roixe, sa demineur est à à peu près à 1700 pattes de trog.

— Ça correspond à combien de km ? Et nous allons faire le chemin à pied ? M'inquiétais-Je .

—Des kilos quoi ? Je ne connaît pas ce terme. 

— Laisse tomber, je yeux dire combien de temps mettons-nous pour rejoindre Le Grand Roixe ?

— Ah d'accords nous mettons une lune et un demi soleil. Et nous allons utiliser les voies souterraines dans un ver creu, c'est un géant ver de terre dans lequel on peu rentrer à 11 animauxes. 

— Je te fais confiance mais je te préviens je crains le noir.

— Ne t'inquiète pas c'est aussi un ver luisant et à l'intérieur il y a des espèces de sièges.Mais les passager n'ont pas l'habitude de croiser des roses comme toi.

— Des roses, c'est comme ça que vous nous appelez ! Mais il existe aussi des personnes comme moi noires.

— Les portails n'ont en jamais avalés alors.