Malgré le fait que sa mère lui ait tout dit de lui, elle n'hésita pas à poser des questions. Prince ne s'attendait pas à ce qu'il s'attache à elle avec une vivacité inconcevable. Comme-ci il la connaissais depuis longtemps. Elle le comprenait si bien, elle le protégeait comme une soeur protège son frère; avec elle il n'avait pas besoin de parler, elle comprenait simplement ses regards, ses gestes, tout de lui. Il n'y avait pas de secret entre eux; ce sentiments de bonheur, il commençait à le connaître.
Les cours avaient repris avec la Mathématique comme matière. Prince ne détestait pas cette matière, mais elle ne lui plaisait pas non plus; c'est l'une des matière que son père aimait quand il était élève, les sciences de la vie et de la tèrre, notamment appellée les SVT. Ce qui est encore pire, c'est qu'il y'a des calculs encore plus coriaces que la Mathématique; un seul exercice qui à la possibilité de remplir deux fois de suite un tableau de 2 centimètres. Ce n'étaitpas pour lui.
Pendant que le professeur se torturait à expliquer son cours, lui s'évadait dans ses pensées, son esprit se retrouvait déjà à la maison, plus précisément dans son lit, entrain d'écouter de la music, une music relaxante qui l'emporterait avec elle dans le creux de ses meilleurs sentiments; et sa mère à côté qui crierait à gorge déployée de sortir regarder avec elle une série typiquement féminine. Comme à leurs habitudes.
<<Prince ! Prince ! L'appela Merlyse pendant qu'il rêvait les yeux ouverts
_Oui, je t'écoute, répondit Prince en sur sot.
_Le cours est terminé, il faut rentrer, à moins que rester ici te plaît tant.
_Bien évidemment que non.
Ils sortirent de l'école, puis montèrent dans la voiture. Le chauffeur déposa en premier lieu Merlyse, puis le ramena en second lieu à la maison.
Quand le soleil commença à prendre plus d'éclat, la chambre de Prince était encore dans l'obscurité de la nuit. Allongé sur son lit, tremblotant de froid; il n'était pas à la pointe de sa forme. Il se sentait faible, bien que cela soit commun, il ne s'y adaptait tout simplement pas. À chaque fois qu'il était dans cet état, il délirait légèrement. Bon... beaucoup. Sa mère lui donnait des produits chaque quatre heures, sans y remédier. <<Je pense que Merlyse me manque... devrai-je l'appeler ?>>
Une heure après son réveil, le docteur arriva; le pauvre Prince avait envie de disparaître pour ne plus avoir à se faire perfuser; mais malheureusement pour lui, sa mère est futée. Elle savait déjà qu'il allait tenter une escapade hors de son lit. Pendant qu'il eut essayé de sortir de sa chambre médicale en douce, sa mère avait déjà montée une embuscade pour l'arrêter. Ça ne pourrait être pire dit-il. Il avait oublié que quand on dit cette phrase-là, le pire arrive. Sa mère le ramena dans son lit après l'avoir kidnappé. C'est ainsi qu'il voyait cette action.
Le docteur après avoir aidé sa mère à s'allonger dans le lit, se mit à préparer ses injections sa perfusion. Le docteur les lui injecta tous les trois et prit congé de lui en disant: <<repose-toi paisiblement et ne t'inquiète de rien>>
<<Comment faire pour ne pas m'inquiéter, j'ai fait tout une semaine sans aller à l'école, et après que je me sois remis, je passerai encore quelques jours à la maison, comme le dit bien ma mère :<<tu dois te reposer pour complètement te remettre>>. Je n'en disconvien pas, mais que vont penser mes fabuleux collègues de classe et mes professeurs, personnes sauf le professeur Cault et sa nièce savent que je suis malade; j'imagine déjà le nombre de médisance qu'il y a à mon égard. Les hommes ne trouvent que tranquillité en critiquant les autres. Gloire soit rendu à Dieu qu'il ne savent pas où je vis, sinon je suis sûr qu'ils seraient déjà venu chez moi pour me diffamer>>.
Cinq heures se sont écoulées; sa perfusion prendra fin dans quelques minutes. Il n'avait de cesse de dormir pour noyer l'ennui.
<<Mon chéri, j'ai une surprise pour toi; s'exclama madame NGOMA depuis le couloir en se réjouissant>>.
Quelle était donc cette surprise qui la rendait aussi jovial, son mari lui a-t-il acheté une nouvelle marque de voiture ? Il n'y a que ça qui pouvait réjouir autant la mère de Prince même quand son père fait une gaffe, le simple fait de présenter sous ses yeux une nouvelle voiture faisait passer toute sa colère.Prince était médusé en voyant qui était entré dans sa chambre de soin "Merlyse". Il était embarrassé de voir qu'elle était en face de lui; dommage pour lui, il ne pouvait être invisible.
<<Salut Prince ! Dit Merlyse, d'un aire souriant, comme-ci elle le rencontrait pour la première fois, sans parler de ses yeux qui étincellaient et pour autant que Prince le sachait, il n'y avait pas assez de luminosité dans sa chambre pour que ses yeux brillent de la sorte. Peu importe, dit-il._Salut, comment vas-tu ?
_En forme, à la différence de toi. Comment te sens-tu aujourd'hui ?
_Je vous laisse, si vous avez besoin de quoi que ce soit, faites appel à moi; entre temps, je vais vous faire un goûté, dit madame NGOMA à Merlyse et à Prince en sortant de la pièce.
_Quand prendront fin tes injections et tes perfusions ? demanda Merlyse.
_Demain, mais je n'irai à l'école d'aussi tôt.
_Oui, tu as besoin de repos.
_Et comment ça se passe à l'école ?
Elle baissa la tête d'un aire touché. Il su qu'il se passait quelque chose.À suivre...
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LE SECRET DE PRINCE
RandomPrince est un enfant timide de 14ans, il aime l'école; mais ce n'est pas ce que les autres penseront de lui. Prince est un enfant malade qui souffre de deux maladies différentes, et l'une d'entre elles va le conduire au trépas.