chapitre 18

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                      PDV de ROY

— je suis dans la merde Gabriel tu ne comprends pas? Ce plan à la con me faire perdre ma femme, as tu la moindre idée de ce que j'ai dû faire pour qu'elle me pardonne la première fois? Maintenant je le vois bien que plus jamais elle ne voudra que je l'approche merde.
Je suis entrain de devenir fou, littéralement, entre cette pétasse que je suis obligé de me coltiner jusqu'à la fin de ce plan et ma femme qui je le vois bien se brise un peu plus chaque jour par ma faute je ne sais plus où donner de la tête, mais je fais tout sa pour elle, pour la protégé mais à quel prix.
Je m'affale sur mon fauteuil et met ma tête sur le bureau entre mes coudes, ma rouquine, est ce que tu voudras encore de moi après tout sa? J'aurais peut être dû t'en parlé comme sa au moins je pourrais encore te tenir dans mes bras.
— je suis désolé de t'infliger sa vieux, mais dit toi que sa serai bientôt finir et je te jure de t'aider avec Alex tiens juste encore quelque semaine, il nous faut le nom de son complice au plus vite sinon tout nos efforts n'auront servir à rien.
— je le sais bien, ne t'inquiète pas, nous savons qu'ils doivent ce rencontrer dans peu de temps mais je n'ai pas plus d'informations pour le moment mais mes hommes sont sur le coup. Dis je en me redressant pour me carré sur mon siège, mes yeux devinrent tout seul sur le cadre photo qui se trouve prêt de mon ordinateur, bon sang qu'est ce qu'elle me manque, je voudrais tellement lui parler et lui dire combien je suis désolé pour tout sa, mais ce n'est pas possible pour le moment, <<mais je jure de  me faire pardonné chaque larmes que tu as dû versé mon amour et surtout me faire pardonné de la façon que je t'ai parlé>>, je pousse un soupir résigné et me lève pour être face à la baie vitré et admire le spectacle qui se déroule sous mes pieds d'un œil absent.
— tu l'as vraiment dans la peau cette nana hein, me demande Gabriel en me sortant de mes pensées, je pousse un rire sans joie en me retournant vers lui les mains dans les poches.
— c'est bien plus que sa mon frère, cette femme est juste magique, elle me rend dingue, elle n'a rien avoir avec celle que j'ai pu connaitre, alex n'a rien avoir avec elle et il m'a fallu 4 longues années pour m'en rendre compte, je me suis comporté comme un vrai connard avec elle, et malgré tout sa elle m'a pardonné tu t'en rends compte. Je ne cesse de la blessé et elle malgré tout continue de s'inquiéter pour moi, tu sais je me dis souvent qu'elle mérite mieux que moi, qu'elle mérite d'être avec quelqu'un qui saura la rendre heureuse mais....
— mais tu es trop égoïste pour la laisser à quelqu'un d'autre. Termine t'il à ma place. Et si elle se met avec quelqu'un d'autre roy, et si elle est heureuse avec un autre et..
— je le tuerai. Dis je d'un calme inquiétant alors que tout mon corps tremble sous l'effet de la colère rien qu'à cette idée. Alex est à moi, c'est MA femme, alors s'il faut tuer tout ces imbéciles pour elle alors je le ferais.
Je le vois déglutir difficilement alors qu'il me sourit nerveusement, il sait que je ne plaisante pas, alors qu'il allait répondre mon grand père entre en trombe dans la pièce avec un papier à la main qu'il me balance à la figure, il semble en colère et nerveux aussi.
—qu'est ce qui ne va pas? Dis je alarmé, il était censée s'occuper d'Alex le temps que cette histoire se tasse alors le voir ainsi fait monté un vent de panique en moi.
— elle s'en va, bordel je t'avais dire de tout lui raconter mais tu n'en fais cas ta tête et maintenant elle veut démissionné abruti. Hurle t'il en tapant du poing sur la table, alors que je sens mon monde s'écouler au tour de moi, suis je aller trop loin? Elle veut s'en aller encore une fois? Non c'est pas possible.
Je jette un coup d'œil rapide sur les papiers qui se sont échoué sur mon bureau et je sens le sang quitter mon visage.
Elle ne peut pas faire sa hein ? Je fais tout sa pour elle bon sang elle ne peut pas me lâché maintenant non. Non jamais, sans réfléchi plus longtemps je fonce vers son bureau en sentant mon coeur battre plus vite que de raison.
Si je réussi à supporté l'autre harpie c'est grâce à elle, elle ne peut pas s'en allé, je refuse de la perdre une seconde fois, la descente qui mène à l'étage en dessous du mien ne m'a jamais paru aussi longue qu'à cet instant, quand j'arrive enfin à son niveau je traverse sa secrétaire qui a les yeux rougie ce qui augmente encore plus ma nervosité, j'entends sa voix comme dans un éco trop lointain, tout ce que je veux c'est voir ma rouquine, quand j'arrive enfin devant sa porte j'entre sans frappé sous les cries de l'autre fille.
— Il est hors de question que j'accepte ce torchon c'est clair, JAMAIS. Hurlait je sans pouvoir me contrôler alors qu'elle ne bouge pas de son siège, la tête baissé sur ces dossiers, pourtant je l'ai bien vu se figé à mon entré.
— je suis désolé Alex Mr n'a....
— sortez, dis je d'une voix dure alors qu'elle ne bouge toujours pas.
— mais Mr elle..
— j'ai dire sortez, êtes vous sourde? Je dis cette fois en lui jetant un regard noir par dessus mon épaule, quand elle sort en fin en lançant un dernier regard à Alex je verrouille la porte et m'avance vers elle qui ne me regarde toujours pas. <<regarde moi bébé aller>>
— bébé...
— vous avez bien reçu ma lettre Mr? Me coupe t'elle d'une petite voix pas plus haut qu'un murmure, dans les normes je déteste que l'on me coupe la parole mais quand c'est elle je l'autorise tout, elle peut faire de moi ce qu'elle veut, putain c'est ma femme.
— et je la refuse, il est hors de question que tu me quitte une seconde fois bébé. Dis je d'une voix douce, en me rapprochant d'elle, elle se crispe encore plus et se lève pour mettre de la distance entre nous.
— si vous refusez de signé ma démission je m'en irais quand même a Mr, et arrêté avec vos surnoms, c'est déplacer, et c'est un total manque de respect envers votre compagne, dit elle froidement.
— je m'en fou de cette fille ma rouquine, il y'a que toi qui compte et seulement toi. Dis je en me rapprochant encore plus d'elle alors qu'elle se recule encore plus pour finir coincé entre le mur et moi sans issue. Regarde moi bébé, je t'en prie regarde moi. Dis je d'une voix douce en posant la mains sur sa joue, et je constate avec horreur qu'elle est mouillé, d'une pression sur la joue je la fais levé le visage et ce que je vois finir de me tuer, ces yeux sont rougie ainsi que ces joues et son nez, son regard est vide comme si elle avait perdu toute envie de vivre, comme si elle était détruite, par ma faute.
— mon amour, je suis tellement désolé, je voulais juste te protégé, je suis tellement désolé. Chuchotai je en posant mon front sur le sien qui est brûlant.

Je suis désolé mon amour, pardonne moi je t'en prie, qu'il ne soit pas trop tard pitié...

ne me Fuis PasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant