MY CHARMING PRINCE IS A PRINCESS

CHAPITRE 18.

Je vois une voiture se rapprocher de nous à toute vitesse et elle s'arrête,  Jonathan, suivi de son groupe en  descendent.

Ils attrapent Jamila et moi par le colle. Ils nous poussent contre un mur.

Jonathan : qui a porté plainte contre moi? Énervé.

Jamila : personne. Elle reçoit un coup de pied dans le ventre.

Jonathan : écoutez moi bien, si jamais je vais en taule vous allez tous le payer !

Je restais calme, je les regardais juste, Jamila,elle tellement qu'elle avait peur elle arrêtait pas de parler.

Jamila : ils nous ont posé des questions et on y a juste répondu, j'suis désolé Jonathan.

Jonathan :  vous êtes vraiment des pétasses! Et écoute Joy, je sais que c'est toi, t'es qu'une grosse chienne, je sais que t'en avais autant envie que moi,n'ose même pas le nier!
Il m'attrape la mâchoire et me la serre d'une main, me retrouvée encore dans ses bras me rendait faible, je n'arrivais plus à bouger, encore une fois, à ce moment là je ne vois plus que lui et moi,je n'entendais plus rien autour de moi;tout me semblait si lointain. Il me parlait mais je n'entendais rien, je ne sentait rien, à pars ses caresses et son odeur qui m'était si familière, tellement familière, cette odeur  qui me faisais faire des cauchemars toutes les nuits, cette odeur que je n'oublie pas;que je n'oublierai jamais.
À ce moment là je sens mon coeur se réchauffer et fondre comme une glace un après-midi d'été,je ne savais pas quoi faire. Sa main me caresser la cuisse tandis que ses lèvres se frottaient langoureusement aux miennes, j'étais si faible que je n'arrivais pas à bouger un petit doigt. J'étais si faible mais tellement forte que par un élan de je ne sais quoi,ma main s'envola pour atterrir sur sa joue et mon genoux sur ses bijoux de famille,ce qui le fait tomber et Chris se saisit d'une pierre et la jette sur l'un des compagnons de "Jo'",nous nous sommes mis à courir comme si nous courrions le deux cents mètres.

Arrivés à bon port nous nous asseyons dans un parc, dans le silence, nous essayions,chacun, de reprendre notre souffle ne fusse que deux minutes avant de répondre la route,faute de véhicule nous avions eu à prendre le bus, nous avions déposés Jamila premièrement, suivi de moi et les autres se s'en sont allés de leurs côtés,je fonce dans ma chambre sans faire attention à qui se trouvait dans la cuisine ou le salon,dès que j'y entre,je prends mon téléphone et j'appelle Nash.

Appel téléphonique.

Nash: hey babe ça va ?

...

Nash: Joy? Tu m'entends ?

J'éclate en sanglots...

Joy : il m'a retrouvée Nash.

Nash : qui donc? Jonathan ?

Joy : oui!

Nash : je- Joy tu sais très bien ce que tu dois faire.