My Pretty Girl. | Mattheo riddle

Chapitre 12eme

La cour des ombres.

Son livre préféré jusqu'à la fin des temps. Le seul livre que j'avais emmené avec moi cette année, et merlin sait à qu'elle point j'aime lire.
Sirius avait annoté le livre de fond en comble, barrant même parfois des passages pour en mettre d'autre, et à chaque fois cela me faisait sourire. D'un certain point de vue c'était comme si il avait toujours été là, puis d'un autre comme si je ne l'avait jamais connu.
C'était l'effet que ça me donnait, le deuil est un mal maître quotidien et ne se termine jamais, on aura beaux dire que son deuil est finit, rien que d'en parler tu le sais, ton deuil est loin d'être finis.
Et pour ma part je savais que ce n'est que le début.

Hermione et moi avons passé notre temps à travailler, il est vrais que rien d'autre me faisait plus plaisir que de m'occuper de mon avenir entouré d'un entourage seins mêmes si, je devais me l'avouer je n'allait pas pouvoir l'éviter toute l'année ce n'était que le premier mois.

Ce soir notre nouveau professeur de potion avait donc organisé un petit dîner au quel j'avais été invité. Alors je mis rendit en compagnie de Harry et Hermione.

— Vous voilà enfin ! fit le professeur
harry, hermione et moi rentrons dans la salle, une grande table ronde était dressée devant nous attablés par plusieurs élèves déjà présent. Nous prenons donc place.

Près de lui Mattheo, une fois assise je relevas mes yeux et nu qu'autre que le regard vide de Mattheo en face de moi.  Si il pense que je succomberais à son air presque maladive il pouvait se foutre le doigt dans l'œil, il n'aurais pas pu faire pire que ça.

—

La soirée était passé plus vite que je ne le pensais à vrai dire, mais cela me laissait encore le temps de traîner à la tour d'astronomie, alors d'un bref mouvement je souhaita bonne nuit à mes deux amies pour me diriger vers la tour, je n'avais même pas pris la peine de prendre la cape d'invisibilité de harry, je devais mis rendre maintenant.

L'air froid de la nuit frappa gentiment mon visage légèrement rouge,
mes yeux étaient illuminés par la nuit, par ce ciel étoilé plus que magnifique à mes yeux rien n'était plus beaux que la beauté du ciel.
Cette constellation. La notre.
Elle me regardait et arriva à faire rouler une perle de larme sur ma joue.
Je fermais les yeux, en priant.
Je n'étais pas croyante au contraire mais je dois avouer que prier me faisait me sentir soulagé d'un poids bien trop lourd pour une jeune fille comme moi. Mais je ne priais jamais pour moi, toujours pour eux.

— Je savait que tu serais là. Je te connais bien trop Mathilde.
d'un battement de cils j'ouvris mes yeux et  je ne pris pas la peine de me retourner.
— Vraiment ? Et qu'est-ce que tu vas faire me pousser du haut de celle ci ?
— Jamais mathilde tu sais à quel point je t'aime...

Je pris la peine de me retourner cette fois ci et de lui coller ma main sur la gueule.

— Espèce de salaud. Il fallait que ce soit moi hein !? Vas te faire foutre Mattheo vas bien te faire foutre !
ma vision devenait floue
— Si tu savais... Je n'avais pas le choix ! Et si je l'avais eu Merlin sait que je ne l'es aurais pas accompagné ! J'ai tué quelqu'un contre ma putain de volonté Mathilde !
je secouais ma tête de gauche à droite mes mains cachant mes yeux. Il pris mes mains dans les siennes mais je me dégagea.
— C'est pas avec un peut de douceur que tu enlèvera toute la haine sue j'ai contre toi. Ne me parle jamais plus jamais, et ne cherche même plus à me toucher.

Je lui donna un dernier regard avant de partir me coucher. Il avait le dont de m'envoûter trop facilement mais j'avais perdu tout les papillons que j'avais ressentie au par avant pour lui.

""

—Regarde la lune Mathilde !
il tenait ma main encore minuscule
J'avais des étoiles dans les yeux et je m'accrochais à son coup pour ne pas tomber.

J'étais dans le coin de ma chambre à m'observer moi et sirius avant son départ à azkaban.
Mes yeux laisser couler des larmes au fur et à mesure qu'il parlait lorsque une main se posa sur mon épaule.
Regulus ?

— Ne pleure pas, par pitié ne pleure pas. Je serai toujours là je te le promet. Je suis désolé d'être partis.

Je ne pu me retenir et éclata en sanglots dans ce qui paraissait être les bras de mon oncle.

— C'est trop dur sans vous. dit-je entre deux sanglots
— Ça n'a jamais été aussi simple au contraire nous sommes là ensemble pour veiller sur toi jusqu'à la fin.

Il passe ses mains sur mon visage mais lorsque j'essaya de les attraper elles disparaissent en une fumée blanche.

""

J'ouvris mes yeux humide, il devait être 6h du matin mais je ne pouvais refermer les yeux maintenant.

—

L'appétit manquait à l'appel une nouvelle fois ce matin, je mangeais très peu et il est vrai que ça avait le don d'inquiéter Hermione.

— Avale quelques chose avant que je le fasse moi même de force Mathilde. dit elle
— Je n'ai pas faim. Ça passera.
— Tu dit ça depuis que nous sommes arrivés... fit ron
Il avait raison.

Je plaqua mes mains sur la table avant de me lever et de quitter la salle sous le regard de mes amies.

Ma tête tournait à longueur de journée mais impossible que j'avale quelques chose, j'étais sur de le vomir quelques minutes après.

— Salut Black !
je tourne mon regard vers un garçon de serpentard, Théodore.
— Ne fait pas les manières avec moi, ques que tu veux Nott ?
— Je voulais simplement savoir comment tu te portais, mais apparemment tu te porte aussi mal que Mattheo.
— Très bien. Je peux y aller maintenant?
— Non. Je voulais te dire par rapport à tout ça.
— Comment ça tout « ça »?
— Eh bien mattheo y'a embrasser de ce que j'ai pu savoir, je m'en vais lui donner ses galions on avait parier qu'il devait au moins t'embrasser pour gagner.

Parier ? Gagner ? Comment avait il pu ? quel âge avait donc ? Je ne contrôle pas ma rage et fit voler puis s'écraser le serpentard a l'aide de ma baguette contre le mur derrière lui.

C'est sûrement une mauvaise blague. Drago m'aurait sûrement déjà mise au courant.... non ?