Chapitre 38

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Ta journée de lundi se passa bien, tu avais lu toute la journée en attendant les autres. Ils s'entrainaient beaucoup pour ce week-end. D'ailleurs All Might avait réussit à réserver une place pour toi samedi en compagnie d'Aizawa et lui même. Tout ça te réjouissais bien sur mais pas autant que de revoir Dabi demain. Tu le trouvais différent de la dernière fois... Avait il vraiment changé ? Probablement après il n'y a que le futur qui pourra le confirmer. 

Tu attendais qu'ils reviennent de leur entrainement dans la salle commune. Tu n'avais pas encore trouvé d'excuse pour sortir demain donc tu y réfléchissais. "Je vais revoir ma mère ?" non sinon tu ne partirais pas qu'une journée. "je vais acheter un livre" non plus... 

Bakugo : Tu penses à quoi ?

tp : À rien... rien de spécial... Et du coup ton entrainement c'est bien passé ?

Bakugo : J'les ai tous défoncé comme d'hab !

tp : *en souriant* ça ne m'étonne même pas.

Il se dirigea vers sa chambre, tu le suivis en ressassant l'excuse que tu allais lui servir.

tp : *timidement* au fait demain je vais voir mon amie. Tu sais celle qui a eu un accident ce week end.

Bakugo : Ah ok... toute la journée ?

tp : Oui mais je serais rentré avant que tu termines ton entrainement...

Bakugo : *en t'embrassant sur le front* ok ça va... 

Il prit une serviette dans son armoire.

Bakugo : *en sortant de la chambre* je vais prendre ma douche et après je te parle d'un truc...

tp : ok...

Il te laissa seule avec ton anxiété sur ce qu'il allait t'annoncer pendant bien 20 minutes. Il eu à peine le temps de rentrer dans sa chambre que tu le cernas de question au sujet de son "annonce".

Bakugo : Calmes toi... c'est juste pour te dire qu'après le truc du permis là... enfin je voulais savoir si tu voulais qu'on aille prendre un café ou un truc comme ça en ville avant de rentrer.

Tu te sentis apaisé et légère.

tp : *en l'embrassant* avec plaisir... *en descendant tes mains le long de son dos* au fait je dois te donner un gage non ?

Bakugo : *assez énervé* ouai fin ça dépend de ce que je dois faire...

Tu allas t'assoir sur le bord du lit et tu écartas tes jambes puis tu le regardas droit dans les yeux avant de diriger ton regard vers le sol, lui indiquant de cette manière de venir entre tes cuisses. Ce qu'il fit en oubliant pas de rouler ses yeux au ciel. Il se tenait debout entre tes jambes avec le même petit sourire que d'habitude. 

tp : *avec un regard ardent* mets toi à genoux.

Il se mit à genoux et tu lui retiras son tee-shirt, te laissant apercevoir son torse si justement sculpté.

Bakugo : J'ai compris...

Tu penchas légèrement ta tête sur le coté intrigué que ce qu'il avait pu comprendre. Il posa ses mains chaudes sur tes chevilles puis il les fient remonter jusqu'à tes hanches, il passa ses index entre le tissus de ta culotte et ta peau avant de la faire doucement rouler le long de tes jambes. Toujours avec ce malin sourire qui ne le quittait pas. Il défit ensuite les boutons de ta jupe avant de de l'enlever, te déshabiller était pour lui le moyen de garder sa place de dominant étant donné que pour le moment il devait t'obéir au doigt et à l'oeil. Il posa la paume de ses mains contre l'intérieur de tes cuisses, tes joues se mirent à rougir. Il était si près de ton sexe que son souffle froid venait taper sur tes lèvres. La tension augmentait à vu d'oeil, tu prenais de grandes inspiration faisant gonflé ta poitrine à un rythme vif. Puis du bout de sa langue humide il lécha ton sexe dans toute sa longueur, c'était doux mais puissant. Il continua son mouvement à plusieurs reprise. Cette chaleur en toi devenait presque insupportable. Tu l'arrêtas pour enlever ton gilet et ton tee-shirt, tu le saisis par les joues et tu te penchas vers lui.

tp : Voilà ce que je veux. Je veux qu'avec ta langue et tes doigts tu me fasses ressentir des sensation si puissante que toute ta classe saura pourquoi je sors avec toi.

Bakugo : Je crois que tu ne pouvais pas être plus claire...

Tu lui fis un grand sourire avant d'empoigner ses cheveux pour rapprocher sa tête de ton bas ventre. Il commença par mordre tes lèvres avant de les caresser avec sa langue, il remonta jusqu'à ton clitoris qu'il embrassa puis suçota. Il avait bien fait de poser ses mains contre l'intérieur des tes cuisses parce qu'elle celle ci se refermaient inconsciemment sur lui. Tu te laissas tomber en arrière gémissant de plus en plus bruyamment sous le plaisir que tu ressentais. Ton coeur battait à la chamade et tu avais de plus en plus de mal à te calmer. Il ne te laissait aucun répit dès que tu commençais à t'habituer à un de ses geste il en changeait pour un autre qui te procurait encore plus de sensation. Tu bougeais tes hanches au rythme de ses coups de langue mais il posa se mains sur tes hanches pour les empêcher de bouger. Il dévorait cette partie de toi avec un appétit indescriptible. Putain ce qu'il état doué pour ça... 

Il remonta vers toi en embrassant chastement ton ventre, puis tes cotes jusqu'à un de tes seins dont il est venu sucer l'extrémité qui était durci par ton excitation. Il ne te lâchait pas du regard, il caressa ton sexe humide du bout de ses doigts avant de les lécher sensuellement. Puis en passant à ton autre téton il enfonça ses deux doigts en toi. Il faisait comme de petites vagues avec ses doigts te faisant perdre tes moyens. Ton bassin se soulevait tout seul pour accompagner ses mouvements, il redescendit doucement sans arrêter ses mouvements. Tes mains serrer les draps, tes gémissements étaient très vite devenu de petits cris assez explicites. Puis ce qui te donna le coup de grâce fut sa langue qui jouait vivement avec ton clitoris en même temps que les va et viens des ses doigts. Tes muscles se contractèrent tu te tendis comme un arc prés à décocher sa première flèche tout ça en criant à en perdre la voix. Tu restas immobile pendant quelque seconde dans un silence olympien, tu n'arrivais plus à respirer ou à penser à autre chose que tes sensations. Puis tu te détendis et tu repris ton souffle, Bakugo essuya sa bouche d'un revers de main avant de s'allonger près de toi. Il posa sa main sur ta cuisse.

Bakugo : *en rigolant* je suis assez fière de moi sur le coup...

Tu tournas tête vers lui, tu étais rouge écarlate et ta bouche était grande ouverte.

Bakugo : Je pourrais refaire ça tous les soirs juste pour te voir dans cet état.

Malheureusement tu étais encore incapable de parler ou de bouger le moindre muscle de ton corp. Ce qui le faisait beaucoup rire. 

tp : je...je crois... qu'on va faire des paris plus souvent...


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voilà pour le chapitre 38 il fait 1200 mots. 


Voilà bisou les loulous

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Voilà bisou les loulous....

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