Dangerous Woman

05.

Isis

Rien que de voir les néons s'emparer de la lumière du jour me procurait un bien fou. Je me faufilais entre les corps déchaînés de la piste pour gagné le carré VIP.

Moi Isis ne pas être dans un carré ? mdr.

Mon cousin Liam était assis avec deux filles à son bras. Sur la table devant lui se trouvait une panoplie de bouteilles.

— La reine de la nuit est de retour, s'écria le blond.

— Seulement pour le week-end.

Sentant ma gorge s'assécher, je pris un mojito.

— C'est assez longtemps pour moi.

— Pas assez pour moi, intervient une voix.

Ma cousine, Amélia.

Elle m'enlaça par l'arrière, je me fit attaquer par son odeur intense de cerise. Alors que son toucher m'avait affreusement manqué.

— Tu nous as tellement manquer Isis.

— À moi aussi, affirmais-je le sourire jusqu'aux oreilles. Où est ton jumeau ?

— À ton avis...

— Entrain de baiser, soupirai-je. J'avais presque oublié que Liam rimait avec MST.En espérant qu'il se protège.

— La dernière fois il a chopper des morpions. Ma mère était folle de rage.

J'explosais dans des éclats incontrôlables. L'image de ma tante rouge de colère me faisait regretter de ne pas être avec eux.

Depuis petite on nous appelai les quadruplés.

Premièrement parce que nous étions tous blond au yeux vert.

Deuxièmement, parce que on était tout le temps fourré ensemble, comme des siamois.

Après le lycée, nos parents avaient des projets distincts chacun d'entre nous.

Pour ma part ce fut les études, Amélia le gendre idéal, Liam l'entreprise de papa et maman et William Harvard.

— J'aurais adorer être avec vous.

— Je sais Isis, moi aussi. Mais ce n'est pas grave on aura tout le temps de se rattraper.

Mon corps se mit subitement à bouger lorsque j'entendis ma musique favorite en boîte. You know Like it de Dj Snake.

Je me ruais sur la piste de dance, en manquant de me séparer les membres mon corps.

— I just wanna have some fun. Don't telle me what could be done, hurlai-je.

Je sentais mon corps vibrer de bonheur, alors que les personnes présentent dans la boîte commençais progressivement à me reconnaître.

En plus d'avoir été une habitué, mon nom de famille était loin d'être inconnu dans l' Upper East Side.

J'avalai je ne sais pas combien de shot de vodka en un temps record tandis que la atmosphère du club me suppliait d'assouvir mes désires.

J'étais tellement heureuse, mais simultanément mélancolique que mon âge dorée soit loin derrière moi maintenant.

L'adrénaline pulsait en moi. Prise, d'une énorme montée d'adrénaline, je grimpai sur le bar. Mon corps suivait le rythme de la musique.

Lorsqu'elle ralentissait, mes mouvement firent de-même. Sensuellement, je fit rouler mes hanches. Caressais des mains mes attributs féminins.