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Je suis arrivé à joindre Marie et elle est venu avec Alexander, je ne voulais pas qu'elle reste seule avec mon ex détraqué et mon meilleur ami blessé. Claryssa c'est enfermé dans ma chambre après notre discussion et elle n'en est pas ressorti depuis. Je me suis préparer pour la soirée, j'ai prévenu Pablo pour ce soir et je me dirige vers ma chambre pour voir comment va bambolina. Je toque et n'entend aucune réponse.
- Bambolina ?
- Oui entre.
Je pénètre dans ma chambre et la trouve en train de ce battre avec la fermeture éclair de la robe bleu clair que nous avions acheté à San Francisco. Cette robe lui va si bien, c'est comme si elle était faite pour elle.
- Tu viens m'aider ou tu reste devant la porte ?
- J'arrive.
Je me dirige vers elle, je décale les cheveux qui gènent la fermeture et la remonte jusqu'en haut. Son parfum parvient à mes narines et cette odeur et divine. Je ne peux m'en détacher et je reste quelques secondes sans bouger dans son dos, elle ne bouge pas non plus.
Elle coupe cette bulle en se retournant, son corps n'est qu'à quelques centimètres du miens et je ne réfléchis plus à rien. Mon regard est ancré dans le sien et je ne pense plus à rien.
- Tu es près ?
Cette phrase me ramène à la réalité et je reprend mes esprit.
- Oui, toi aussi ?
- Je prend ma pochette et c'est bon.
- Dacc bah je t'attend en bas.
Je me retourne et sors de la pièce un peu déboussolé. Cette fille me fait ressentir des sensations que personne d'autre ne me fait ressentir et ça me fait franchement peur. L'idée que je puisse m'attacher à elle me terrifie, j'ai peur qu'elle souffre par ma faute, que des personnes lui veulent du mal, comme ce connard de Sébastian. Je m'en voudrait tellement si il lui arrivait quoi que ce soit. Je chasse ces pensées de ma tête et descend les escaliers, quelques minutes plus tard c'est elle qui les descends et je l'admire une fois de plus.
- Marie est arrivé ?
Demande t-elle.
- Oui je suis là.
Elle sort de la cuisine et se dirige vers Claryssa.
- Oh mais cette robe est sublime !
- Merci beaucoup. Au fait je voulais te remercié pour le maillot.
- Le maillot ?
Elle me lance un regard en coin et je lui fait signe de répondre.
- Ah oui, non mais c'est normal t'inquiète et puis c'est Julian qui la choisit tu sais.
- Ah oui.
Elle se tourne vers moi et je pourrais tuer ma soeur à cet instant précis. Je la fusille du regard et un rictus gêné se plaque sur mon visage.
- Tu ne me la pas dis ?
- C'est pas très important si ?
- Pour moi ça les.
Elle s'approche de moi, son parfum emplit mes narines et elle pose ses douces lèvres sur ma joue gauche, avant de se diriger vers la porte d'entrée. Je reste bloqué sur cette action furtive et prend quelques secondes pour me reconcentrer.
- Tu viens Juju.
- J'arrive.
Je la suis et on sort de la villa, on monte dans ma Lamborghini Sian FKP 37, mon nouveau bijoux que j'ai garé devant pour l'occasion. Je démarre donc et on part direction la soirée de l'enfer.
- Tu peux me répété ce que je dois faire s'il te plaît.
- Tu as déjà oublier ?
- Non, mais je stresse j'ai jamais fait ça de ma vie.
- Ne t'inquiète pas ça va bien se passé, tu dois juste trouvé le mec que je t'ai envoyé par message. Tu as retenu son visage ?
- Oui.
- Ok bah tu le trouves et tu récupères la clé qu'il te donnera.
- Oui mais si Sébastian est là et qu'il me reconnaît ?
- Je ne serais pas loin, j'aurais toujours un oeil sur toi promis, j'ai envoyer un de mes hommes pour poser un mouchard sous sa bagnole, et grâce à nos oreillettes il pourra me dire quand il aura réussit.
- Et quand j'ai récupéré la clé on part ?
- On pourra peut être profité de la soirée, si tout ce passe bien. Mais ne stresse pas je serais la ok ?
- Oui mais...
- Bambolina tout ce passera bien..
Je prend sa main dans la mienne pour la rassurer. Ça a l'air de marcher mais elle tremble tout de même.
- J'arrive pas à m'arrêter.
- C'est pas grave, prend de grande inspiration.
Elle écoute ce que je lui dis et j'entends les inspiration quel prend, je voudrais pouvoir poser mon regard sur elle mais ma concentration reste sur la route, j'ai pas envie de lui faire peur alors qu'elle est déjà stressé. Je ne tarde pas à apercevoir la bâtisse dans laquelle la soirée se déroule, c'est une villa plutôt moderne avec des formes cubiques.
- Elle est magnifique.
La voix de Claryssa parvient à mes oreilles et ma bouche à juste envie d'ajouter qu'il n'y a pas que la maison qui est magnifique ce soir. Je reprend difficilement mes esprits, je ne comprend vraiment pas ce qui m'arrive mais honnêtement ça me fait flipper. Je décide donc de parler d'autre chose.
- Tu es prête ?
- Pas vraiment mais bon quand faut y aller, faut y aller.
- Ok.
Je me gare sur une place à l'extérieur et j'arrête le moteur.
- Oublie pas de paraître détendu.
- Plus facile à dire qu'a faire.
Je souris à sa remarque et je met en place mon oreillette, je l'alllume pour parler à mon homme.
- Tu es prêt ? Ok prévient moi quand c'est bon.
Je coupe la ligne et me tourne vers Claryssa.
- On y va ?
- Ok c'est bon je suis prête.
Je sors de la voiture et elle fait de même, je m'approche d'elle et elle passe son bras autour du mien, son oreillette et caché par ses longs cheveux brun et son regard et rivé sur la villa.
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On pénètre à l'intérieur, la villa est abondamment éclairé d'une lumière très claire et blanchâtre. Claryssa resserre son emprise sur mon bras et j'essaie de la rassurer.
- Souris tout va bien c'est juste une soirée, ou est ton aplomb que je connais si bien ?
- Parti très loin.
Je ris de bon coeur et croise le regard de quelques alliés, je décide alors d'aller leur dire bonjour. On s'approche d'un petit groupe d'homme mûr, les jeunes hommes comme Liam, Sébastian et moi sont plutôt rare dans le milieu, la plus part son plus âgés.