𝗧𝗼̄𝘆𝗮 𝗧𝗼𝗱𝗼𝗿𝗼𝗸𝗶 (𝗗𝗮𝗯𝗶) ‖ 𝑴𝑯𝑨

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───── ❝ 𝐅𝐢𝐫𝐞 𝐇𝐞𝐚𝐫𝐭 ❞ ─────

❝ 𝐈𝐧𝐜𝐨𝐧𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭

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❝ 𝐈𝐧𝐜𝐨𝐧𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭. ❞

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───── [𝐈] ─────

ᥱᥙɩ 3 ɩ
ɩo, Ʈoƙo
1946

Diƞɑ Tɑcɦibɑƞɑ

« — Putain ! »

Je fronçai les sourcils en entendant la voix rauque de mon petit copain en bas et lâchai le tee-shirt que j'avais dans les mains et que j'allais mettre dans ma grande valise. Je ne savais pas du tout ce qu'il était en train de faire dans le salon alors qu'il n'avait toujours pas préparé ses affaires pour notre séjour au Brésil. Il était tendu au fur et à mesure que la date du départ se rapprochait, mais à chaque fois que j'essayais de lui tirer les vers du nez, il se renfermait sur lui-même et devenait agressif.

C'est sur cette pensée que je descendais les escaliers en marbre de notre chez-nous jusqu'à me retrouver dans le grand salon ouvert et baigné d'une douce lumière de coucher de soleil. Je retrouvai Tōya, assis sur le tapis molletonné, en train d'emballer ce que je supposais être un cadeau. Enfin, plutôt, essayer d'emballer son cadeau. Il y avait du papier cadeau partout sur le sol, déchiré dans tous les sens et je voyais le rouleau qui était pourtant plein ce matin, à présent presque vide.

« — Bébé, ça va ?, demandai-je en m'approchant avec prudence pour ne pas le brusquer.

Non, ça va pas ! J'arrive pas à emballer ce foutu truc de merde correctement ! C'est en train de me rendre dingue !, s'énerva-t-il en jetant une boule de papier cadeau par terre. »

La dite boule roula jusqu'à mes pieds et je pris une petite inspiration avant de m'installer à côté de lui sur le tapis. Mes prunelles allèrent se poser sur la boîte à chaussure toute noire qu'il essayait d'emballer en vain depuis bien trop longtemps à en juger par sa mauvaise humeur. Pourtant, il réessaya encore une fois, pliant les bords correctement, mais cela se compliqua quand il remarqua que le bout qu'il avait coupé était trop petit pour recouvrir toute la boîte.

« — Eh merde !, cria-t-il en refaisant une boule avec son papier cadeau.

Ok, commence d'abord par te détendre, mon cœur, dis-je doucement en le prenant délicatement par les mains avant qu'il n'aille encore une fois torturer ce pauvre papier.

𝐑𝐞𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐎𝐧𝐞-𝐒𝐡𝐨𝐭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant