Chapitre 35

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On continue ensuite notre petit déjeuner, plus calmement cette fois, avec néanmoins quelques baisers fougueux bien agréables. Puis on s'allonge tous les deux, l'un en face de l'autre, les yeux dans les yeux. Là encore c'est plutôt calme, mais néanmoins très sensuel. Alors que ses mains sont autour de mon cou, une des miennes se trouve sur ses fesses et l'autre oscille entre sa joue et ses seins. Puis j'embrasse ma belle dans le cou, qui me dit alors :

« - Au fait Théo, tu ne m'as jamais répondu.

- A quoi donc ?

- Le jour de mon exposé, je t'avais demandé si tu m'avais trouvée bonne. Tu n'avais pas été très clair. Alors, quelle est la vraie réponse ?

- Je crois que tu la connais, ma belle !

- Non je n'en ai aucune idée (clin d'œil).

- Alors voici un début de réponse » lui dis-je en caressant doucement ses seins puis ses fesses toutes douces.

- Moui, pas très clair tout ça. Et avec des mots ça donne quoi ?

- Héhé, bon alors pour reprendre tes propres termes, dont je ne suis d'ailleurs pas très fan, oui ma belle, tu es incroyablement « bonne » ! J'adore ton corps, j'adore tes seins et ton petit cul. Voilà ça manque un peu de poésie, mais tu l'as cherché en même temps ! Et puisqu'on en est aux compliments, je te trouve aussi remarquablement, et même dramatiquement, belle. « Dramatiquement », car ça m'a posé des problèmes toute l'année ! J'avais bien du mal à faire mon cours sereinement, avec toi dans le périmètre. Tes petits regards, tes sourires. Ah ton sourire. Il est venu à bout de moi ! Allez, j'arrête un peu avec les compliments, sinon tu vas prendre la grosse tête !

- Dommage, je n'aurais pas été contre quelques compliments supplémentaires, mais ça ira pour cette fois. Allez, à mon tour maintenant. Tu sais, j'ai vraiment failli planter mon année à cause de toi, ce n'était pas des blagues. Tu m'as plu dès le départ. Bon, au début c'était juste pour te chauffer, car j'aime beaucoup ça ! Mais très vite j'ai compris que ça allait bien au-delà. Il faut dire que t'es un sacré beau gosse, d'ailleurs on était toutes un peu sur toi, dans la classe. J'étais loin d'être la seule ! Enfin en un sens si, j'étais la seule à être vraiment à fond. Au départ j'étais comme les autres filles, je te trouvais mignon, mais ensuite... Je ne sais pas ce qui m'a fait craquer : tes petites fesses à croquer, la façon dont tu donnes ton cours tout sérieusement, ou ton sourire. Toi aussi tu as un sourire à tomber. Quand t'en faisais un vraiment affirmé, ce qui était d'ailleurs assez rare, je ressentais une sorte de décharge électrique... T'as pas idée... Et maintenant que je te connais un peu plus intimement, bon, il y a aussi... ton fruit.

- Mon fruit, c'est joliment dit ça.

- Je ne plaisante pas, c'est la première fois que je rencontre une queue qui de la personnalité. Elle a même du charme. Contrairement aux autres que j'ai rencontrées, la tienne a une âme.

- Ah l'amour.

- C'est exactement ça, je suis amoureuse de ton engin, alors ça te fait quel effet ?

- Ça me fait l'effet que je crois bien que tu es complètement folle, ma belle !

- Pas faux. Oui je suis folle... de toi ! Bon pour en revenir à ton fruit, à voir sa réaction j'ai l'impression qu'il apprécie pas mal ce que je viens de dire à son propos. Et je crois qu'il va aussi apprécier ce que je vais lui faire. »

Alors Nina embrasse mon gland, frotte ma queue contre ses joues et son nez, puis passe ses cheveux dessus, quels merveilleux contacts... Elle la prend en bouche, pour mon plus grand bonheur, puis me dit :

« - Ta queue a de multiples charmes, elle a même un côté mystérieux. J'ai l'impression que ces derniers mois, elle a un peu trop intériorisé. Je veux en savoir plus sur ce qui l'habite, si je puis dire. J'ai envie de voir ce qu'elle a dans le ventre, et qu'elle vide un peu son sac. Tu ne crois pas ?

- Carrément ! »

Alors elle m'astique, me gobe les boules et me suce encore, avant de me caresser de plus belle jusqu'à ce que ça monte ! Je la préviens :

- Tiens-toi prête bébé, ça va sortir ! »

Elle continue alors à me caresser, et me présente son visage : je jute sur ce dernier, quel pied ! De son côté, ça a aussi l'air de lui plaire. Elle s'essuie avec des mouchoirs, en prenant quand même le temps de déguster quelques gouttes de ce qui vient de sortir, puis elle dit :

« - Merci mon chéri.

- De rien ! Je savais pas que tu aimais la faciale ? J'avoue que je n'ose pas toujours en parler à mes copines, j'ai peur qu'elles le prennent mal, qu'elles trouvent ça dégradant.

- Dégradant ? Non. J'ai quand même bien le droit de recueillir le jus d'amour de mon chéri, non ? Et c'était un petit fantasme, avec toi. Combien de fois, pendant que tu donnais ton cours tout sérieusement, j'ai pu penser à ce moment... T'as pas idée ! Et je ne suis pas déçue par la mise en pratique !

- Héhé, il faut croire que c'était un moment de télépathie, car j'avoue que quand je donnais mes cours « tout sérieusement » comme tu dis, il m'est arrivé d'y penser aussi, et pas qu'une fois (clin d'œil).

- Ahah coquin, ce n'est pas digne d'un grand philosophe comme type de pensée ! Plus sérieusement, avec moi, il ne faut vraiment pas que tu aies de tabou. Je ne vais pas forcément dire oui à tout, mais en tout cas, je ne prendrai pas mal une proposition, même un peu farfelue. Le sexe ça doit être sans tabou, surtout si on s'aime, pas vrai ?

- Je serais bête de ne pas acquiescer ! » lui dis-je avant de l'embrasser à pleine langue. Eh bien, elle me plaît de plus en plus, cette petite Nina. 

La philo selon Théo (une troublante lycéenne)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant