Abriel
Enculé.
C'est ce que j'ai envie de lui crier au visage quand je vois son arme braqué à quelques millimètres du visage d'Érine.
Je me retiens parce que je ne veux pas qu'il fasse quelque chose de stupide mais l'envie y est.
-Pose cette arme Meria.
-Oh, on en est ici, tu ne connais plus mon prénom ?
-Oh que si Enrique, mais ne fais pas le con, Érine n'a rien à voir dans cette histoire.
-Calla te! (Tais toi) tu sais aussi bien que moi que c'est ton point faible.
-Mon point faible ? Tu penses ça de toi même ou c'est juste ta débile de cousine qui te l'a dis ?
-Sierra tu boca ! (Ferme ta gueule) Tu peux pas parler de ma cousine après se que t'as fais.
-Mais j'ai rien fais, je veux juste plus être avec elle. T'es loin d'être le mieux placer pour faire ce que tu es en train de faire surtout quand tu le fais devant moi alors que je la réconforté quand son cousin d'amour ne voulais plus lui parler.
-Bon, assez papoter, ma belle, tu ne comprends pas les avertissements ?
-Si, si, s'il te plaît, laisse nous tranquille..
-Comment ça ? De quel avertissement il parle ?
-De ça mon ami.
Il lève doucement son long t-shirt qui lui sert de pyjama je fais un mouvement en avant pour l'arrêter mais il se recule rapidement.
-Tu veux voir ou pas ? Je ne suis pas un prédateur sexuel, ce n'est pas mon domaine.
Je le fixe avec énervement et il reprends son chemin jusqu'a la couture en bas de son t-shirt pour le lever jusqu'à la naissance de ses sous vêtements, quand je vois le symbole de l'équipe d'Enrique mon sang boue.
-Tu la brûler ?!
-Je dirais plutôt marquer au fer rouge.
-Je vais te tuer !
Il remet bien en place l'arme sur la tempe d'Érine ce qui me fais stoppé mes mouvements en plein élan.
-Tu ne bouges pas ! Maintenant je veux voir la tête que tu vas faire quand tu entendras la balle partir pour se loger dans son joli crâne.
Je le vois retirer le cran de sûreté et placer son doigt sur la détente, je vois la peur dans le regard de la personne qui me fais battre le cœur plus rapidement ces jours ci et la voir comme ça me brise le cœur.
C'est de ma faute putain.
La fille a qui je tiens pourrais perdre la vie d'une seconde à l'autre et ça sera de ma putain de faute !
-Fais pas ça Enrique !
-Oh que si je vais faire ça.
Je n'ai pas le temps de replacer un mot qu'il presse la détente.
Je cours vers Érine avec les yeux humide et les yeux remplis de colère mais quand je suis devant elle et que je la serre dans mes bras je vois qu'elle est toujours debout.
Elle ouvre les yeux quelle avait fermé en acceptant ce qui allait lui arriver avec de l'incompréhension dans son regard. Je comprends qu'il n'y avais pas de balles dans l'arme, il a fait semblant cet enflure.
-Fais attention Scott, la prochaine fois elle sera bien chargée.
J'entends rire mais quand je me retourne je ne vois plus personne dans la chambre, juste la fenêtre grande ouverte avec les rideaux transparents qui vole à cause du vent.
-Comment il a pu faire ça ce fils de chien !
Elle a sursauté quand j'ai crier, je m'approche d'elle et me met à genou devant elle.
-Je suis désolé, je peux ?
Elle hoche la tête pour acquiescé, je prends l'ourlet de son t-shirt et le remonte doucement jusqu'à la couture de son sous vêtement, je la vois frissonné sous mon contact.
J'effleure la brûlure du bout des doigts se qui la fait grimacé légèrement.
-Il a fait ça quand ?
Elle hésite quelques secondes avant de prendre la parole.
-Hier soir..
-C'est pour ça que tu as voulu que je viens dormir chez toi ?
Elle me fais oui de la tête, je souffle et mes épaules s'affaissent en même temps.
-Je suis désolé, je n'ai pas su te protégé..
Elle relève ma tête que j'avais baisser en m'exprimant et me regarde dans les yeux avec le regard le plus tendre quelle n'a jamais eu envers moi, il est tellement puissant.
-Ce n'est pas de ta faute Abriel, tu ne pouvais pas me protégé sans savoir qu'il était déjà venu ici, c'est de ma faute, je ne t'en veux pas.
Elle me relève et me sert dans ses bras.
-Ça te fais mal ?
-Déjà beaucoup moins qu'hier, ça va vite se soigner
Juste après notre échange je la porte pour aller la déposer sous ses couvertures et la bordé juste avant de prendre place juste à côté d'elle et de l'entourée de mes bras pour dormir en cuillère après avoir déposé un baiser sur son front.
**
Je me réveille avant Érine et je descend au rez de chaussé voir Tara.
-Salut Tara ça va ?
-Salut Abriel, ça va et toi ?
-Ça va, dis moi tu pourrais me préparer un plateau avec un petit déjeuné pour mademoiselle s'il te plaît ?
-Bien sur, dans cinq minutes il sera prêt.
-Merci beaucoup.
Je sens quelqu'un me taper le dos je me retourne mais je suis rassuré quand je vois sa grosse tête.
-Ça va tu t'es amusé hier Evan ?
-Oh que oui, merci mec.
-De rien mec.
Je souris quand je repenses à ma coéquipière qui a cramé son frère quand je lui ai donné une capote, sa tête aurai littéralement pu me faire mourir de rire.
-Et toi avec ma sœur ?
-De quoi ? Il ne c'est rien passé avec ta sœur.
-Je suis pas débile tu sais ? Je vois que vous arrivez à vous supporté et que vous n'avez plus envie de vous étranglé à chaque fois que l'un de vous prends la parole, t'es piqué ?
-Jamais.
-C'est bien ce que je dis t'es piqué.
Je lui fais une tête bizarre en repensant à ses paroles qui tournent dans ma tête, c'est pas possible, elle ne peux pas être rentré dans ma vie et avoir fais naître des sentiments en si peut de temps non ?
Je suis sortis de mes rêveries pas Tara qui me tends le plateau, je monte donc rejoindre la belle au bois dormant et la réveillé, ce plateau pourra que lui faire du bien.
J'ouvre doucement la porte et lui caresse les cheveux pour la réveillé je la vois s'agiter légèrement avant d'ouvrir les yeux et me regarder avant de sourire.
-Bien dormis la belle au bois dormant ?
-Oui, très bien et toi ?
-Tu sais que toutes les nuits à tes côtés sont plus belles les unes que les autres n'est ce pas ?
On se regarde et on explose de rire tous les deux.
Je la laisse manger son petit déjeuné tranquille et je pars me préparé pour pouvoir lui laisser la salle de bain juste après.
J'enfile juste un survêtement pour pouvoir aller à l'entraînement et j'avance lentement vers la chambre et une fois devant je vois qu'elle ne m'a pas entendu.
Elle est là posé sur son lit en train de regarder sa brûlure et on vois encore le chemin que la goutte d'eau salée à parcouru sur sa joue ce qui me brise le cœur.
-Je suis désolé, et je le penses vraiment, j'aurais tellement voulu qu'il s'en prenne à moi et pas à toi.
-Ne dis pas ça, tu n'y peux rien, ce mec a juste une case en moins, tu ne peux pas brûler quelqu'un a cause des sentiments que deux personnes éprouvé juste parce que ta cousine est jalouse..
Je la prends dans mes bras et elle part se préparer, en attendant je descends manger une pomme qui traîne sur le plan de travail et elle ne tarde pas à arrivé en legging accompagné d'un t-shirt noir.
On arrive à la patinoire quelques minutes plus tard et quand j'arrive je la vois, je vois cette personne que je haï le plus en ce moment, je dis à Érine de partir à l'intérieur que je la rejoins parce que je ne penses pas qu'elle l'a vue et je ne veux pas qu'elle l'a vois parce que je ne sais pas de quoi elle est capable.
Je pars sur le côté de bâtiment pour la voir et quand j'arrive je la vois avec son sourire au lèvre ce qui m'agace encore plus.
Quand elle vois mon regard noir elle perd vite son sourire.
-Qu'est ce qui se passe mon cœur ? Je sais que c'est pas agréable de jouer un jeu mais tu n'auras plus à la supporter dans très peu de temps.
-Mais tu t'entends ? Tu sais qu'on est plus en couple et d'ailleurs je me demande si on la déjà était un jour.
-Mais qu'est ce que tu racontes ?
Tu as envoyé ton cousin chez elle, il a faillis la tué tu te rends compte ?! Il la brûle en haut de la cuisse ! Il a mis sa putain d'initiale ! Juste parce que tu es jalouse.
-Mais... Je ne lui ai rien demander.. Je te le promet mon cœur, je n'ai pas à être jalouse d'elle, elle n'a rien pour te plaire et...
-Au contraire, je comprendrais que tu es jalouse parce que vous avez rien à voir et elle je serais plus susceptible de tomber amoureux plutôt qu'avec toi ! Un conseil Clara, ne vous approchez plus d'elle. Tu ne me connais plus aussi bien, tu sais pas de quoi je suis capable.
Je la vois bouillir de l'intérieur, énervé que son petit manège ne fonctionne plus sur moi, je ne la laisse pas répliqué et je rejoins le vestiaire pour déposé mon sac avec mes vêtements de rechange et je pars rejoindre Érine.
-Maintenant que vous êtes là tous les deux, je dois vous dire que dans deux jours on pars à New York, on y vas pour répéter et s'habituer à la glace juste avant la compétition, ça approche à grands pas et on va devoir mettre les bouchées doubles. Les jours avant de partir vont être cruciaux, on va répéter à fonds et introduire des nouvelles figures, on va être vraiment juste donc je compte sur vous pour être à fonds et tout déchirer, je peux compter sur vous ?
-Bien sûr !
-On veut la victoire autant que vous ne doute pas de nous sur ça Kira.
-Bien, Miguel, viens, on va montrer la nouvelle figure.
La c'est pas une blague, quand je vois la figure j'ai l'impression qu'elle est infaisable, Érine doit sauté en arrière, je la réceptionne, elle fait un demi tour sur mon bras, ses cuisses finissent sur mes épaules de chaque côté de mon visage et je la fais redescendre pour qu'ensuite on tourne ensemble pendant que je la porte.
On commence à s'entraîner et suivre les mouvements que notre entraîneuse nous apprends et on finis par réussir un tout début de figure, je sens que ça s'annonce difficile pour la réussir celle ci.
On a réussis à comprendre l'enchaînement qu'à dix neuf heures, il est donc l'heure pour nous de sortir pour rentrer chez nous, je retrouve Érine dans les vestiaires une fois que je suis prêt et elle est en train de remettre ses chaussures.
-Tu veux qu'on repars ensemble ?
-Je vais manger au restaurent avec Izzy, depuis qu'elle est ici on a pas vraiment rattrapé le temps perdu, rentre chez toi, t'inquiète pas ça va aller, après si tu veux venir quand même, je penses qu'Evan et Emily seront à la maison ce soir.
-Non, t'inquiète pas, je vais rentrer chez moi je vais pas les déranger dans leur moments de couple, à demain pour l'entraînement sur la glace trésor.
Je lui fais un bisou sur le front sans vraiment faire attention à mes paroles et mon geste, c'est qu'une fois dehors que je m'en rends compte et j'ai comme l'impression que je commence vraiment à m'attacher à elle, si il viendrais à lui arriver malheur, je m'en voudrais à vie et je m'en remettrais jamais.
