Folies de vacances (t/p x bill kaulitz)

Shopping à Biederitz

POV: TOM

2heures plus tard...

Nous marchons en direction du restaurant le plus proche avec une centaine de sacs dans les bras. Je me sens pas très bien. J'ai la gerbe ou quelque chose comme ça. J'ai mal au ventre et une horrible migraine.

Bill: Dites moi vraiment, vous êtes sur que j'ai pas trop de noir sous les yeux?

T/p: Non t'inquiète Billy.

Cette fille me rend malade. Aime-t-elle Bill? Ou moi? Peut-être même Georg? Ou encore Gustav? Je ne sais plus. Mes yeux me brûlent. Tout à coup, ma gorge se resserre et mes poumons me font mal. Mes mains tremblent et deviennent moites. Je souris à l'approche du restaurant.

T/p: On mange ici? Ça a l'air super bon!

Georg: C'est vrai. Gustav tu payes?

Gustav: Si ça peut vous faire plaisir.

Tom: Et comment!

Bill: Bonjour! Ça serait possible d'avoir une table pour 5 s'ils-vous-plait?

Serveur: Bonjour, oui bien sur. Cette table vous va?

Bill: C'est parfait merci.

Serveur: Je reviens dans 5 minutes pour prendre votre commande.

Bill: Ça marche.

Soudain un groupe de jeunes filles accourent vers nous. Une d'entre elle prend Georg dans ses bras.

Georg: Euh excuse moi?

???: GEORG! Je suis ta plus grande fan!

???: TOKIO HOTEL? GUSTAV!

???: Bill! Tom! Un autographe je vous en prie!

J'attrape le tiqué de caisse et le stylo qu'elle me tend et signe rapidement. Bill fait de même. Une des jeunes fille pose une caméra sur le côté et se pose à côté de notre table. T/p se cache sous la table. Elles posent et une d'entre elle me fait un bisous sur la joue. Je grimace mais essaye de continuer de sourire pour leur faire plaisir.

???: Merci énormément on vous adore!

Elle récupère sa caméra, son stylo et son tiqué de caisse et elles s'en vont en criant. Encore des fans hystériques. J'ai du mal à respirer. Ma poitrine me fait mal. Les souvenirs s'emmêlent dans ma tête. Je suis presque au bord des larmes.

Tom: Euh j'ai la gerbe je vais aux chiottes.

Bill: Super élégant Tom.

Gustav: Ok Tom, je commande pour toi?

Tom: Oui, des pâtes.

Gustav: Ça marche.

Je marche rapidement en direction des toilettes. Je claque la porte derrière moi. J'entre dans la première cabine que j'ai sous la main et vomis. J'ai l'impression de me vider de mes sentiments négatifs. Des larmes coulent en même temps. Je prend un peu de papier toilette et m'essuie la bouche. Je jette la boule de papier toilette et tire la chasse d'eau. Les larmes salent mon visage. Elles atteignent ma bouche et un goût salé caresse mes papilles. Je sors en trombe de la cabine et me regarde dans le miroir devant le lavabo. Mes yeux sont rougis par les émotions. Mes lèvres tremblent. J'ouvre le robinet et laisse l'eau froide couler dans le creux de mes mains. Je me lave les mains. Je passe mes mains mouillées sur mon visage. J'essaye d'éloigner tous ces mauvais souvenirs de ma mémoire. Ils prennent le dessus.
Comme à chaque fois.