Chapitre 12

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Dans 2 jours, j'aurais 18 ans, ce qui veut dire que je deviendrais majeure, au Canada en tout cas.

Mais, dans 2 jours, il auront commencer à se préparer pour Hongrie.

Aujourd'hui, je n'ai pas eu une journée très palpitante.

Je suis allait faire un peu de magasinage avec Oscar et j'ai acheter quelques nouveaux outfits.

J'ai acheter 3 nouvelles robes, 3 jeans; dont 2 cargos, 6 t-shirts, 1 jupe et une paire de soulier blanche.

Une des robes que j'ai acheter est d'un or magnifique, c'est ma préférée.

Je sors des magasins les bras presque vide, puisque j'ai amener Oscar qui m'aide à traîner mes sacs.

Si on se fait prendre en photo, on peut toujours nier, alors pourquoi s'empêcher de sortir.

Il est 16h30, lorsqu'il vient me porter chez moi.

Je vois la voiture de mon père dans l'entrée et je sais qu'il est arrivé.

J'entre dans la maison et je le vois assis dans le canapé.

-Alors, comment s'est passé ta journée?, dis-je pour démarrer la conversation
-Bien et toi, qu'as tu fais ?
-J'ai fait les magasins avec Oscar, dis-je en regardant les sacs sur le pas de la porte
-Je suis très content pour vous. Oscar est une très bonne personne. Je t'ai imaginé la première fois que je l'ai vue, il avait dans tes âge, il était la version garçon de ce que je croyais que tu étais devenu. Je savais que vous alliez finir par être ensemble. 

Je pris mon père dans mes bras

- Quand j'ai ouvert cette porte d'hôpital, tu étais caché dans un coin. J'ai vue la surprise passer dans tes yeux, lorsque j'ai commencé à parler. Tu t'attendait à rester la longtemps?, dit-il avec les larmes aux yeux.
-Je n'avais jamais imaginé que tu reviendrais à ce moment et je n'avait pas d'autre famille que maman, dis-je avec les larmes aux yeux
-Je te l'ai surement déjà dit, mais c'est ta mère qui m'a contacté environ un mois avant sa mort, elle m'avait dit que son état s'était dégradé et qu'il ne lui en restait plus pour longtemps.
- Elle avait déjà tout prévu, sans rien me dire?
-Elle ne voulait pas te bouleversée et savait que tu le saurais sûrement déjà beaucoup après son décès.
- Je savais que la fin allait arriver, mais pas si tôt, dis je en essuyant une larme 
-Je sais, elle m'a tout racontée de toi. Comment tu prenais soin d'elle, ce que tu mange au déjeuner, ton tempérament, ton attitude et tous se que je devais savoir de toi.
-Elle avait fait tous cela?
-Ta mère tenait à ce que tu sois le plus à l'aise possible avec moi, pour que tu trouve le réconfort de passer à travers le deuil. Je sais que quitter si rapidement le Canada, n'allait rien arranger et que sa compliquerais surement le deuil, mais je ne trouve pas que cela t'ai affecté pour le pire.
-Je sais que je n'aurai pas était capable de visiter sa tombe dans la première année et changer d'air, ne me ferait pas de mal. Vivre une autre vie avec bien avec une petite partie de maman, toujours avec moi.

Je serra fort mon père dans mes bras et après 5 minutes, lui demanda de commander de la pizza.

On soupa en se remémorant des souvenirs de ma mère et j'allais me coucher vers 22 heures.

Il me raconta une tonne d'anecdotes d'avant ma naissance et comment ils vivaient ensemble.     

Il ne reste qu'une journée de congé au garçons avant le Grand Prix de Hongrie.

Je monta dans ma chambre et regarda un film avant de me coucher.

------------------- Matin-----------------

Le soleil traverse mes rideaux et m'oblige à ouvrir les paupières.

Lorsque je regarda mon horloge, elle m'indiqua 9h du matin, ce qui n'étai pas si tard.

À toute vitesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant