𝐀𝐥𝐥 𝐈 𝐍𝐞𝐞𝐝 [𝘚𝘢𝘵𝘰𝘳𝘶 𝘎𝘰𝘫𝘰]

↳ 𝙁𝙞𝙣 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙥𝙚𝙧𝙞𝙤𝙙𝙚

Tu entres dans son appartement, confiante. Tu as enlevé tes chaussures avant de te diriger vers la chambre de Gojo. Gojo t'a suivie comme un chiot perdu, et il t'a regardée défaire ta robe et la laisser tomber sur le sol, avant de s'asseoir sur le lit. Il a déboutonné sa chemise, avant de l'enlever, et a débouclé sa ceinture avant d'enlever son pantalon.

Il s'est mis sur toi sur le lit, et même s'il te regardait de haut, tu étais clairement celle qui contrôlait la situation. Ses lèvres sont allées à la rencontre des tiennes. C'était un baiser doux, qui n'a pas duré très longtemps parce que tu avais envie d'autre chose.

- Que veux-tu que je fasse ?

Il attend tes instructions avant d'oser faire quoi que ce soit. Tu as saisi sa main et tu l'as guidée le long de ta peau douce jusqu'à ce que ta culotte le gêne. C'était sa réponse.

- Fais-le correctement, tu lui as dit, le faisant claquer de la langue.

- Quand est-ce que je ne le fais pas correctement ? il a posé la question, et tu ne lui as pas donné de réponse.

Il est descendu et a poussé ta culotte sur le côté avant que sa langue ne parcourt tes plis. Il a entendu un petit bruit mignon sortir de tes lèvres, ce qui était son encouragement. Sa langue s'est concentrée sur ton clito. Il a fait glisser sa langue sur ton clito, aimant les bruits que tu faisais à chacun de ses mouvements. Il sait qu'il fait bien les choses, puisque tu bouges si fort, bien qu'aucun mot ne sorte de tes lèvres. Il n'a pas besoin de mots pour confirmer qu'il le fait bien.

Cela faisait si longtemps que tu n'avais pas reçu ce genre de traitement, que tu ne pouvais pas t'empêcher d'en gigoter. Il a remonté ses doigts et a passé son index et son majeur pour recueillir l'humidité qui s'était accumulée, avant d'enfoncer les deux doigts. Ses doigts étaient longs et épais, ce que tu avais presque oublié. Tu les voyais chaque fois que tu étais avec lui, mais tu n'avais pas réussi à te rappeler à quel point ils se sentaient bien en toi.

Tes mains couraient dans ses cheveux tandis qu'il continuait à te dévorer. Il a commencé à sucer ton clito, tout en scissurant ses doigts. Tu devenais de plus en plus bruyante à chaque seconde, de temps en temps quelques murmures insensés sortaient de tes lèvres.

- C'est ça. Juste comme ça. Bon garçon, tu l'as félicité, aimant la façon dont il te dévorait et te doigtait.

Et tu ne pouvais qu'entendre son ronronnement, appréciant pleinement tout ce qu'il faisait. Il aimait le goût que tu avais sur sa langue, et la façon dont tu te sentais dans ses doigts.

Cela lui manquait tellement, et il était si heureux maintenant qu'il le faisait. Ses doigts s'accélérèrent, te faisant devenir encore plus gémissante. Ton orgasme ne tarde pas à monter.

- Comme ça, Toru... tu gémis tandis qu'il continue, allant de plus en plus vite.

Tu as vu blanc, tes jambes se sont mises à trembler tandis que tu jouissais autour de ses doigts. Il a embrassé ton clito avant de se retirer. Tes jus étaient partout sur ses doigts quand il les a retirés, et il s'est empressé de les enfoncer dans sa bouche pour les lécher.

- Allonge-toi, tu as ordonné et il a suivi.

Il s'est allongé et t'a regardé pendant que tu te mettais sur lui. Tu t'es assise sur son bas-ventre et tu l'as regardé. Tu as souri et tu as commencé à le taquiner en te frottant à son érection. Il s'est mordu la lèvre inférieure pendant que tu continuais à le taquiner.

- S'il te plaît, il a commencé parce qu'il ne pouvait pas supporter plus de taquineries.

Tu étais si belle sur lui et il ne pouvait qu'imaginer comment tu te sentirais enroulée autour de sa bite. Sa voix gémissait alors qu'il suppliait encore plus.

- S'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît.

- De quoi as-tu besoin ? tu as demandé, ton doigt s'accrochant sous la ceinture de son boxer.

Il n'a pas répondu, au lieu de cela, il a continué à supplier. Tu lui as reposé la question, et il s'est enfin tu. Tu lui as demandé une troisième fois, plus lentement et sur un ton plus exigeant.

- De quoi as-tu besoin ?

- De toi, il a enfin répondu.

Tu as finalement baissé son caleçon et libéré sa bite. Tu l'as taquiné un peu plus avant de saisir sa bite et de l'aligner avec ton entrée. Tu t'es lentement assise sur sa bite et lorsqu'elle a été complètement enfoncée, tu l'as laissée quelques secondes avant de commencer à bouger. Tes mains se sont appuyées sur son torse pendant que tu bougeais. Tu l'as observé. Il avait les yeux fermés, dans l'euphorie de ce que tu ressentais autour de lui. C'était si bon. Si glorieux. Il ne savait pas comment il avait pu survivre aussi longtemps sans que tu ne t'enroules autour de sa bite.

- C'est bon ? tu as demandé et il s'est contenté de fredonner en réponse, incapable de trouver comment former un simple mot.

Tu ne pouvais pas le blâmer non plus parce que c'était tellement bon. Sa bite touchait tous les bons endroits et la façon dont tu bougeais faisait que sa bite frôlait ton point g. Et il était presque au paradis rien qu'avec la sensation de ta chatte. La façon dont elle se pressait autour de lui, la façon dont tu bougeais. Même s'il aurait voulu que ce soit un peu plus rapide, il ne pouvait pas se plaindre.

Il se mordait toujours la lèvre inférieure, contenant ses gémissements, et cela ne pouvait pas t'énerver davantage. Tu voulais entendre haut et fort à quel point il prenait du plaisir.

- Si c'est si bon que ça, tu devrais me montrer.

Ses joues étaient rouges et il a l'air si mignon. Tu aimes cette vue, mais tu veux l'entendre. Entendre à quel point tu le fait se sentir bien.

- Je veux t'entendre.

Il a finalement cessé de se mordre la lèvre inférieure et t'a laissé entendre ses doux gémissements tandis que ta chatte traitait sa bite. Bientôt, c'était presque la seule chose que l'on entendait dans la pièce, à part tes gémissements. Il allait finir d'un moment à l'autre, et tu le savais.

Plus il était bruyant, plus il se rapprochait. Ta chatte a commencé à se resserrer autour de lui et c'était trop. Ses mains se sont posées sur tes hanches, et il a commencé à pousser ses hanches.

- Putain...

Tu étais trop concentrée sur le plaisir qu'il te procurait pour dire quoi que ce soit d'autre. Tu as dû fermer les yeux alors que la sensation de plaisir t'envahissait de plus en plus.

- Je vais jouir, il a dit, et juste au moment où il finissait sa phrase, il a déversé sa charge en toi.

Ta chatte a aspiré jusqu'à la dernière goutte, et tes mains sont allées jouer avec ton clitoris pendant que sa bite était encore en toi. Il a retiré sa bite et t'a aidée à jouir, et très vite, tu as joui à nouveau. Il t'a embrassée. Encore et encore. Il t'a embrassée comme s'il n'avait jamais été embrassé et qu'il en avait envie.

- Tu m'as tellement manqué, il t'a dit. Mais maintenant, tu es ma petite amie mignonne et je ne te laisserai jamais me quitter.

- Hmm... Comment suis-je censée aller au travail ? tu lui as demandé en souriant.

- Tu n'as pas besoin d'y aller. Je m'occupe de toi, il a répondu. Faire en sorte que tu n'aies plus jamais à lever le petit doigt de ta vie.

- Tu es si gentil, bébé, tu l'as embrassé. Mais tu en auras bientôt marre de moi.

- Je ne me lasserai jamais de toi, il a répondu.

Ton index a parcouru sa poitrine de haut en bas. Tu as souri, une idée t'est venue à l'esprit.

- Que dirais-tu d'un deuxième round sous la douche ? tu as demandé.

- Ça m'a l'air d'être un bon plan.