Il m'as pas répondu.
Je suis rentrée il était super tard, alors que pour le lendemain j'avais encore une alarme très tôt.
Nassim: C'est quoi sa ?
Moi: Mon colis.
Nassim: Arrête de mito c'est pas le tiens.
Moi: Si.
Nassim: Ferme ta geule je te dis c'est pas le tiens.
Moi: Continue de mal me parler, continue, Dieu te vois, et si c'est le miens.
Il m'attrape le colis et tente de l'ouvrir.
Moi: C'est quoi ton soucis rends le moi.
Je tire le colis vers moi et commence à avancer vers ma chambre.
On étaient dans le couloir il me pousse par terre, je tombe et il me donne un gros cou de pieds dans le ventre.
Moi: MAIS PUTAIN C'EST QUOI TON SOUCIS (pleure) tu vois bien que c'est mon colis y'a écrit mon nom.
Nassim: Oh j'tai dis ferme ta gueule.
Non, cette scène n'étais pas fictive mais s'est réellement produite.
Moi: T'as vraiment un problème à gérer tu me frappes pour sa, espèce de bouffon si j'étais homme t'aurai jamais oser faire sa.
Nassim: Ferme ta geule continue et tu vas voir.
Je me lève, je pleurais encore, pas parce que j'avais mal mais de la manière dont il me traitait je ne lui ai jamais rien fais mais il agit comme sa avec moi.
Moi: Écoute moi bien tu peux continuer à m'insulter autant que tu veux parce que tu te prends juste des pêchers mais saches que (il me pousse, et je le repousse).
Nassim: Vazy viens, frappe moi.
Il s'approche de moi et me colle, je le repousse. Il sais très bien que je ne peux rien faire puisque il fait presque 2 mètres.
Ma mère nous entendait elle priait dans le salon.
Elle commence à réciter sa sourate à voir haute pour qu'on se calme mais lui continuait de m'insulter.
Aliyah: Mdrr ma mère faisait pareil.
Je vais dans le salon pendant que ma mère priait.
Moi: T'as vu il continue c'est moi je l'ignore.
Il m'insultait encore mais de tout les noms sa passait de conne, a pute, a salope.
Moi: Continue vazy moi sa m'arrange tu te prends des pêchers.
Ma mère: STOP CALMEZ VOUS.
Moi: Moi j'ai rien fais je le laisse m'insulter (pleure).
Nassim: Arrêtes avec tes fausses larmes tu me frappes m'insulte et maintenant tu pleures salle chienne.
Moi: Maman t'as vu ?
Sa a été comme sa pendant plusieurs années avec mon frère..
Puis il m'a dis l'insulte de trop.
Moi: Et bien... ai plus peur de Dieu que de ce que je vais te faire, duaa de l'opprimé directement, vieux clochard.
Je veux pas gâcher sa vie donc je n'allais pas la faire je voulais juste qu'il se taise.
Ma mère: OHHH JE TAI DÉJÀ DIS DE PAS RIGOLER AVEC SA, en plus tu l'insulte mais t'as quoi dans ton crâne ??
La c'est la phrase de trop mes larmes coulent sa s'arrête pas j'en peux plus quand je vous ai dis que sa a été super compliqué avec ma mère je parle de sa je parle de ce putain de favoritisme.
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Chronique de Tessnim: « C'était pour toujours »
Random"Un simple battement d'ailes peut déclencher une tempête, tout comme un petit geste peut changer une vie." Réécriture. Chronique réel avec certains passages fictifs, écrite en 2016.