Chapitre 38 : Domination

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Idane

J'annonçais à mes hommes de me déranger sous aucun prétexte, et surtout de profiter de se reposer, ils l'avaient bien mérité. Je n'avais pas pu attendre pour faire libérer Pierre, j'avais envoyé la moitié de mes hommes le récupérer, le soir même ou j'ai rejoint ce petit bout de femme dans sa chambre. Il était en soin intensif, mais son diagnostic vital n'était plus engagé. Je leurs avais demandé de le libérer sans prendre de risque. Je voulais m'occuper d'eux personnellement, je voulais les massacrer un par un, j'allais devenir leurs pires cauchemars. Charles était déjà dans ma salle de torture, et je m'en réjouissais. Mais le plus important à cet instant-là c'était elle et sa robe beaucoup trop sexy. Elle n'avait pas dit un mot, nous étions seuls dans cette salle de réunion beaucoup trop grande pour faire un cache, cache. Je les avais observés la regarder, la dévorer des yeux, ils auraient tous voulu poser leurs sales mains sur sa peau bien trop dénudée. Elle était là à me regarder donner tous mes appels pour remettre de l'ordre dans ma maison. Une fois fini, je balayais la table de mes bras pour y retirer toutes ces merdes entassées dessous. Elle avait deviné mes intentions. Je me dirigeai vers elle, et la souleva en l'agrippant par ses fesses, elle hoquetait et ses jambes s'enroulèrent autour de ma taille, je la déposai sur la table et déchira d'un coup sec le haut de sa robe pour libérer sa poitrine qui pointé déjà dans ma direction. Quand je déposai ma bouche dessus pour jouer avec ses tétons, elle se cambra et jeta sa tête en arrière, pour accepter mes envies obscène. Ses seins étaient déjà dure et douloureux, car un gémissement brutal sortit de sa bouche.

- Je ne connais pas la tendresse, lui chuchotè-je alors qu'elle était déjà allaitante

- Montre-moi comment tu fais, s'il te plait

- Que veux-tu trésor ?

- Toi, je te veux toi, s'il te plait

Le fait qu'elle me suppliait me rendait de plus en plus dingue. Je la pris dans mes bras et nous sortîmes du bureau pour nous diriger vers la salle de sport. Sa tête se lova contre mon cou, et toutes mes limites et barrières venaient de s'effondrer.

- Ne m'en veux pas, lui dis-je,

- Montre-moi

Arrivé à la salle de sport, je la déposai à côté de l'échelle suédoise fixée au mur.

- Déshabille-toi !, lui ordonnai-je,

Je pris quelques gadgets, et la menotta sur le barreau le plus haut, elle pendait par la force de ses poignets, c'était douloureux, et cela lui demandait de trouver un moyen pour apaiser cette position. Quelques secondes après, ses pieds s'enroulèrent sur un des barreaux pour l'aider à soutenir son corps. Je pris le fouet avec une plume sur le bout et je commençai à caresser son corps complètement nu, dévoué pour mon plaisir. Je pensais qu'elle serait effrayée, mais au lieu de ça son désir augmentait, son corps se tortillait, son bassin ce mis en mouvement et chaque fois que les plumes effleuraient son intimité, elle gémissait. Elle était loin d'être aussi timide et fragile que ce que je pensais, au moment où j'arrêtais elle m'en demanda encore.

- S'il te plait Idane

- Je ne suis pas sûr de pouvoir me contrôler, dit moi d'arrêter !

- Continu

Au lieu d'utiliser la plume, je claquai la cravache sur sa cuisse, et elle se dandinait encore, le coup lui avait laissé une marque rouge, près de cette cicatrice que je haïssais et je tapai plus doucement sur sa poitrine qui se redressa, un cri sortit de sa bouche

- Tu veux que j'arrête ?

- Non, encore Idane, continu, s'il te plait

Ce corps qui me réclamait encore. Ses pieds lâchaient leurs appuis à chaque fois que son souffle se coupait, et la grimace qu'elle faisait à chaque fois que ses poignets retenaient son poids. Elle aimait, elle aimait ma façon de faire. Les femmes que je baisais me réclamaient de les relâcher, de leur fournir de la tendresse, certaine n'était plus revenue, car cela ne leur convenait pas. Mais elle, l'objet de mon désir aimé autant que moi, lié la douleur au désir. Je découvrais encore une nouvelle version d'elle, c'était un mystère dans lequel je voulais me plonger. Je voulais vérifier son envie, je me mis à genoux pour caler ses cuisses sur mes épaules pour soulager ses poignets et pour lui laisser aucune chance d'y résister. J'embrassai son intimité, elle avait la douceur du velours, et le goût de la gourmandise. Elle hurlait de plaisir et ma langue caressa sa fente de haut en bas, son bassin accompagna mon mouvement, elle était trempée, elle mouillait pour moi. J'enfonçais ma langue, puis un doigt pour préparer le terrain, puis deux, elle gémissait et ma langue fit des cercles au-dessus de mes doigts qui faisaient des va-et-vient dans un trou humide et chaud. Son sexe gonfla et j'arrêtais net mes préliminaires. Je voulais retarder cette explosion pour qu'elle soit plus intense, je voulais qu'elle s'en rappelle. C'était sa première fois, même si ma façon de faire était particulière, je voulais être le premier à lui faire découvrir ce désir charnel.

- J'aime ça Idane, continue

Je me dirigeais vers l'armoire pour prendre un préservatif, je tombais mon pantalon en même temps que mon caleçon pour l'enfiler. Je m'approchai d'elle, elle passa la langue sur ses lèvres ce qui me donna envie de lui donner une punition. Mon sexe était douloureux, mais je passai au-dessus de sa raideur puisque ma priorité était d'assouvir son propre désir. Je passais mon pousse sur sa bouche, qu'elle fit glisser avec sa langue pour le suçoter. Ma main glissa sur son cou pour le serrer.

- Dis-moi d'arrêter

- Idane arrête de me faire attendre, me gronda t'elle

Je serrais davantage sa gorge pour que son souffle soit plus court, pour la faire manquer d'air.

- Lâche mon cou, s'il te plaît, sa voie était douce comme le miel, et adoucie instinctivement mon geste

Je baladais mes mains le long de son corps et comme je m'en doutais, les paumes de mes mains étaient faites pour ses seins. Je dévorais des yeux chaque petit centimètre de sa peau. Je glissais le long de ses côtes, son bassin cherchait à trouver sa place pour pouvoir se glisser sur mon sexe, et mes mains empoignèrent ses fesses pour l'enfiler délicatement comme elle le désirait. Je me contrôlais comme je ne l'avais jamais fait auparavant, c'était un effort de ma part, j'étais dans la retenu, mais elle arrivait à rendre ce moment incomparable. Un cri s'échappa de sa bouche, je restais immobile, mais le soulagement de m'avoir en elle la mise dans un état second, elle se débattait pour se libérer. Je commençais par faire de petit de va-et-vient pour habituer son sexe à me recevoir. A chaque coup de rein, je m'enfonçais de plus en plus profondément en elle, j'accompagnais mes mouvements en malaxant ses fesses rebondis dont j'étais devenu complètement accro. J'accélérais mon mouvement et elle cria encore et encore mon nom

- Oh, Idane, encore, Idane, je vais.... Oh...

Et son sexe étroit se resserra sur le mien et je vidais ma semence sur un gémissement puissant. Je n'avais jamais pris un tel pied. Je lui détachai les mains qui retombèrent autour de mon coup, je continuais mes petits mouvements en douceur. Ses jambes autour de ma taille tremblé, elle nicha sa tête dans mon cou. Je ne voulais pas sortir d'elle, emboitait l'un dans l'autre, je pris la direction de sa chambre. Une personne à mon service tourna la tête en apercevant nos corps nue. Je l'a déposé épuisé sur son lit et la couvris de sa couette. Elle s'endormit instantanément. J'observais ses poignée rouge, je m'en voulais déjà. De voir des marques sur le corps des autres me rendait fière, mais sur elle s'était devenu un supplice. J'avais failli l'étrangler, par mon désir féroce, je ne devais désormais plus la toucher. Je pris une douche, je devais remettre de l'ordre chez moi, dans mes affaires, et avec mon personnel.

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