on s'arrêtait au bord de petits lacs. le genre de lacs qu'il y a dans les contes avec des nénuphars et des fleurs rosées. on aurait dit que des fées s'y cachaient tellement ça brillait. ou peut-être que je voyais la vie trop éclatante. c'était sa faute aussi, il avait de si belles prunelles ardentes.
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étés nus
Poetry(à lire si vous avez besoin d'un peu de douceur) il faisait chaud cet été-là. on le passait à demi nus, étalés sur l'herbe asséchée, la peau suintante. sur félix, c'étaient des gouttes de rosée. des paillettes sur sa peau dorée. sur félix, ça sentai...