Je suis dans la salle de bain avec Camille. Sa chaussette encore humide et fraîche à la main. Malgré la présence de la douche, elle remplit le bain avec de la mousse.
Camille : Tourne-toi. Tu es mon copain, pas un gros porc quand même.
Je m'exécute. « Gros porc »...Moi au moins je ne colle pas mes pieds de trois jours sur la tête de ma petite amie.
Camille : C'est bon.
Camille est couchée dans le bain. Le savon cache son corps. On ne voit que sa tête dépassée. Au sol, sa culotte et son soutien-gorge rouge. Je soupire d'envie. C'est étrange... alors que j'ai joui comme jamais sur ses pieds, me voilà à avoir plus envie qu'avant.
Camille : Tu as une chaise dans le coin. C'est plus un tabouret haut mais bon. Installe-la au milieu de la pièce. Et baisse ton pantalon.
Qu'est-ce qu'elle veut ? Je fais tout ce qu'elle dit. Au moment où je baisse mon pantalon, elle sort son pied droit de l'eau et le pose au bord de la baignoire.
Camille : Maintenant. Regarde-le bien.
Quand Camille ordonne... mieux vaut agir en son sens.
Son pied a de la mousse qui descend le long de ses formes. On ne voit plus tout mon sperme que j'ai pu lui mettre dessus. Elle bouge ses orteils. D'un regard je vois sur son visage qu'elle se mord la lèvre. Sans un mot, elle donne l'ordre que je la désire. Mais ce qui m'a le plus perturbé... c'est ce que je viens de voir dépasser de la surface savonneuse juste en dessous de sa tête.
Deux tétons, qui avec les va-et-vient de l'eau dus aux mouvements de Camille, finissent par apparaître et disparaître régulièrement. Ça me fait bander.
Camille : Voilà. C'est ça que je veux. Sois fou de mes pieds.
Si tu savais Camille. Ce n'est pas tes pieds qui m'ont fait monter... Bien que j'en garde un bon souvenir avec ce que j'ai fait il y a dix minutes. Mieux ne vaut rien lui dire.
Camille : Prends ma chaussette que tu as amenée. Tu vas la mettre autour de ta bite, et je veux que tu te touches le plus possible jusqu'à ce que je te dise d'arrêter.
Moi : Avec... Ta chaussette ?
Camille : Allez !
Son pied apparent se crispe. Il ne faut pas la contrarier. Je prends donc cette chaussette encore humide et froide pour la mettre doucement. Ce n'est pas très agréable, et c'est limite un peu visqueux à l'intérieur. Certainement sa surproduction de sueur qui n'a pas pu partir.
Pourquoi avec sa chaussette ?
Camille : Maintenant, branle-toi. Et regarde bien mon pied.
Elle le bouge le long de la baignoire. Elle lève et redescend sa jambe, plie puis étire ses orteils. Et d'un autre côté, l'eau remue de plus en plus, des tétons je vois finalement de bonnes parties de sa poitrine généreuse. Elle doit mettre du C. Non du D ? Non, je ne sais pas. Je ne m'y connais pas. Mais c'est assez pour me dire que mon corps de puceau ne peut pas tenir.
Camille : Il te plaît n'est-ce pas ?
Je me mets à me toucher. L'exercice est difficile. Je regarde son pied tout du long mais avec des regards furtifs, je contemple le haut de son corps. J'essaie de justifier corporellement parlant cela en regardant en même temps son visage. Le but étant de faire comme si je m'intéressais à son attitude à travers ses expressions.
Elle sort son deuxième pied. L'eau fait à l'échelle de ses tétons comme un ras de marée. Ramenant et renvoyant du niveau d'eau à tout va. La mousse vient épouser les moindres recoins de ses seins.
Ok. Je ne vais pas te tenir. Je sens déjà que ça monte. Et qui l'aurais cru ? Mais le fait de faire des va-et-vient avec la chaussette de Camille me procure beaucoup de bien. La fraicheur du vêtement s'est transformée en chaleur à force de frotter. Son humidité visqueuse me permet d'apprécier bien plus la manipulation qu'avec ma main sèche. Ça y est. Ça sort !
Camille : Houla ! Le cochon, il en met partout !
Comment ça ?
Camille : Tu es devenu accro à mes pieds toi. Tu vas les faire plus souvent t'en fais pas on trouvera de plus grands créneaux.
Quoi ? Non ! Je...
Camille : Par contre à toi de nettoyer. Tu as des mouchoirs dans le tiroir juste là.
Il faut que j'analyse la situation. J'ai toujours la chaussette entourant mon sexe dans ma main. J'ai joui dedans. Ok... je viens de comprendre.
En fait, la chaussette était encore tellement chargée de sueur de Camille qu'elle n'a pas pu absorber ma production. Résultat, les pulsations ont traversé le tissu pour venir se jeter au sol. On voit clairement plusieurs lignes blanches sur le carrelage.
Camille : Et en plus t'as produit quasi autant que tout à l'heure. Sache que tu es pour moi le meilleur copain au monde d'apprécier autant mes petits pieds d'amour.
Moi : Oui... Oui. Ils m'ont fait beaucoup d'effet.
Je mens certes. Mais je viens de vivre quelque chose d'intense. Faites qu'elle ne découvre jamais la vérité.
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Ses pieds m'ont changé
Romance/!\ MATURE. Comment je suis devenu fétichiste des pieds à cause de (grâce à !) ma petite amie en soif de domination. Si j'avais su avant de la rencontrer... Ce récit relate l'aventure d'un homme se transformant petit à petit en fétichiste de l'élu d...