Des one shots sur des persos d'Hazbin Hotel x Toi
Peut contenir du lemon, je vous préviendrai au cas ou.
Cet histoire se finira en 50 chapitres ou moins, si sa se trouve 100 ;) [A VOIR]
Début: 19/05/24
Fin:
#3 ème de la catégorie Hazbin Hotel le:...
JE SUIS RESPONSABLE DE CE QUE J'ECRIT MAIS PAS DE CE QUE VOUS LISEZ
BONNE LECTURE!
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
S'il y avait une chose qu'Alastor détestait, c'était les périodes de rut saisonnières qu'il traversait. Au début, cela allait, il ne dirait pas qu'il était frappé par le besoin de simplement baiser. Certes, il avait des explosions occasionnelles de colère, il pouvait massacrer quelques diablotin inutiles, mais ce n'était rien de grave.
Jusqu'à ce que vous arriviez. Le démon ne pouvait pas déterminer le moment exact où il avait ressenti une attirance pour vous, mais cela devait être arrivé à un moment donné, car il s'était enfermé dans sa chambre, refusant de voir qui que ce soit. C'était étrange, ses paumes étaient moites, son pouls s'accélérait, mais la seule chose à laquelle il pouvait penser, c'était de vous baiser, de vous marquer.
Ce même mantra continuait de résonner dans sa tête encore et encore : "À moi, à moi, à moi." Il avait besoin de vous, il devait vous marquer et montrer à tout le monde que vous lui apparteniez.
En entendant frapper à la porte, Alastor prit une profonde inspiration pour se calmer, mais bien sûr, toute sa contenance disparut au moment où ses yeux se posèrent sur vous. Son nom s'échappa de vos lèvres, votre voix tendue alors qu'il vous regardait.
"Que puis-je faire pour toi, ma chère ?"
Mordant votre lèvre, vous glissâtes dans la pièce en prenant soin de fermer la porte derrière vous. "Je veux que tu me baises."
"Pardon ?"
Soupirant, vous secouâtes la tête en le regardant de près, vous pouviez voir la sueur couler sur son front. "Je sais que tu traverses ta période de chaleur et je veux t'aider."
Passant sa langue sur ses lèvres, le démon fit un pas vers vous. Sa main saisit votre menton alors que son regard plongeait dans le vôtre. "Tu sais ce que tu demandes, n'est-ce pas ?"
"Je le sais." Posant votre main sur sa poitrine, vous le regardiez avec un regard brûlant. "Laisse-moi te faire sentir mieux, Alastor."
Les yeux d'Alastor s'assombrirent de désir en entendant votre demande. Ses instincts possessifs prirent le dessus, un sourire prédateur se dessinant sur ses lèvres.
"Je vais te revendiquer complètement." Grogna-t-il en vous attirant contre sa poitrine. Se penchant, Alastor captura vos lèvres dans un baiser passionné alors qu'il vous plaçait sur son lit. Son membre durci pressé contre votre cuisse intérieure. Ses crocs mordirent votre lèvre inférieure tandis que ses ongles griffaient vos vêtements, impatient de vous libérer tous les deux, et bientôt, vous étiez tous les deux nus. Ses oreilles aplaties sur sa tête alors qu'il buvait votre forme du regard. Vous étiez si mignonne, si belle et vous étiez à lui.
Alastor se retenait, retenant sa véritable forme. Il ne pouvait pas vous faire cela, pas encore, mais bientôt, bientôt vous serez prête.
Ses oreilles, toujours sensibles, se replièrent sur sa tête, frémissant lorsque vous passâtes vos doigts sur leur pointe. Son sexe dur, frôlant votre entrée humide. "Regarde comme tu me prends bien." Murmura-t-il dans votre cou alors qu'il s'enfonçait lentement en vous. Il savourait la sensation de votre chaleur serrée entourant son membre.
Alors qu'Alastor se mouvait avec un rythme régulier, ses mains saisissaient vos hanches, vous maintenant fermement contre lui. Il pouvait sentir vos ongles s'enfoncer dans son dos, vos jambes enroulées autour de sa taille, l'incitant à aller plus profondément, à vous revendiquer entièrement. À chaque poussée de son sexe, vous frissonnâtes, sentant qu'il vous remplissait complètement, vous étirant jusqu'à vos limites.
Alastor pouvait sentir la base de son sexe gonfler, un nœud se formant à la base de son membre, vous verrouillant ensemble pour s'assurer qu'il resterait en vous jusqu'à ce que vous soyez tous les deux satisfaits. Le plaisir s'intensifiait, une symphonie de plaisir qui vous faisait gémir et vous tortiller sous lui.
En vous voyant vous tordre sous lui, ses yeux s'assombrirent de désir alors qu'il entendait votre cri. Ses lèvres se courbèrent en un sourire malicieux, révélant un aperçu de ses dents pointues. Il se pencha près de vous, sa voix rauque et remplie d'anticipation.
"Je vais te nouer et m'assurer que chaque centimètre de moi reste en toi," murmura-t-il, presque perdant son calme. Ses mouvements devinrent plus urgents, il devait lutter contre l'envie de laisser sa forme complète se manifester. Ses cornes presque visibles à travers ses cheveux alors que ses oreilles frémissaient.
"Dis-moi que tu es à moi," grogna-t-il, sa voix possessive. "Dis-moi que tu m'appartiens."
Ses mots envoyèrent un frisson le long de votre colonne vertébrale, et vous rencontrâtes son regard intense avec une ferveur égale.
"Je suis à toi, Alastor," haletâtes-vous, votre voix emplie de besoin. "Je t'appartiens et seulement à toi."
Des vagues de plaisir vous submergèrent tous les deux alors qu'il accélérait le rythme de ses coups de reins. Il pouvait sentir vos parois se resserrer autour de lui. Le temps sembla suspendu alors qu'il vous remplissait complètement, sa semence enduisant vos parois. Les dents d'Alastor s'enfoncèrent profondément dans votre cou, ses ongles s'agrippant à vos hanches, vous marquant. La sensation d'être étirée et revendiquée par lui submergea vos sens alors qu'il vous tenait contre lui. Vos parois se resserrant autour de son sexe, son corps tremblait de plaisir.
Avec un grognement profond et guttural, il continua de déverser sa semence en vous, son nœud assurant que chaque goutte de son essence resterait en vous.
À ce moment-là, vous saviez sans aucun doute que vous étiez à lui et qu'il était à vous. Un lien, ensemble dans le corps et l'âme, c'était à ce moment-là qu'Alastor réalisa qu'il vous aimait vraiment. Même s'il était en enfer, il avait son propre petit coin de paradis ici, dans ses bras.
Se penchant, sa langue traîna sur la marque sur votre cou. Votre jambe drapée sur ses hanches, ses oreilles aplaties sur sa tête. "À moi."
Un rire léger s'échappa de vos lèvres alors que vous laissiez vos doigts jouer avec ses oreilles. "À toi, toujours à toi."
