Présent pour moi, attentionné envers moi, doux avec moi ...
Espiègle parfois, joueur souvent, dominant tout le temps ...
Mes pensées sont hantées par une seule et même personne, je le vouvoie, je lui appartiens, je suis sont joué et je désire tout cela pour pouvoir l'appeler Maître.
Il a le contrôle sur mon désir, mes envies, mes pulsions, mais je n'ai qu'un mot à dire pour qu'il aide, dans sa grande bonté, l'insatisfaite éternelle que je suis à sombrer dans l'abîme du plaisir. Des souvenirs remontent, des sensations, une chaleur, je n'ai pas le droit ... Mes mains parcourent doucement mon corps encore vêtu et font remonter des frissons de plaisir. Cette main autour de mon cou, déclenche tout ...
"Tu pensais vraiment que j'allais te laisser faire en toute impunité, petite salope."
Depuis quand est-ce qu'il est là ? Dans la même pièce, comment est-ce que j'ai fait pour ne pas remarquer sa présence ? J'essaie de m'excuser, mais l'emprise se ressert ...
"Tu veux t'excuser ? Mais tu a déjà franchi la limite ma petite soumise ... Tu pensais à quoi ? À quel point est-ce que tu es perverse ?"
La main s'enlève sur ses mots, je me lève précipitamment, me mets à genoux et baisse la tête.
"À vous Maître, rien qu'à vous et aux plaisirs que vous m'autorisez à avoir."
Il s'éloigne, je reste dans cette position, je sais que je vais devoir attendre ...
"Lève-toi, déshabille toi, on va d'abord devoir te punir avant que je ne puisse m'amuser."
"Oui Maître"
Je me relève, il est assis tranquillement sur le lit, j'ai le cœur qui bat à tout rompre et il reste calme, une envie de jeu monte en moi ... Je laisse tomber par terre la fine chemise blanche qui me servait de veste, mais bien plus là pour jouer avec la transparence qu'autre chose. Je souris, je ne peux pas m'en empêcher ... Je sors doucement mon top de ma jupe, je laisse traîner mes doigts le long de mes côtes et il finit par rejoindre le sol. La jupe finit au même endroit, mais je me délecte de mes mains sur mon corps puis je viens de nouveau me placer à genoux devant mon Maître.
"Si j'avais demandé un strip-tease tu aurais été parfaite, une vraie pute, mais ce n'est pas ce que je t'ai demandé ..."
J'angoisse je ne l'ai pas satisfait ...
"Je t'ai demandé de te déshabiller pour ta punition, tu n'es pas déshabillé et tu prends ton temps."
Sa main passe dans mes cheveux et me relève sèchement, je ne peux que laisser un petit gémissement de douleur s'échapper. Maître ouvre les rideaux et me met à quatre pattes.
"Tu aime te montrer eh bien regarde, tu as des spectateurs." le frisson qui me parcourt à ce moment-là est indescriptible plaisir et peur se mélange."Écarte bien les jambes comme je t'ai appris."
Le ton n'est pas à la plaisanterie, je sais que je ne dois plus faire ma maligne, j'ai assez joué, je m'exécute donc rapidement. Ses mains passent dans mon dos, sur mes hanches, mes fesses, mais la douceur laisse vite place à la fermeté de sa main qui claque mon cul sans aucune précaution. Je me cambre davantage, mais ce petit plaisir ne reste pas longtemps ...
"Tu apprécies bien trop ça pour que ça soit une véritable punition, une jolie petite maso comme toi à besoin d'une punition à sa hauteur".
La cravache se fait sentir, elle mord la chair, la fessée est agréable, mais la cravache ne laisse qu'une marque douloureuse. Je me mords les lèvres, des gens passent, mais ne nous voient pas, enfin pas encore ... Mon Maître fait attention à son joué, mais très vite je ne peux plus retenir les cris de douleur et une larme coule le long de ma joue. La punition s'achève, je tremble, je l'ai méritée, mais les mains chaudes de mon Maître viennent apaiser la douleur encore bien présente.
"Tu as été très courageuse, je te félicite, tu as bien endurée, mais ça ne fait que commencer ma petite soumise ..."
Cette simple phrase réchauffe entièrement mon corps, j'attends la fin de cette phrase.
"Maintenant passons à des choses plus plaisantes !"
Je souris et savoure l'idée de la suite des événements ...
