𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟎: une amertume submergeante

635 55 246
                                    




Désolée d'avance pour les fautes, je n'ai pas relu. 6K de mots, une première pour moi. Vous avez intérêt à bien commenter haha mes belles gosses.🙏🏾


𝘦𝘹𝘭𝘶𝘴𝘪𝘷𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 ®




𝘦𝘹𝘭𝘶𝘴𝘪𝘷𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘤𝘦 ®

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


















Z u l f a k a r




Trois jours plus tard.

Je viens tout juste de pénétrer dans mon appartement. Il est actuellement vingt heures passés de quelques minutes. Et encore une journée passée sans que cette fille ne se décide à me dire toute la vérité à propos du meurtre de la jeune Némésis.

Je suis exténué par le boulot dernièrement. Je ne cesse de me casser la tête pour élucider coûte que coûte ces deux affaires. Et j'espère qu'il n'y aura pas un autre crime.

Le médecin légiste est sur les deux affaires, histoire de savoir si elles sont liées.

Je laisse les lumières tamisées puis je viens me caler dans le creux de mon doux canapé en cuir marron. Je déboutonne la veste de mon uniforme par la suite. Je suis éclaté. Ces deux jours, j'ai eu peu de sommeil à cause des recherches qui n'aboutissent toujours pas.

Ça me donne envie de serrer. J'aime pas quand les choses traînent, cela me frustrent énormément. Et cette bougeuse de cul qui s'obstine à ne pas vouloir parler.

Peut-être qu'elle ne sait rien de tout ça et que je suis en train de commettre une erreur mais j'm'en tape énormément.

J'veux qu'elle voit où son comportement impoli peut la mener si elle n'arrête pas de jouer la grande bouche.

Trêve.

Alors que mon corps venait de se décoller du canapé afin d'aller me prendre une bouteille de coca, la sonnerie de la porte retentit. Un râle se laisse filer d'entre les lignes de mes lèvres. Qui cela peut bien être bon sang ?

Je soupir d'exaspération avant d'aller ouvrir la porte. Action que j'ai vite regretté à la seconde d'après.

? : Salut frangin !

Je lève les yeux au ciel puis lui tourne le dos, tout en marchant vers l'intérieur. Je l'entends pénétrer et refermer la porte derrière lui.

Mulqatab : Sympa l'accueil.

— Qu'est-ce que t'es venu foutre ici ? Dis-je en m'asseyant.

Mulqatab : Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu, alors j'ai décidé de venir te rendre visite même si toi tu ne prends jamais l'initiative.

— En même temps j'suis pas le pape François.

Il s'assied également sur le canapé en face du mien.

𝐓𝐇𝐄 𝐆𝐀𝐌𝐄.®Où les histoires vivent. Découvrez maintenant