Prologue (1/3 ) - Joselu, le mésène bien pauvre

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-> 2051

Loin de toute urbanisation, sur un espace privé d'
Haïti, où nul homme ne viendrait se balader car trop isolé de tout. Un homme, posé au rebord de la mer médite sur son avenir. Il est posé sur un transat blanc, les pieds bien tendu et la tête à demi penché de tel sorte qu'il puisse regarder face à lui et que lorsqu'il entre-ouvre ses yeux lors de sa terrible reflexion il puisse voir au travers le tein noir de ses lunette le doux spectacle des mers de la région. À côté de lui se trouve un second transat, parfaitement identique au premier et se tient occupé également par une autre personne, elle semble ne pas prendre plaisir à être ici mais ne s'entete pas non plus à s'en plaindre, elle ne fait rien et attend juste un geste de l'homme.

À l'ombre de part le parasol qui l'abrite, Il réfléchit, réfléchit bien et semble se tracasser l'esprit comme ci sa décision pourrait remodeler l'entièreté du monde et puis... et si c'était bien le cas ? Il avait récemment appris l'emplacement d'un caisson mystérieux détenu loin des regards publics et mit sous secret de l'Etat, il était le seul vestige de l'horrible catastrophe de 7 mars 2051. Un jour durant lequel une pluie de météore sabatie sur la terre en pleine est des états unis à une centaine de kilomètre de new york et tua les milliers d'habitant d'un village fraîchement baptisé "College village", forte reusement et sans doute par chance, le météore ne causa aucun autre impact que celui de sa chute sur les environs. Mais cet accident était enfaite un grand sujet de discussion auprès des villages voisins qui depuis quelque jour rapporté à l'entièreté des médias mondiaux que de nombreuse personnes disparaissaient le soir et que d'autre avait rencontré des monstres et des sorciers se baladent dans les rues de leur ville et venait parfois à leur rencontre directement chez eux. "Il avait l'air d'homme !" disait un homme totalement respectable qui avait témoigné sur un plateau TV afin d'avertir les populations du danger, "c'était de simple personne comme nous au détails près qu'ils avaient acquiert des pouvoirs magiques ou je ne sais quoi ! Ma fille ! Diane ! c'est retrouvé le ventre tranche par l'un d'eux .. mon dieu.. je revois la scène, son corps en deux et l'homme semblant totalement intangible à son acte. Son bras, son bras était devenu une sorte de longue lame, c'est comme si elle était devenue du métal..."il était si paniqué et en sanglot que les présentateurs osaient pas lui poser de question.

L'homme sur son transat fit une rotation de la mâchoire et se leva, il marcha au loin vers la mer entendant de plus en plus proche de doux son suave de l'eau. une fois face à la marais, les pieds dans le sable froid et dur qui se faisait frapper par les vagues les plus puissantes, celles pleines d'algues, coquillages, crabes et branches. Il se baissa d'un léger coup de jambes et fixa l'horizon. Il n'avait jamais été un homme très bien reconnu pour ses projets menés avec ses sociétés dans la recherche scientifique avec ses mécaniques prometteuse en transhumanisme de même dans celle du transhumanisme. Il en rêve de cette réputation qu'il désignait comme étant son avenir et un droit qu'il devrait avoir dus à l'appartenance à la famille Méliantec, une famille au commande d'une illustre industrie d'arme bactériologique qui avait déjà montrer ses compétences il y a une dizaine d'année en inventant une arme capable de tuer tous les insectes d'un champ agriculteur sans impacter les récoltes qu'il s'y trouve. Alors, quand déjà que cette histoire lui mis la puce à l'oreille quand fut il lorsqu'un grand bonhomme nommé "John Filstile" fut arrêté par la police pour conduite en état d'ivresse mais qu'en plus il était reconnue comme étant mort lors du fameux accident de météore mais qui en plus suite à un examen passé avec un médecin de secteur avait montré que ses gènes semblait avoir été modifié. Quand il prit par de l'information il finit par se résoudre il ferma toute ses installations, il licencia 90% de ses salariés et le pourcentage restant fut entreprise dans un nouvel endroit, une bâtisse excentrée de San Francisco à l'abri des regards qui avait des airs de vieilles usines désaffectées. Les membres de l'effectif qui était le plus haut gratin de ses vieilles expériences furent dirigé vers son nouveau projet : retrouver une manière de créer des surhommes par lui-même grâce au pouvoir du météore afin de les contrôler et c'est sur quoi les hommes s'employaient. Cependant, durant la nuit du 7 seul un météore s'est effondré sur la terre mais il n'a jamais été reconnu car lorsque les autorités sont arrivés quelques heures après pour sauver de potentiel blessé, le météore entier avait disparu, impossible de retrouver ne serait qu'une radiation. Alors les scientifiques se rapatriaient sur un autre sujet, une piste qui leur avait été donnée par un payé du FBI. Il s'apparente qu'un corps aurait été retrouvé dans les limbes de l'impact et qu'il avait été réquisitionné et placé dans un lieu top secret et sans doute encore mieux gardé que la zone 51. L'importance de cette dépouille était qu'apparemment son corps aurait été capable d'ingérer une partie de la pierre et donc l'homme avait la ferme intention de récupérer ce corp et de s'en servir comme moule afin de reproduire des clones via ses gènes qu'il implanterait dans des spermatozoides.

Le dilemme de l'homme s'arrêta à cette barrière, un dernier moment de réflexion avant de la franchir, satisfaire l'orgueil d'un homme riche et avare de réputation ainsi que dépasser la loi et potentiellement mettre fin à l'humanité ? C'était une bagarre d'opposition dans sa tête. Qu'est qu'il fallait choisir entre le risque de se faire arrêter et de détruire l'ensemble de la réputation familial qu'avait forgé son père ou alors le risque de ne jamais réussir à s'émanciper de cette ombre et de toujours rester un moins que rien. La réputation personnelle et la satisfaction d'être arriver à quelque chose que personne d'autre n'aurait pu atteindre ou continuer sous la dynastie de son père et n'avoir de reconnaissance qu'au travers des succès de son père ?

Il fixa la mer d'un regard vantard, sa décision était maintenant toute faite, à présent il avait trouvé sa nouvelle rivale pour la suite de sa vie, La nature. il entreposa ses doux mots à contre-courant "L'humain a commencé dans l'eau, je les emmènerais tous au cieux. Et toi mère nature tu seras totalement obsolète face à nous désormais !"

Il se tourna et retourna vers son transat, une femme l'attendait sur le deuxieme transat à sa droite et le fixa, elle semblait totallement decalé avec le decord car elle etait tres bien orné d'un beau costume au couture tres sérré pour donner un air des plus serieux proffessionnel. C'était sa secrétaire.

l'homme : "-Appel la Maison Transitoire de San Francisco Justine, dit leur de commencer les recherches sur le sujet-00 immédiatement !"

Justine Forbs : "Bien Monsieur Joselu je le fais de suite !"

Elle se redressa et sortie de la poche de son pantalon de lin un portable à clapet dont elle se servait pour passer les appels de son patron.

Joselu : "faites leur savoir une chose, je verserais sur le compte de l'entreprise 95% de mon capital que j'avais placé en investissement pour eux, je veux que personne ne puisse avoir accès à ses recherches et donc par dépit qu' aucun chercheur ne puisse sortir de la base et aucun ne puisse y entrer jusqu'à ce que les recherches du caisson ou est entreposé le corp soit trouver et que nos expériences qui suivront soit aboutie, d'ici là, seulement toi et ta section aurait le droit de pénétrer dans l'enceinte sans la moindre procédure pour leur rapporter des vivres et me donner les dernières avancés tu as bien tout retenu ?" dit-il d'un ton tranchant, il était très intransigeant et ne voulait en rien que quelque chose ne lui échappe et finisse dans les oreilles d'un autre.

Justine Forbs : "Bien monsieur.. attendez..ils répondent ... Maison Transitoire de San Francisco, Je m'identifie en tant que Justine forbs, et vous quelle est votre nom d'identité ?..."

L'homme se posa dans son transat, il semblait aborder un sourire d'une flamboyante lueur de décontraction. Néanmoins il restait sur ses gardes, tout n'était pas encore acquis tout lui restait encore à se questionner. Est qu'il trouvera le corp censé être la chose la mieux gardée des Etats Unis ? Est-ce que ses expériences réussiront par la suite ? Qu'en est il des monstres en liberté ? Et les autorités qui chercheront à remettre la main sur la violanax ? l'heure n'était sans doute pas au heure des réjouissance mais il souriait car il allait tout donner pour vaincre ses opposants et réussir son pari, celui de devenir le successeur au grand créateur ! Dès lors qu'ils comprendront les mystères du violanax personnes ne pourra l'empêcher de s'imposer, Ni les religieux, Ni les autorités, Ni les politiciens et Ni les armées. Rien ne pourra s'opposer à lui, Ce sentiment de surpuissance par rapport au autre le faisait se sentir si bien c'était comme ci il était en haut d'une vague et qu'il regardait tout ceux qui était face à cette dernière prêt à se faire engloutir. À l'idée, il en rigole un peu et dit qu'il aimerait bien les voir tout engloutie.

Violanax - Conte de fantaisie moderneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant